J J Î S T O I R E l N A T V R S L £ Æ
La ïroilfemeT & îa ’T O ÿ ^ rft^ ifo n commence "avëp^fe 'mois
4c jan\ rer (fctL $ sVtcfldmjjW d. fL\^rci, temps ^auquel
ces pjfeaux fe féparent deux à deux pour forçai des fociétés
pfes iptjînes. Les jeunes eÿpHjg^jins alors, jfqnf JbjÆnairement
les meilleurs pont fe chant,; ils gazouillent peu , de ..jours apres
qu’oii lès ,a p ris, & cela d’imp m^rpreqilus' diftinéte,, que ceux
« j^ i enj été piis en toute autre tûfon.^/yjgtffi
lo n g u e u r t£j|afe',-" lpc 'rR^m^-heç^ fept lignes; vol,, neuf
pppces ( dix, felfi11' Lottigge r^ . queue’, deux pôueçs^ un
quart, un ppu fourchue', jtjgimpofiæ de douze pennes,“ dépaffe
fes ailes d’environ treizehlignes. " •
%k} M. Hebert a tué de ces oifæiux p en d an ^ b i ver,• en Brie, en Eiçar-die & en
Bourgogne: iL^vfreraàrqüé-cpie pendant cette ® n oit^Jpttrouve/pM“. feWé'tiin? Jes
plaines; qu’ils font allez communs dans le BugéÿV^^enïore plus enrEaurgq©iey«I^ûn^
autre côté M. Lottinger prétend qu’ils arrivent fui la,finale février-^ & qu’ils s’en
vont au commencement 'd’octobre ; mais tout cela, le concijiëT^ïis^^^- ces alouettes^ -
en a de voyageufes & -d’autres réfidentèsÿ
(JA y°ï*Z -Aibin » Ionie 7, page j if. Il recommande|3ê4es nourrir alors de coeur
de mouton, de jaunes d’oeufs , de|p'^îi?, d^ehenevis, d’oeufs de fourmis, de vejs, de
famine, ‘ 8ç. de mettre dans leur eaù^demtfc^ troi^jnàççHes de régliffe, & un peus>de<
fucre èmdi, avec une pincée ou deux de iàfran, une fois iÇ ^ em â i^ de f e tenir
dans un lieu fec où donne le foleil, & de mettre du fabion dans leur cage* H paraît
qu Albin a voit obièivë'cetoiieauf^par- lui-même.
-n^Mm c à l T À w ? A W Ë .
L A W A 'R L O Ü S E,
« u » E $ J L L O u S ^ ' L L § 1 1 e \
Olina^Sh^^OTi^.c’e l ^ ^ t e s h s "<
atôhëtt^y jik 2. j l mM c ’dftfeàrce qu ils ne comn^ f c nt
jus ^albuct t e j t ' rit »u^pa^i mniJari s la fuite. La fulouiSï
pcfei
dominante'du’ HeiTus d ^ ^ ^ f f e ïl:'I f e n ^ ^ f^ f f l^ e îe ç o ir a a n v la
paiti£Jantciiéuie, & l'ofeat|u pui & fins,mVüugm ifms ’fi puitîc’
j^ e i i c i ï r é ; le' deflous.'Ju corps
taches p.oues longitudinales fur là 'poitrine^ &. h,s c>iu\jy(h^hmï
qes’Mumes eïl noir-»lies .pennes des ailes piclîjuc nomsitdîqrdit^
ceîles‘>de la quf&afe dé^êmeyiemMéla*pfes extérieures
qui* elljhfSîIe^cfe Blanc, la auflgmte qui èflf terminée de cette
même couleur. [ .
( a ) Fârlo'ufe, fallope, allouette de prés, petite ailouelte. B e kn , Ht fl,' N au 'des
; Lodâla di prato, caîandrino. Olina, Ucçelleria, pag. 27.
\- Æ f ^ a. V^atorum Bellomi. Aldrovande, tome H, pa g e ''8^9- M. Briffon croit que-,
ia (tcp^A ^ fp imla d’Aldrovande eft la farloufe; cependant il me lerèfble quefle^dislr;’
Gi-iptionsj^^^des différences allez ^conlidérables.» t
j— Ili-libï .l i 1 , cap.jiy/-.pagy^y?.''“R
— Willagbby, Lto.., S- IV• ■
, ^ ' — Ray, Synopf», zjk/, pag.
, ’• ' — Chaileton,,çlajjrgratiiv. cant. pag.m&,;G. v in , Sp. 3.
British Z oo lo gy, Sp. / / / .
? ' Alcmda pratenfts ; en Allemand, die wiefen îerche. Frifeh, tom> I, cJàjf. lï/divif. u f
Wjg&r II |