1 6 4 H t s t o t r m K Ê È Ê Sam m am z m
T o ^ e s â q u o n lait de' kuDs*FSabftùJts,* je fl'q u 'ils "no font,
^orntj^E^Tôya<£s, de maisi^èuIëiriÊnt des toiSg^es ;
Æ)’éridd&ques .(jifiw^^rn^inent'dîins aaffez ;OTqiftV ils
»Eeparoiflènt deux fois^Smée aux^enviran^^s, 'habitations /• & '
•wuoiquùf sarmen t^auÆ à^x u ^i t è y ins îe-'mêm’e-teïnps, ||rajne''
les voit jamais en txoupes. Ils fc tiennent le plus fous enttau b o u k
|p e s r criques, dans fe^ ieu x maree^eûki^ÀVa ^ ljui»)leur adaifr
donner, par qüeI<pes'-^®Ieiin®mecfe;^?oz;/érJ:dVûu. Ilsytkiuvent,;
en abondancefur les ,pàlétuvrcr’ qui’ pioiffcnt dans rcs- loates.
1 d’endroits, les infedtès-.dqptdls f^ n o um fe n t,b<£T fur-toüt^ceux,
qu’on Domine karias cn-Anurjque, & quiHTont^lcs poux^G
' dîois' d ùè^tdes'-iiiis, & des » efpèc^-td ^ f ourmi^felori les -autres.;
*<Ëes3 Crée)kv o îr$ dit-an^ plus d’ùn motif de ktiii faire la guerre.,
la beauté dfe leur plumage qui charme- les yeux j'tS-'fèfon quelques»
•u n s, la-bonté de> leur chair qui flatte fe> g ^it;-imaisdltêft d if f i c ile
de concili a k* «tvatflàges,~&i-une des intentions fait Jfeuvenft
tort àd’autre; car en dépouillant la^bifeairpour manger fà*cMir,
i'il 'eft -rare *qu <yr • le ^lé^uilley Gemmé-'il faut pour avoir fom
p lum é e bien confevéàVcelâ explique ‘àflêz- naturellement jwfer>
quoi tous les jours il ariive d’Amérique tant de cqiingas impar&itsv
O n ajoute* qucpq&^oifeaoefdë jettent-auflLfur le&dîiï^cs1i,1i& y
-• caufent-un dégât^coiiTidciabk ; ’fi cela d l moi, IwCieoles/ont
'.urne raifon de/.plûs-pour-leur dtitmeFla chafTe‘
' $ ) M. Edwards qui "ne cofuÎQÎffoit point les allurés des coting&s, a jugé par là-
ih-u<5lure de leurs pié'd&j qu’ils fre'quentoient les marécages (planche j ÿ ).
^y-iLe-peu> que fai dit ici des moeurs des cotingas, je le dois à M. Aublet; mais -
. j e dois aufïi ajouter;que M. de Majtoncour n a pas oui dire.qu.eja chair des. cotingas
fut un mçts recherché à Cayenne : peut-être cela n e f t- il vrai que de quelques
•>elpeces.
(mm