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 k ' : fit- rétfntS.'SàriEâfb^e'ide •fa'iWt* MédaÂ$* « sstó ^ t -flttttïauij 9 g i ^ n Q B H [   
 gfMplei, <[iii Vip^id'nfi 
 Ie  titre  de  bénéfice  ,  une  église  dédiée  à  Säint-Cliristophe  dans la   forêt  de  Bblatte  
 pri s  de P ó n t -S a teM a x eB e è  ;  il  en  fit  une  abbaye ,  à  laquelle  il donna  des biens suf-  
 fïsans I  et  don t le R o i Philippe  approuva la  fondation  en  1 06 r .  E lle  n’est plus aujourd'hui  
 qu’un  Prieure cle l’ordre  de  Saint Benoît, congrégationi de  Cl'U'Èiÿ, réuni au  Prieure  
 cfe l/i f  n f t ' v 
 4  Abbaye  de Retondes  doit  son  origine  à Drausin ,  Evêque  de  Soissons  ,  qui  la  
 fonda  sur  un  terrain  voisin  de  la  1nu 
 5.  Tu’Âbbaye de Momiewal a  commencé par l’association  de qdgldjfijies  femmes, aux-  
 1  «   D a Â ï   I.. jléu.r|uI. 
 Cf s fetnnies  vécurent long-tems.dans |des  cellules  particulières ,  subsistèrent  de  leur  
 patrimoine  ou  du  tra\  ill  de leurs  mains  prire nt  leurs  repas  sépaïémenl  ,  ne  firent  
 aucuns  v a  üx de pauvreté  et  n’observèrent  aucune i lolin  ;  elles  se  réunirent  dans  
 la   suite  plus particulièrement,  adoptèrent la   règlf  de Saint-Benoît,  et formèrent enfin  
 un  mon astèi e ,  qui  lut  enrichi par  les libéralités;  de ' C 11 arles-le-C h au ve  et de  la  Reine  
 Ermen trade. Bi ûlé par 1<  Normands  à 11  fin  du neuvième  siècle  , il  fut rétabli  en  920  
 par  les  soins  et  les  libéralités  dit Comte  Robert  fils  de R o |M -le -F o T t ,  qui  en  étpit j  
 Abbé laïque. ri i 1 i l l w  *■/ f n l y m ^ r ^ iTaTJrk tu 
 ft}  'flwï R o is ,  qui  voulurent toujours  en  avoir  la garde  :  on  trouve  même  que  dès  le  
 treizième  sièc le ,  il  pot toit  pour  armes  la   bannière  de  France  ,  semée  de  leurs-de- •  
 lis sans nombre  ;  et  supportée  par  deux lions.  Le s  Religieuses navoient jamais  été cloî-  
 tr< es  ,  et n’avoient  jamais observé la  vie  commune ;  chacune vivoi-t  en  son pari 11 ulier  
 et  jouissoit d’uriê  portion  des revenus de la   maison :  l< ùr-vie  devint  trop  dissipée  et  
 trop.éloignée  de la  régularité  de leüi  e tat; 1  A-bbesse Anne  de Foucault  entreprit, vers  
 l’an  1 640  , de les réforme 1  J l ÿ y  établit la  vie commune et la  clôture  mais librement,  
 et sans astreindre  le s Religieuses'  à  aucun  voeu: 
 *  On  ignore  si  ce Monastère  a eu des Abbesses  avant le  du  neuvième  siècle ; 
 mais  à   cette  époque,  o h   trou ve  ceLte  Abbaye  possédée  par  des  laïcs.;  le   Comte  
 Robe il  ,  dont  nous  venons  de  p irler,  fut  lê   dernier;  il vivoit  au  e-qtabpencement-du  
 dixième  siècle :  <> 11  ne :  trouve  plus  ensi 1 ite  aiicune  potion  d’Abbesses  |us|iue£  e n  
 T i c  3 1  depuis  cette  époque.,  elles  se  sont  succédée s  sans  interruption.  CéVefiv ent  
 avoit  quatri  dignitaires,  l’Abbe s's.eî,  la Prieure,  la  Trésorière  et  la   Pree hanu ^  qi®t  
 étoiekt  toutes  élues  par  le   Chapitre;  mais  l’élection  de  la   prémière  ne  pônvoit  se  
 faire  qu’avec  la  permission  d u 'R o i ,  qui  enfin’  s’en  réserva  la poffiii||ÿ^ Jg  n  , 
 et  a  toujours  continué  ejnimig t  jouir  de  ce  droit  • 
 Ce  Monastère  a  été  supprimé  en  1  74b.  On  eu  voil^^mofel E g lise ,  dont la çons?,  
 traction  est  du  dixième  siècle.  L é   plan  en  est  le  même  que  celui  de  I Eglise  de  
 Sainttfeermain-des-prés  1  Paris ;  elle  a  une  nef  et  deux bas côtés;  le  choeur  e.st ;açif.  
