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•doigt poflérieur égal à celui du milieu, & £ a l’ongle’ beaucoup fl
plus long & moins crochu ; vol, onze pouces un quart; queue,
deux pouces deux tiers, un peu: fourchue, compofëede douze
pennes, dépaflê les ailes de dix lignes.
V a r i é t é s ' d e l O r t o l a n d e n e é g e .
• O n juge bien,- d’après;ce que j’ai dit du double changement,
que l’ortolan de neige éprouve chaque année dans les couleurs
3?' fnn -pTTîmïïp?!. ü. de Itr-Jlffctonoo cpii eft ontce-là livrée; d’été
.& fa livréejd’hiyer; on juge bien, dis-je, qu’fl ne,.-fera ici. queliion
d’aucune variété qui pourra appartenir, loft aux deux époques
principales, foit aux époques intermédiaires; ces variétés n’étant
au vrai que les variations produites, par l’aéjioa du froid c& du
chaud dans le plumage du même individu. ; que les nuances
fucceffives par Iefquelles chacune des deux livrées fc rapproche
inlènfiblement de l’autre.
I. L ’ORTQLAN TAr.QRTN Y%L-i^ f l -Jme^ ^ t4udeaA n a t ,
^ ir a le Lee, ïa p ^m n e & leventreblancs; les pieds gris, :tout
fa relie noirs. Get oifean paroît .tous les hivers à la Caroline &
à la Virgmie, & dilj^sHt tous lés- étés; .-Skell ..probable qu’il va
nicher du côté du nord; -
IL L’Q rtolan d e n e ig e à co l l ier . (AJi II a la tête,
zï(a) Moineau de neige;>'Jnow^bird, Gatefbjr, tomé I ,
Pajfer ntvafis cervice alba)M^2Xiioit dû dire nigra). Weiffnacke/h ;KIèiir,
avium, pag* n.° vïii.
Ç, HortuJanas nivalis nïger; ortolan de neige noir. Briffon, lome III,. page ■ i 89-
fh) TTie pied-chaffinch ; le pinlon-pie« Albin, tome II, page p i.54. 7
Fringilla capite albo, wetffkoppfff Klein ,■ Ordo av. pag. <? 8 , n.° x.
la gàt'gè"& le^QÙiîhbhra’r^feiix^fè êe^clte ' colliers au Las du 1
cou; Je j f u p l l^ & d çM i iW ^ lo i^ h é e ^& fé rie u f» de M U r I
‘h;leue|itous jdeux' • f é p& ts ^V Ia'coiâ‘euV:iu ' f o n d a i forme
une efpece^feÿ-holfier Æfôuo 'intermédiaire ; les plume» des aileà
blanches,.teintéesxde.jaune-ve|#tre,;.&j2ntrermêlëes de quelques
■plumes noires;- les huit pennes du 'milieu' de d^We^è les
deux, extérieures blanches, les-deux autres nçirés?;. tout' le relie
du plumage d un-'brun-rougeâtre* tach'êté d(«t£jakn£«KercMtre; le
becorcA^elbordé l de .cendré'; l’iris blanche & les1 pieds couleur
- chair.^Cet oifeaur n-?6té:~prris dans ïar provifiEerd’Eflex ; >& 'ce
n 4f^fSRapkes,tH»très-long temps & b<aucprÈp.’de tentatives mmlk, I
-quonsell.venu. à bout:de: l’attirer dans le piège. :
Kramer a remarqué que les ortolans, ainfi que les bruans,
les pinfons & les'Æ>®uvreui% avoientdés-deux pièces du bec
mobiles,■& c!eflpar eefte raifon^cM., qtte êesoifeaux épluchent
les graines & nobles avalent pas toutes entières.