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L ’eai|iÂanq;ae dans le boiirg-de K ille^ fC M e k ^ i l’aridité du sol .et le défaut ab-
sofc de soiU'ccë^laiss.eréiit souveil^-fés habMtfhs; :d ins une pi inuiie d’e 1 u, san s le'sccour s J
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du Château ; elle fournit aune fontaine qu’on a construite dansle milieitp.â|hourg; et qui
nést ri marqu;ible que par son bassin , dans lequel l’eau (onvlie par quatre jets , qui
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Château de J^illers-Colleretz.
L e Château de la Male-Maison avoit été presque détruit par les Anglois ; François
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sur le même emplacement ; mais l'impatience de cei Monarque influa sur 11 -MuIirSj
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de forteresse ; sa: situation, dans un loii* 1 en , empêche le^gej'eloppemenf ( planches
X X V II i TfflnïïnSui» finÆSljë^gghnu lMa&OMaüw iu),i
s;e. retrouvent dans presque tous les omemens. Les plafonds et les escaliers sont ornés
dé fichés .caissous.,T out y annan'ôeiijin reste de magnificeiice.
L e s jardins qui
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ils manquent d’eau, et sont privés ainsi des napes, des cascades, des je ts , des canaux,
qui font ordinai^éÂ^iSIie principal ornement de lieux pareils.
Tout le ferrite fri de f ïUeis-Coiteie/zJbst sec'’,1 aride et absolument dépourvu d’eau ;
oil1 alloit la chercher auli efois aii loin dans..des tonneaux , et on la portait sur df •.
lTfja-cfle sommé;V®rajtçois I. y lit conduire une source du l'ail de-fetz. E lle fournit
aux fees )in sidles h à bitans et du C hàteau ; mais'elle .est insuffisante pour l'agrément;
aussi le' Chateau dt V 'Uiers-Ca'Uëoetz » malgré la beauté de son emplacement poiif la
chiasse , est-il un lieu ru'-u -, monotone et dépi lisant.
l'o rcl de V illers- Celieréiz. £■
L ’ancienne forêt de Ret. , ujoui'â^|üiii!ÿéi/V// rs- ( uteijeù étoit d’une é ten d u e très éôn-
sidérable sous le s à m liens. Cqustesiiide Vermandois .i;et:tjMe'||ué. du d o u b le de celle ‘
q u e lle a aiùjourâ’hdi ; on en ittribw la diminution aux lil i lires des. Seigneurs de
1 I e u du .Valais depuis, le d own g p eem en l du permissions
iro r im c q u e ij f e ^ te ' arter e t aux dégâts du bétail et du gibier. E lle est c ependant