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i
t
I I I , 734) AmostMs collnris, dessinée par HEUIIICHSciiAEFFEK
et présentée par lui comme Phacgoptera collaris
(Exot. Schm. fig, Co), Pour moi, cet t e espèce est une
v r a i e Salcsidota tiui se rapproche beaucoup <le l a H. fïisd2)
ennis, soit p a r les couleurs p lus foncées et p lus l'i-aîches,
m a i s dessinées d'une manière toute identique. Le brun
c l a i r est u n bruu-noiràtre et le jaune un beau rougu de
P a g e 47G. Vi r i i l i i n COUCOIOI^WALKER,
C a t a l . Lépid. liétéroc. du Brit, Mus, VI, 1353, 9.
J e ne suis pas tout à, fait sûr que l ' insecte pri s à Tuc
u m a u et conservé dans la collection de M. RUSCUE^VE-ÏII,
a p p a r t i e n n e l'espèce citée, mai s comme il a beaucoup
des caractÈres que mentionne M. WALKER, j e préfère le
d é c r i r e comme une variét é locale de notre territoire, l'iiid
i v i d u typique étant originaire du Venezuela.
T ê t e , collerette et épaules d e couleur b run clair, bordées
d ' u n e frange de longs poils j a u i i e s ; dos gris-bruiiûtre, les
cfités d u m é t a t h o r a x jaunes - L'abdomen noii- sur le dessus,
g r i s - b i ' u n i l t r e en dessous, ainsi que la poi t r ine et les pattes;
c h a q u e uniieau du dos garni d'une frange depoi l s longs et
é p a i s de couleur orange, terminés par une pointe jaune
c l a i r e blancMtre, qui occupe plus de l a moitié de chaque
poil ; part i e terminale de l'abdomen brun grisâtre. Anr
, presque blanchatrcs- Ailes antérieures
:s d e poils noirs et b l anc s ; partagées au
: lignes noires obliques, fort serrées, terc
e n t r a l e de chaque aile p lus foncée,
1 centre, ¿i les postérieures
t i r a n t sur le j a u n e h l a base,
: bandes plus Ibneées periphééi'ie
de taches blanchâtres, peu
a n t é r i e u r e s gris-clair en avant
a r r i è r e , cette dernière nuance
i d.
mes j a u n e c
g r i s - f o n c é , mÊlée
m i l i e u par dei
m i n é e s à la p
p a r une petite tache noire a
c o u l e u r brun de fumée dai
a v e c l'indication de dev
i n d i q u é e s . Base des r
e t noirâtre plus foncé
s ' é t e n d a n t le long du bord postérieur. Bordur e des ailes
p o s t é r i e u r e s p a r s emé e de légères taches triangulaires plus
o b s c u r e s , formant la f range externe al ternat ivement plus
o b s c u r e et plus claire. Dessous des quatre ailes d'un gris
d e fumée brunâtre mêlé d'écaillés blanches, et marquée
c h a c u n e d ' u n e bande p lus foncée e n avant du bord externe.
L o n g u e u r du corps 2 " (5 cm. ) largeur des ailes étendues
a n t é r i e u r e s 4 ^ " (10,5 c.m.).
P a g e 494.
L i g n e 20, lisez argentées au lieu de dorées.
A u - d e s s o u s de la description de l'cspèce décri t e comme
Ceratocamjia (Adeîooejihala) brevis, vient l 'espèce :
C e v n l o r a i i i i i » (.4aelofei»linln) nrnyrncnndiu.
B e cette espèce, fondée par BOISDUVAL dans les Ann.
d. 1. Soc. entom. Belge, tome XV, page 90, j'ai décrit et
l i g u r é la chenille auparavant page 52, pl. XXI I I , Ug, 7.
