éblèrvé dans Fç{pè‘G.e,\du barbichon. © e t# différence -qui n'©' fe
S©ü.ve guère que-dans ï&tclaflè dex.oifeaux cfe- proie, en pppfoéfe
le genre fubalterne des gobe-mouches, moudjerplles & tyrans. ■
Ge moucheroîle mâïe a lèpt pouces de longueur, <% la fem'eïïe,
huit poupes uiuqnâp; ?cet- .excès de longueur étant prSlque'-tout
dans la queue: cependant .ehe.atàuffi letçojp&un peu plus] épais,
& à peu-près de la groflèur de lalouetfc^coramune tous deux
©Ht la tête & le haut|jp|Gou.,'à le trancher circulairejnent-à la
moitié, enveloppé^ - d ’un «soir luilànt de fvert ôü de bleuâtre,
dont l’éclat eft pareil # celui de Facier bruni une belle huppe
de même couleur, dégagée & jetée en arrière en plumet, pare
leur tête où brille un .oeil couleur de feu : au coin du bec? qyi
ell long tiédis, ligues, un peu arqué.vers la pdihfo'&^ougeâtre,
font des loics allez longues. Tout le refte.du cgjps de la femelle
ell; blanc, excepté les grandes »pennes dont. Je noir perçe à la
pointe de l’aile pliée; on voit deux rangs de traits noirs dans les
petites pennes & dans les grandes, couvertures, :& la côte-des
plumes de la queue-eft également noire dans,toute Jâlonguèur. ;
Dans le mile, au-tldTaus de la coiffe noire, la, poitrine, eft
Æan-‘gîis^bjeuâpe., & rd lom ac, ainli <jue tout le dcflipi dü
corps font blancs'; un manteau rouge-bai .yif en, Rouvre fout, le
ftéff# ju%i’au bout de cette queue eft j^upéè^en
ovale & régulièrement étagée; les deux pennes "du milieu étant1
les plus grandes, les autres saecourcilîèrit de deux en deux lignes
r'.ôu de trois en trois, juhju’à la plus cxtéiiuue; & tlê. mcïne^daiis
k d g id ffc . ^
Cebeaumoucherolle'eft venu du cap'<^?B^mne-e^ëraHçeÿr)n
le trouve auffi au Sénégal & à Madagafcar; félon M , Adanfon (
(e) Supplément dê l’Encyclopédie, tome L
il (habite {inities manglrerVqfi^brcleuj;- dans les lieues
Ip ilrta ire sj^ p e u ' fréquentés d u /ï^ g& f lf .de, k ‘i@4tnbra -, S é b f ‘
3,11, B#fil . ^ d e É ^ ^ h t parmi f( , 'gjjLKluT^
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mais WB*flît aile A l^ i^ -m »Tfr A
jp f c u v e f l^ ^ ^oe f e s c|g fëGp,u’il d ç friifd è ^ ljj'!, ( .npffiS&JJis
difa inc-ment, A jk i i l f u i t i i ju ^ ^ lq ï c n m in s q -W ^ ^ ^ ^ ^ P ^ !
&■ 'fecoièliaux* m <.V du' ( u am’t #
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neatrnïoihs ? c’eft uniquement ( y,\ «I
Pf qil.itc V ^ ^ u ^ t à ^ V m é AiliJt'tvkj^rre&iA^p^KSnM, &
rbimrijué’ à ■ la fin dStèe^prétentfii Brefil,'
q.u’apparem&’eiit' ^ ^ ^ ^ trÔ T n p .7e tJ j£ ^ om m a n t^ n p ^ ^ q u è ^ ,
e e ^ ^Ê û ^u ^ fè h t^ dyipïque'Mde ATadkgÉftW: R lem ï^ pSU f1
j^ouV une %n\tnhzppïè '(g*) #&!' 1\K éi i r î i i r fJuÏ Ï ^
'■ .l\cïnf)le^dl;‘^i^Siîm®))t" dont ‘tônàanïe ^Mrfnéthddés
.IfMiftoîre^OTucIlé^&A^PtV filloit un fi^pjdhr^'htîus éé
tiniï\ citons < n j ^ d.ins Vjuittti é^Vi)idTc,L™?3l^ôiit.
fut g iiu scW p ^ ^ f jV l .^ ] ‘*htih.ùii a
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, Avj. p?g*^^'j *, 4% t3 *r • fk
- (h) Moncdula. Moehring, /Iw. Gen. n . apadBrijfon, tome II, page 41 6.
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C eft P“ ™ ur> & apparemment pa coiifufio 1 ; vec le fçhet Je
prête ici dtu^îlsÿjgges p,iuht|^à # ï t .^
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