Satire, de- FcbSèénit« et 4 e4 ’impiété ; il eut l e malheur d’ÿ réussit-;-qüelqteà cbuplets
Satiriques et des ^hansdis e t'tp d q a ra j^ .-
rënt : la débauehe-'ÿ rriit le comble. 11 entreprit rine‘critique abominable d$®'b]ïVea'ii
Testament, et'bientôt il ne fut- plus1 co^itÉL' quelSoübvâe nom'-de V A t h é e d e - S e n l i s ' ,
aussi D e s p r é a u x lui ‘diisoibil tin jour f u ’ i l ’ w ’ t i v o it d e l ’e s p r i t < ju é b o h t t e D i e u . M a d a m e
B e i f t i i u i ï è f e s parait être la seule qui ait èhërché à ‘J)^S^4"te sa déféhse et à le justifier
dans., le? .yers;suivans’. •
f On le /crdife ijâLd^cit, maisiqüoique l'ôifâ.1 en die ,
* 1JêM^dik que dans le fônd\ TDàyrsis n’ëstipas ^ p ||^ ; ■ ?/,
■Quoiqu’il raâd&efs&fctyent des artic le s de f o i ,
J e crois qu’ili^s'fe'Sê^snt catholique.que . .
Le dernier vets potirfoit)'dSïrttet Uhê'imauyai^rijfiniSti'-de' la ‘cath'iïiJi’nfe ‘de la
Muse Françoise ; mfisc affiFse plaîf ,à ne ^ ^ p rer"d an à',Sés'versiqq’Une-'indlülgèirce 'otî
un 'effort de l’amltié.oP a j o t ai étë-'de meilleure,foi- e t s’est pricux^dépeint lui-même
dans les quatre vers suiy.ansyj. n
La lecture a rendu mon esprit assez fort
Contre toutes leS' péCrs que l’on a de la mort ;
Et ma rcl-l^ioli nia ritn qui m’embarrasse a ■
Je me ris du scrupule, et j& iiâîs'fsjgljimaèe. ' -•
P a j o t persista dans ses sentimens jusqu’au. deam.ier,irioment»;pni les infirmités dè
la vieillesse, ni les approches de la mort ne apurent’ofhire aucune-'impression. sur
son ’ame ettduimo ? « Jlmourut^ comme . il <ivoit abc u ,i t n j&’îjM . âge 4ë>£r 6^ ans.
On trouve pljisiejUism;èces,,de lui dans le Recueil de ppésiqs (c^oisieî^amg^ïrié chez
Ç e r ç i p Iç plus grand îiombre aj-çqûru.dans^le ,monde eg^ip.uuÿyjt-, f.
R t a r .n e { D a n ) un d is plus lolt bres Poètes François du nmle dunierV'liaqUit 'à
la Fertré-Mtlon le i ri’B'éèembre t‘6 S ’j f f î h ë N - . R a c i n e ,- autrefois..-Cadet dans le Régiment
desi'Cmidësi Françoises, 'fet alors-1 Contrôleur au'grenierjà- sel d e ’eéttlesVille , et-dê
J e a n n e S c p R m ; EHc'cdri Procureur du Roi SBÉfeEànx.et Forêtsqde- V<illet.0 S,ô'l!i;ei>etz.
Après "avoir fait ses premières Etudes à Port-Royal des-Champs, il alla à Pari ,
ou il suivit, le Cours de Logique du Collège. d’Harcourt. Le Mariage de Louis XIV,
en .n^|W^»lqcj.drig'na bientôt lieu de développer son talent pour la -poésie il le
célébra par deux Odes, L a R e n o m m é e a u x M u s e s et L - u \ p m p h e d e l a S e i n e à l a iR a . r u '
celle ci sur-tout le fit connoî-tre et commença sa célébrité ; elle lui mérita l'amitié
de Chapelain, la protection du grand Colbert une gratificati n du Roi de cent
louis et bientôt après une p'e-nStgii^de six cents livres, dont il a joui jusqu’à sa mort.
Le désir de voir le P. S c o n i r i ^ son o n d e , Chanoine régulier de iSain-te-Gén-eviève,
Prieur de Saint-Maximin, Official e t Vicaire-Général du Diocèse d’Uzès, lui fit faire
à-peu-près, dans ce tems-là le voyage du Languedoc ; cet oncle lui fit embrasser
l’état Ecelésiastique, le fit étudier en Théologie^ et le fit pourvoir peu de tems après
du Prieure de l’Epinay, dont il ne jouit cependant jamais, en ayant été rijepessedé
potir un Concurrent plus héufeiîx bu plus adroit'. Mais le 'g o û t *de' la poésie l'emporta,
sur les avantages fus? pouvoit lui offrir l’Etat,Esclésièstique; il s’ï l t o a avec
ardcur?‘tra\dilla pour lejîjméatre, et y obtint d e f^ s toe ê ^ q u i, en flattant son amour
p ropre, encouragèrent ses talens et le soutinrent dans cette nouvelle carrière.
