fervent, à |ÿ uæririe méat a u ditif externe. Les plumes-longues
& flottantes qui partent de deflbus les ailes de l’oifeau de Paradis
commun, St celles qui repréfentent commè-des doubles ailes dans
le roi des 'Oifeaux de Paradis, font les mêmes- plumes qui partent
des aiflèlles dans tousflës autres oifeaux; lorlque -ces plumes ifont
couchées, elles font dirigées vers daiqu&é; & lorfqu’elléss-font
relevées, elles font tranlverlàles à l’axe du -coFps.de ï’oifeau. Ces
plumes different dans tous. les oifeaux des autres,'plumes- en «ce ■
quelles ont les barbes égales .des.-deux côtés, du tuyau; elles
repréfentent quand elles fonbtefeyées-deivéritables rames, .(foÿoq
■peut Croire qu’elles fervent non-feukment ASoutenir k si (Sifeaux*1;
mais à prendre la diredjon du vent lorfqu’ifcvOfeïit. Ainfî tous les.,
prriêméns.du- plümige-'flÔ oifeaux ne font qu^fejproIongemènS
ou des*; excroiflânces des mêmes plumes plus petites dans le
.commun des oifeaux.
La. feconde rern?rqlip^ ^ - - ^ T~ ^ 'am^1Tfir c*^
des«pîüînes prolongées font allez rares dans les climats fonds &
-tempérés de l’un & l’autre continent, tandis quilsjÆnt-faflez
communs dans les. oifeaux des, climats les plie- chauds, fùï.^toüt-,
dans l’ancien continent. 11 n’y a g u ù e dWeaux à„ longue queue*
p p Jiw o p e que: les fàilàçs, les coq» qui font e f l n m j ç n i p s
fouvent huppés, & qui ont de longues plumes flottantes fur les
côtés, les pies & la mélangé-à longue queue;,'& de*même nous..
tte. connoiflons guère en Ltirppfe. d’autres, çÿfeàfcx huppés queflé*
% grand, le moyen & le petit duc, la
v mélange huppée; quelques oifeaux d’eatfc, tels'que les canardsâicc
;fès hérons, ont fouvent de longues queués^ol* des onfemenr
^tompofés fle plumes, des aigrettes, & des plumes flottantes ,lûr •
le cioupiou: ce luiit - là tous le» oikaûx de» zone» froide» &
"^tempuus jHjajUftA c je ^ d ^ o i nrirn ns d f jjumcf, eLn'fnS
„ -«ine^oi nck v au-,çojjti tire, dans l'ancien,.efoi^nfOiP
1 | 'd t c iJeniv fp j j iJt? 'fccàhiinc me ris cgtqniir S
<yeu.lea>fes-^'feacatOes,pïes pSeons c q u i^ i'é s . lesî^
iSfeus qûii)TCT;^Qgii^|gs,d§fehmats çh ^ d s/^|^ FÀlife.>
p t ' ’anoiyiÿcqn^iiieiit. & ,fc trouyénl
dm lesicpntjcc^|cs iJus chaule de 1 Aliç eX ^ ^ A ^ q u ç , .mai
on n enïapi^uy|}jam§is ten Ajï||riquo, n^plus -qu
. - Nous, f u'‘a giflez tmpjifutcmi un gu^îk..\ fpdcc*1 ou
Kg'pftcs, dontitn^nc, p(ni\<.ms,rd^ ro ijiu que ^sjddcfijiti rm,
.cri ncjçîsynejfotfmspi^en de leurs jjabitiidés natjjrêlies.!14 ”
u di'yjfym e - efrh i^ur < e T /^Ê m tic ,{fa< gis
pwms jüc'tm ckq ic 'un.indic.jdu (^ù|çlhjâu"iCi.abip< i éc' ;
.qui elfe^épréfemë|^^a'<Vi, fir \ / \ j ,
le mâle ou fi c'efl: la leindlc ^ ,''U h l ' rr d1h umn;e ^cluffufileauîPr ':
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^«whint ,i le ventre ^tlUdumbLiric - U
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l,’4??l-r£Vurt-11Knl: dcîbfinic, les deux peijpcsjpi^jmc^Iujlcs (&ù
Æn^ues de fix juuce muf ligncs^(if]r\;j^^otf> IcmÙ^uDcs
, venjichnunuuit dctflon^m ijr pai dcgié',* ‘
^ t â p e U)^yt.M » u é-dix‘ lisnessde, fong-: Jes : p ^ r% f ?èr^''
d&'fos'cngles non ifrcs, k |^ c fljg u s a h baie
^çxtiémflésfoce^^Æa dix pouce^-to^lilhk^^ 'c^rrsfefos
* (a) Cohus fupernè inereus, infime f Æ/è a f c y ^i
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