L ’O ISE AU S ILENT IE pX .
oifeau (pl. 7 4 .2 , fous la dénomination de tangara de
la GuyaneJ eft dune elpèce que nous ne pouvons rapporter à
aucun genre, & que nous ne plaçons après les tangaras, que
parce qu’il a par là conformation extérieure quelque rapport avec .
euxp mais il en diflerb tcSit»à»6 ff par les habitudes, naturelles,
car 3 ne fréquente pas comme .eux. les endroits découverts
ne va pas .«a compagnie, On de' trouva toujodrs Ifeüî dans le
fond des grands bois fort éloignés des endroits habités;-& on
i | | l ’a jamais é te n d u ramager ni meme jeter aucun cri; il fautille
plutôt qu’il nç vole, ne fo repaie que rarement fur les branches
les plus baffes des arbriffeaux, car d’ordinaire il le tient à terre.
Toutes, fes habitudes font, comme l’on voit, bien différentes de
celles, des tangaras; mak 3 leur reffemble par la forme du corps
& des pieds ; H a une légère écbangnne^aux deux côtés du bec,
qui néanmoins eft plus dongé que le bec dès tangaras; 3 eft du
même climat 3e l’Amérique, & ce font ces rapports communs
qui nous ont déterminés à placer cet oifeau à la fuite d e ce
g en fe