
 
		N  Ji  , ‘  jni jj*  , i  Jmrî * m fy  “■■wrfiïiiUi»-» »  l ji  '7. 
 ffloi| E i[ IÆ I rlKjîyBWoMK * SS 1. J ;3E P K ~ I i b j ÿ 
 MîffiwjWyîj■ ' r ( IJ681 f j?3jb1f '^mjr’I  
 [ K t f   t ad1unj~jA5ffili|iyCT^|r[HM 
 îësï’jdéfendue  p a r 'd es  tourelés  ;  sur  le.  l e i r «   , elle  eSiL^iléïepdü'é7^ vm C T 'u r i> ^ ^   
 Bt t . r‘ " j T ^ \ T ^   T', ^   »  î ,   V.  1 ._  »  ,  J .1?  .-gfr i,rI  j^v. - ' v j ? _ m . Î J I  
 Dans lÿtt taaMt  i.^iit fUTBftjp Ditrjirfj1  1 th r|  1 nî  1i>iwjfjj;|JJLnJJJiâi  j 
 et  douni  d’abord  l’idée  d’une  petite  forteresse.  L e   soubassement  est  orné  de  contre-  
 forts  montans  à pion  VijI^^ÎFi 1  n  < u l- (lolai  
 1 îp e ,  et  qui,  ainsi  que leuïsücpurtines. dit&J1il;1  dît 1- p   telé 
 régnent  autour, et sont  s:oMfek«ës^'.daiis  lesrnèervallesdes  tourelles,  j 
 Ll  1 Mi1  »•'s j '   lifecturi j  -  '  t  _  'JJ  h  J u t i j î s i »   *   ”   j P y T S y 11  »  . 6 , 
 sur  le miliei 1. de  la  façade ,  éi;;paroit  avoir  été destin 3  1 supporter  1 m\ p < 1 î ® f )   
 porj^ ;ld’eB:l:Fée .d!é'eette/"GÎaàjpèlle  est  d’une  tri 
 deux  colonnes  doriques cannelées ,  d’une  belle  composition j  soutiennent un fronton 
 F i ï ^ V iT ^ n IS1 ■ 'yi fc^'y*ü t f iW^™l 1i I i V i & S ' I l î y î l m S â i 1,ÇV 
 I i j t ó 'ï jB n f l *   pt'i K  une  gra ide  tour ,  
 H m   11  il'\*fjTa^ffi 5>i 1 ri^ppHrafTn«**diA 1 >1  tlrtis  dflV'sW ij'f \ ■,1'JI^ 
 pent  à  droite  et à  gauche  ;  elles  sont ornées de sculptures ,  et leurs  angles  sont  garnis  
 Elty*' m 1 B^*i  l>*i il i  a lÿ,?< rf*to ‘iscip i ( '[i U tnffeh yi.y, tl cl—5,  ,|il nja  i4   {»ni  i n | 
 propos  au fermier d’y   construire.  (  el  édifice m< rite  une'atlention  particulière  ;  ou y   a.  
 P   :uoi  la  grâce  et la solidité  ,  la  simplicité  des  premiers  t<;ms  et  la richesse  de  la  com- 
 Mommens de la  V ille dt 
 K ^ 'fn y ô lT i^ ^ S g l j^ ril  J il Ul^ y g b  tl  ltu  ,[)i  K   1  nil b  1  du'Ih  iDk 
 'À'  h •} l l j ^ i § n ^ 8 r a H 
 mas,  et  de quelques monumens  que  renfermé  celle  de Saint-Arnoul.,  j- 
 JL’Eg®s<  de  Saint-TIiomas ÿ  b  ttiè  par .Philippe  d’Alsace  , Comte  de  Flandres,;  et  
 Elisabeth  !  1  femmt  Comtesse.dû Valois ,/a voit  ëté cpnsacr  e en  1 1 82,   pai  Henri,  
 Evêque  d’Albamo ,  Légat  du  Pape,.c t (  trdin 11,  en  pnésiinée  du  Comte-et de la  Comtesse  
 ;  brûlée  dans  la suite  par les Anglo is  ,  elle  fut  repérée,  augment :e  ét  embellie  
 par Charles  d’O rléans,  Duc de Valois,  qui  en  confia le  soin  à  Jean  le  Fuselier  ,  son  
 „Coaseiliei  et Tré   wier ,  Cbaiioint  et Grand-Chantre de  cette Egïi’se!,  et lut dédiée  de  
 nouveau  autinoiS'd^diCrt  14 4 4 . 
 On  y avoit construit une grande tour, qui est en  partie détruite ;  ce qui en  reste suffit  
 pour  donner. une  id vm r   11 m igbifi®jën!ep  îyec  1  1  1  elle  avoit setej:||)W<r;j son  exté=| 
 rieur lut V<r5dcco  - Jdn y  multipli  I  1  1  éps'-j das lie s  d|||||'0ulures., des 
 sculptures. On se ».arque avec plaisir une stal ue ( lé Saint-Thomas de Caiitorhéry, qui .est  
 jlmàcéë  entr<  h »  îmfo^Wg du-ponSiT(Oollakia]  v c i^m ù u ù y * ® ^ ^ y » t   ijjieweilSB