’ ( '7 1 )
Dix kfiS#ëprèsV'R^çilmiïd n à fta :'^là''poéêfëj?qu’'flf|!h4 'Tépiir r !dans#îIér sbife' que p eu t1
composer lè s ’rii^êmès^S’Esthar et des .Sp/rime/s pour les demoiselles
de Saint Cy r, i L'pi'i^ié nc^djë^Aïkinftndri et ’de
'ISotïs X M IL li'fetèjpïk-^p&r le>f*R®|i;/ eW ^67jj$$£$i'oijBkspr'eauæ ,;.p,â'®'.'érifîBeï son
l i f t e s , il cototaenca H*>;ÿltir&va3lleiîftpi^ex,m®fnffl^e^rioreÆie^u6^(S.iPrin\&lau
W o jf'feît öÖtóöJöinlqifieriji et -d’a’pref-k> Cn^îlcpifrvrlféM n i^c^luifinur^Ir-? témoin1
dans les C rtp li^ t# s J'®à*tlei!Roil-4?few®uIu
sOtiL^WfriJpaSsési à fe«|K>StéÊtéi^M^risent
Vàlineaurt Samt-C'lcuffi *
’ I ffîâ êm è ftit ^fl*^'î‘l*tiSnùit’'4pjV*.'<>n-'r di «H ncV WiÿpS^îcnei m (IJ^Momili-',
©friifri.lrfîmu P Ju * 'ABie iK” Ce Vrnrcc*’ il fb ^ th r i’
4 1 vma lmf (t iri ïWtlYî ié j6 è(l ^’erLbroii ,](|‘J'Mrocté\ii!, 1 jr^qnfn^celtc^cjtirlu'é
$ 1 frb" crm sSm^felflfTcI '* 11 Jj7,l^Tîi^tïa^ï luri; tmKTOl té" ai- Pbrr-*p.i?R‘J d ^ - >
‘ciitferréî1 de,cè. î^ii'a&tèfe ,
j^énfp^K’ tc ( \IiÎ1t ^ ^ l l 'c lWirijffiisrrii t i , dansTéMlSe'
Dneml-dü-M ht al lJ 'iP C m l J lp P l r i ( iriru i iT p v v <11.
m il^rt-cffii“1 Tgn i 111
Lè rlîî V i ,’W \?fo^pTΑ?-> 111eri^'Vt” 11rMT^Sfi?it tff>1 ï’ rid
11 ( ii)b
èl une versifiça'tiiGinVa.i'séèiÇ. idouce et tendre , immortaliseront a jamais son ■ nom. f i
donna / ÆW/ i - f o u M i t /f 4 d ’r fm d ttW tW w J
Andromac/ue en 1 6 6 8 -,1cs Pta deur comt d ie ,la même année ; Br tannicus en 1670 ,
Bérénice en 1 6 2 1 -Bajazeten ,16 7 2 ; Milhridate e a:i.6ÿi3'-; Iphigénie èfy-'Pfièdiâ
,etspS$fâp 7 ; ÉschËraètiïYi & f p , et.Amahei e f f iq p lp k S^^jhôqèst.dansî-qet^îïi.v: 'iuj;f,ri.t
cbnsâcrèshdarisjlesfJquaiie v ^ ^ t i i ! c ^ l Aqw.è'^^wz«^i^tt^Wriétreiiplacesiau baæsjt©
^on q ortrait î 1
Du théâtre ïràilçoisT|^oaiîéur''et
Surpass.er.Eûripidë efr v'pli<
I Cés p i è c e s l a ë p . ^ é s o i iB n t les seuls é( rits de R a c i n e : nous avons de lui
des C a tju e ; S p i r i t u e l s laits en 1689 pour la m lison royale de Saint- Cyr
oCntK.Ji p f e s Rqm n- et'clc^rmc.i'ydt 1
d ’ J ^ W ,n l Æg " L 1 'T
première [ t il i f \ n j -4 2 pet, 1 ; 4 - '1 > w l ï
qui a été publié par le fils de l'auteur à Lausanne’('P.-iris) en 1 747 , en 2 vol. in-i 8.
Les éditions des OEuvres , sur-tout des Pièces de Fbôàlre, de R a c n e ri,
tipliées ; le catalogue en seroit fort long.
L ^ * 'A;un t 'm i.j.qu i fagiglone de,t tSisfqQm Il.avp.iJ
é p o u s é , J ^ 7 •^27W i 1 ’ dont le père étoit Trésorier de France a
A m ie n sM B n v S w â j& ^W ' f t deux W" -le nu ,
dan- la ^M i / d . memf
royale des Inscriptions et Belles-lettres -, il est connu par deux poèmes sur la Grâce et
sur la Vérité de la Religio« chrétienne , par deux lettres en vers sur l’aine des bêtes ,