
Efper, Pap. d’Eur. tom. I V , tab. C X X X V I I , Nocl, 58 fig. t~3-
La defcription n’en paroîc pas encore,
II ne nous manque ici pour compléter la Famille I. de la fécondé
Ciaffe du Cat, Syft. dés Viennois que leur onzième & dernière efpèce
Lucifuga, dont ils parlent dans leur Supplément, pag. 312 . Nous croyons
l ’avoir repréfentée fur une des Planches de* Cahiers fuivans , nous la
iécrirons à fon rang.
DIXIÈME
D IX IÈ M E F A M I L L E D E L A S E C O N D E C L A S S E .
Chenilles parfeme'es de blanc. Phalènes à veines de bois,
L A plupart des Chenilles de cette Famille font vertes & parfemées
en-deffus de taches blanches. Celles qui en ont le moins , les ont plus
régulièrement placées. Elles ont . en outre , trois ou quatre raies claires
le long du corps. Elles vivent expofées à l’air. Leur transformation fe fait
dans un cocon fous terre.
Les Phalènes ont les ailes fupérieures longues & étroites ; leurs couleurs
et leurs raies longitudinales relfemblent allez aux veines de bois pourri ou.
pétrifié. Le poil du dos fe fépare en deux parties & le corps eft terminé
par des broffes bien fournies.
P lanche CCXLÏX, N uméro 3 J o,
C H E N I L L E D E L ’ A R R O C H E -
L ’ A N T I Q U E ,
P R E M I E R É T A T ,
f 1 E S deux fuperbes Chenilles figurées 3 7 o. a &c 370. b , appartiennent
à la même efpèoe. La dernière a donné un mâle 5 nous • n’affirmerons
•cependant pas que la différence qui fe trouve dans leurs caraèlères foie
une marque confiante de la diversité des, sexes , mais nous fournies
portés à le croire , d’après Roefel qui donne auffi deux Chenilles avec
les mêmes caraûères que les nôtres , en obfervant que la plus greffe eft
celle de la femelle, ce qui eft ordinaire dans toutes les efpèces. Leur
peau eft liffe & ce n’eft qu’à la loupe qu’on peut diftinguer quelaues poils,
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