L ' e s p è c e ressembl e beaucoup à, cel l e traitée dans le texte,
tome V, page 493, comme Coratocavipa (Adelocepliala)
l a môiue grandeur , la même ligure et aussi
Ì couli
deho
lemblable, sauf u
r la ligne oblique plu
i c h e le bord postérieu
iiilie
r i é t é s de
I l a deux
L ' u n e est jau
nd, av(
p l u s foncées bru
comme dai
l a différence indiquée :e de d e l a direction dir
au bord postérii
L ' a u t r e est d 'une couleur du fond plus rougeàtre, toute
l a sur face des ailes parsemée de point s noirs petits, tantôt
3 pet i t e difftírení
foncée des
des même;
bord, com
ipèce.
inté-
8 la
i ligm i v c r s a l c i
l i e s ai
très-accumulés, tantôt moins nombreux, qui couvrent
c o m p l è t e m e n t les ligues obliques.
L e stigmate des ailes a n t é r i e u r e s est noir ou brun, sans
le point central blanc, qui se trouve généralement dans
le s t igmat e du A. brevis.
H E Î
î 499, :
M . SASTILL !, d e T u (
v i d u mâl e de cette es;
d e s s i n é dans l'onvrag
même de l a ville.
OBSERVATIOS- — Le gei
lie WA1.KER. {Cat. Br. -U;
la seconde section de la f
éperons aux jambes posli
par les aniennes du m.Me.
eldont les exlrémitfis son
SEPP a dessillé di
espèce;
i c a thninssinn.
i exoi. Schm. iig. 467.
an, m' a communiqué u
r e r t comme les autres
; il l'a p r i s dans le voi
e Zelka Uique ai •e ¡ios
L(-p. hétér. V. 1168, 3]; il appartient à
ille des modonUdae. celle qui a quatre
lures ; il se distinguo des genres voisins
octinftes seulement ii la moiiié hasilaire
mes et faiblement denielies.
iurin. Vlindcrs, pl. 79 et pl. 102, deux
;benilles et les chrysalides. La Bombyx DeoUs de
Pap. exot- pl. 360, Ì). appartient a ;c genre
NOUVELLES ADDITIONS AU TOME V ET A SON ATLAS
AVEC UNE PLANCHE SUPPLÉMENTAIRE
1. Aoilioiiliiln li}bi
P l . I, fig, 15.
Les aile is des s inées dans cette piai
pas à l'espèce indiqu'
t u i t dans la collectiou
péce, eu dessinant ses
f é r e n t e ; elle a ét é dé
sous le nom de ;
i p p a r t iennent
te d 'un dériuigement forj
' a i méconnu le vrai nom de l'esû
l e s . Cette espèce est, eu effet, dif-
.•ite d e r n i è r eme nt par M. ZBLLBK,
A e i i r e i i t n Pirciiiiine
Exot. Microlep. Horae Soc. eut. Rossk., tome XIII,
p a g e 202, n» 4.
C e pet i t papi l lon, découvert par M, BERG, appartient à
l a famille des Tiueites, et non aux Pyralides, qui comp
r e n n e n t la Nomophila huiridalvi, papillon cosmopolite,
r é p a n d u dans toute l 'Eu r o p e et une g rande p a r t i e des deux
h é m i s p h è r e s . La nouvelle espèce Acureuta Pirciiniae
n ' e s t pas rare h Buénos-Ayres ; sa chenille vit dans un
f o u r r e a u et s'alimente des débris du bois pourri de
VOmlii, arbre indigène, souvent planté auprès des maisons,
dans la campagne, à cause de l'ombre qu'il donne.
(Fhytolacca dioeca L I N S . , auj ou rd ' h u i nommé Phxunia.J
P o u r faire connaî tre la direct ion des nervures des ailes
d e la v rai e Nomophila hybridalis, désignée p a r une erreur
t y p o g r a p h i q u e sous le nom faux de NomapMla dans le
t e x t e de l 'Atlas, page 2, j'ai ajouté ici l e dessin fig. 5 des
a i l e s de cette espèce, La différence d u type des deux fam
i l l e s des Tinci tes et des Pyral ides y est bien ma rqué e ;
e l l e consiste principalement dans la grande distance des
r a m e a u x voisins de la branche sous-costale et de la médian
e de l'aile antérieure caractéristique chez les Pyralides,
quoique unies par une nervur e récurrente. Bans les
a i l e s postérieures, la branche sous-costale s'unit intimement
avec la costale par une nervur e conjonctive dans
l e u r cours le plus voisin, mais pas en tige commune
comme chez les Crambi tes . Nous le verrons plus tard en
"'aile des Morpheù smerinthea (lig. 1); niais
n e se rencontre pas chez les Xineites, qui
s les deux branches distantes jusqu'à, la base,
n t elles sont réunies. Le crin est assez fort et
c e t t e unie
ont toiijoi
b i e n distant du bord de l'aile C).