 compagné  de  deux  tours,  et  le  portail  est.formér|àr'  une.grosse  to u r ,  décorée  cle  
 quelques  ornëmens  gothiques , mais  majestueux 
 6.  L ’Abbaye  de  Notre-Dame  de  la  Jape  ou ie .S i  r  e-C  aire,  doit Son  origine  à  un  
 Hôpital  fondé  au  commeimtunent  du treizième  siècle  par des  personnes  charitables,  
 dans  Un  lieu  voisin  du  vil lage  de  Retond t s ,  sur  f  Aisne,,  dans  la  forêt  de  Laigue  
 au-delà  de  Compiègne.  Des  filles  pieuses  qui  lé  d-esser voient,  reçurent  e lt^ ^ flg Ju e 
 I J K 
 de  Soissons,  en  1 2 3 4 ,   la  règle  de  Cîteaux,  et  établirent  la  clôture.  L e   Roi'  Saint-  
 Louis  5  pu  .Ut» 
 p-e  I  d <, jK>  ®U 1ù  ,e  I  \ 
 AI e 1 e  d’Orcamp  ,  dont  il  est  aujourd’hui 
 mjiAungjA-Pj a uré. 
 c4ftï  , J }   J  \   ‘  ;  en^lomj'qe  t ^ } - '   birlvoi  fli^A  -(]&#■’ la 
 Sainte  V ie rg e ,  par  le R o i  Philippe-Auguste,  en  mémoire  e L ,e n. re c o n n o i s s a n < - e  de  la  
 Pvfoib i i-ogeiA’  ro ll  I.W!Bb  tlfc U  - nfît'iiîiffr 
 B B L dîtî> 1  „ 1   I M 
 Kpf |1-.(l.iuivj^^^j ^ le.ii  tp 1 (a ^ m b p t ]   i e ^ J ^ W 5p 5r»e  e I M g l   
 m m ^  1  I  11  D'JgéW 
 'fut  ppi" B   e I  Wjvj#I ,,Çn pnùjui'J 
 Meaux. Ce Monastère fu  détruit parles Anglois au e  xmmencement du quinzit me  iècle  ' 
 roisse  de  Baron;  mais  11  able 
 en  1 4.27 ;  elle  fut  consacrée  de  nouveau  le  6  mai  1 5 19   ,  par  Je an  Calveau ,  E v ê que  
 de  Senlis.  Les  chanoines secouèrent le  joug de SaintA H f l   yM^ ^ u t nS j 
 dant la règle  de  Saint-Augustin, mais  ne  reconnurent aucune  congrégation. Us étaient 
 ^ ’ 1'  i   pa/i-la’"rit^rrn\i^]Vio^^^r  1 îw 
 LU%j%tS^E5jf plli^ 
 i  i -,  en ii^   |Pi 
 j ^ ^ a i i ri aW ^ r f<  " *  du’mf 1101 y J roi m‘AelN Üî. ^  gt 11 lia fe h o lp g e t j  hI| 
 Il i n‘fi 1, -  e Ael‘û. fit lÿ jd i  ^ sÇ pfVr'ie  11< 11  n&î t 
 g m ÿCTV w nw t fl I  r im i^ iiiifn fg irT iT fii^ g ^ fflnPP 
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 1  'I. i .j 1 ml  KH^lè^re-^, 
 i SSul al EES^’11 1 itrWWjHWffiyffiyiroftr  lüretiÎÂ  
 ,  *l<  3 B   s * ra u ie ’’ 'él  \miètis’ 1  1 )V  tqlntioUL 
 substitua  des  religieux  de  l’Ordre  de,  Sàint-Benoit,  sous  la  dmi7 ^™Sg g îr^^^3 n% . 
 11  iti‘  J% ? f~mrV<lri‘l 
 wSM*ibt  1)1»je*  '  r r’bJil  li  u ^e  de  >,a.a qeCn- ^.111 lÿÇ .til I |mmji^5iTCrfir  \1 1’u’j de ,**L v  ijIMÆii 1 de^tó iŸpi-  n’àîèu  
 <pie mbty^ïK^-.  nC } -'S,  ^(  1 ' n ^nwSSf** dePrnuwme [je rtamîj 
 Sj ejSgfajiV. 
 I  I  pLiv jilc .'.f  Vlqn-A'ltièÿine.ntft d’qVi e  vW ^ f f l^ j- i^ iS s u ^ petmuun t L  <  Cri 
 Pai 1 11  '-111 '  i  hly^sijTK  .  nplûl‘ têïïmn'ïin^]jfc.f'inqiidril--^anq'^[^p.-j)ei  hi;Ct/;rm^ 
 Raoul  lii  [Mil  fil  ,de  Ckulin  el  tadfe  ^p d i ■'r  m<-uil  tjatj^n  nl+.<  vl'l'-V-e^rLuliftü  
 du  treizième  sièels par  le. prieur  Nicolas,  * 
 Prie'iüré  de  Saint-Nicolas-d’A cnlès-Si ni i  ,  dans  le  ComLé  et  le  diocèse  de  
 jA itfh < i IC- elÿjj j  e u ie-  'flou^^Sfónd.ition'  i^l&^oorice .■ 'iifjd'ehutu  terre  faite  pai  lli> l« 'ir/Sli-  
 par I  c ia-yl,  f  ÿeÿpK- fj^ -e  ra s j  ?i f ‘'ii.'),1eïtoSï|^Sy')*  piy  
 • ®il>effÂàngiitA<v>'>r  |ÿv« t p ç î S p v Ù l f s : 
 d e  P ie ffé^ S ra   su<feesseur,t'd,’Eitienim/jFnS,q^i<  rlu^ali1  Ct^ÿli na-,ie