2. Pni i i l i » :Uei«lor
T e x t e de l'Atlas, page n° G.
N o t r e collection a re^îu dernièrement une ii
c e l t e espèce. J
aelqucs détails
til 1 de ce s J, doatBo:
iVAL n e par l e p:
été il
n e l l e de
s u r l'échau-
. e t qui lui a
L a surface supérieure diffère de celle du
ide j a u n e un peu plus claii
m e n c e m e n t , près du bord a
s i è m e tache de cette bande^
m â l e jusqu' à la nervure ret
dale, est très-raccourcie chez
L' la
é t e n d u e au com
i t é r i e u r de l'aile. La troi
qui s'étend dans l'aile di
t i r r e n t e de la cellule discoi
l a femelle et n'est pas plu
v o i t p a s chez celle-ci l a pe
t de la troisième, qui
l a r g e que la suivant e :
t i t e tache j a u n e , ronde, en avant qui existe
chez le mâle, tout près de la côte. Dans les ailes postér
i e u r e s , les taches jaunes, eu forme de lunes, accompag
n a n t le bord externe, manquent chez l a femelle, sauf les
d e u x premières plus petites placées en avant , et au lieu
des quatre suivantes plus grandes, la femelle n ' a que des
l u n u l e s rouges en avant des incisions jaunes de la bord
u r e de l'aile.
I I y a aussi souvent une tache rouge tout près de la
b a n d e j a u n e , au milieu de l'aile, et une très-faible lunule
b l c u e en avant de la dei
l u n u l e rouge à l'a
g l e
L a surface inférieure di
a i l e s postérieure
l i a don
b l e rangée de taches jai
a i e plu:
g r a n d e que chez celui-ci, et a u lieu de cel les de la
s é r i e , on voit chez la femelle les mêmes lunules ro
q u e celles de l a surface supérieure ; la pet i t e tache r
c e n t r a l e , que j ' a i déjà indiquée dans l'aile du maie, e
a u s s i dans celle de l a femelle.
L e sexe fémini n est beaucoup plus rar e que le ms
l i n , comm^ m'écrivait M. de BOBSINGHAUSES,
a l e t -
t r e d u 2(5 j u i n 1878, eu m'envoyant le dessin de l a femelle,
qui s'accorde bien avec l'exemplaire du même sexe dern
i è r e m e n t envoyé de Rio-de-Janeiro à M. KISKELIH.
3. nnr |>l i e i 8 s i i ierint l ica, HUEUNER,
Exot. Schmeiterl., II, tb. 19D, fem. — WALKER, Cat. Br.
Àftis.Lepid. heteroc., tome V I I , page 1547,
Mylobia pustulata HERRicn-ScHAEFFER, Exot. Schm
iig. 152, mâle.
Mylohia, murinaj. l, 13g, 153, femelle.
Var. pallidior.
MylohiapaleiKea, l. l , flg, 150, mâle.
Mylobia decolorata, l. l , fig. 151, femelle.
JMorpJids des mêmes noms WALKER, 1.1, pages 1547, 2 et
1 5 4 8 , 3 et 4.
L e papillon dessiné par les den;
tés appartient à i . de
H é t e r o c è i e s . Il se t rouve assez soi
s u d de llio-de-.Ianeiro jusqu'au T
romciit on eu a pris aussi plusie
a u t e u r s al lemands cii
r q u a b l c s espèces des
i v c n t d a n s le Brésil, au
' a r a g u a y ; mai s dernièu
r s exemplaires à Buée
l'étudié dans cet oue,
quoiqu'il ne soit pas
' é s chez nous aienttété ing
r a n d e s cannes de bammille,
à la manière d'un
A y r e s ; c'est pour cela qne
i n d i e n s , qui la mangent
sacré à notre
: que lea
n d i v i d u . trov
t r o d u i t s du Paragi
bou, dans lesquelles vit la chi