if i i i mm dou/e:
i jpsüÿt dçetuitent
un allégorie » îa ffu L I li l^ r^ .1.1^* s de' productions qui y^soné K nfermées, l’un est
L à pte.iÎJipic, sale contient le .règne mineral. On y 1 rouve ime^eollecliou riche et
i l %i '1 J mi cl l L B & y ” d r il i 1 |iuijcnt
et indiqués par autant d’étiquettes particulières , et entre autres des morceaux rares envoyés
au Prince de Condé par dilliVcns Souyer.îiirs du Nord. On 3' distingue
fimjj ulii^i>iia/L!îiM^m|Ml^gjl'.i nJpdlÆyl%iKyj|i iru fflin ^
n-. (U lAj§M
conhibuti 1« diverses e outrées' d e l’univers pour ènri kii ce cabine 1 On" 3 ÿ.oit là
très-grande ScalcUa , 1» Zèbre, le.grand Fourmilier, üiteveap'^oeîpTorl ue a|§0fes|sâijlLi.rit es,
le Lézard écailleux , te Gondomà,le grand Poisson-Scie, une quantité trèsrvariée de
Zoophylsès, une suite magnifique de M tdrépores et, Coraux ÿiefc. eteï : L e s plafonds
sonfe;|prn 1 s de Serpens ; 1 i s embrasures des lent tr-e -,confuinné:nl les'; Ipsec Les.
■ On à placé le règne végétal dans l'es soubassemenstlte's deüx';premjèrés salués .Jour
■ cole ( lion est aussi pre c ieuse , aussi nomdueuse et aussi riche., quêlestpr^ëé,dentes.
■ J)-'iû(t£ruirrs.
Tl n g lie, Jtitonr d'tgjccsfelj ..^l^sofilic jtû n ^ , gui Montait n KM’-jjÿlüH''“ ° .d t
fosse^ uSf fi(u^'Sts’(5ro {m ^ i5@ 7f.u\ u de l<" 11'l.î.',
Parcs et Jardins Je Chantilly.
Qn ; passe de la terrasse ; où e s1 la statue du Connétable de Monl morenci , dans
les jardins, qui sont l’ouvraige .léi une * des plus beIlesipiipduc t-njÿyjg_lcgse*!VV.< • ce célèbre
Artiste à 1 su mettre à profit les )\7rli ige s., élu terrain et 1 eux que lui ofFroit la
grande q u aM É d ’eau dont il 'est arrosét Oniaperçoit ieirun .supètbe tabléau, dont
les richesses extit jfn I 1 se,fjgÉinir '.episnme;dans une grande portion
■die éèiEële . don! Je n ilieti, ésf',p;êfeéj par un& belle avenue ejuiv-.ie onduit à I iiLmXtÆl.'^
sH a l f lM f f i jm a y j ? ^ e . i n f f l e liid.A'Vbe;ieàSijclVmM. une,' g'diftU e hraU'/pfl èe-dfe.TayJ
ffiu i^T fff lu le ÿ I tsjRlfrfcoli ne , i v e f j ( ^jue fejg llSj,stn n i / , *{ I ù I )m dfi&aÈtèfr
P ^ i^ iihkITi .' nn 11 v Schi< - b îpür’i j je ,>11 gleScliix.I ws?in^SSEl ont
[mnv diHimiBBp ù w-Cci 1 u r a i^ i i rare 11 n tîîpu elÇ/gl.'iijTOa).
On dese end1, dans les jardins pai un superbetsàcaliér , dont le mur rampant de
chaque côte! est pe.raé :d une grande niche tr iifee: on voeraille ; on j . 1 placé deux
lîgiires de fleuves une. eau claire coule d’une urne -et' csCeiiçprç jetée; par 11e_s e n - 1
fans qui groupént avec la figure. principale ; cllç'leimbc cil nappe el sé joint i) celle
qui "sort du dé spàs d.ës rochers. . Chacune" des | irlies" rampante est ace impagnée
d’une terrasse, décorée- de ^ v j 3oiaa^^;tàâèEmàS,"'accouplée s ét* isolées, entre les-;
quelle» sont des'lniclu s "où l’on a plaexteles Tigurcs » -marbre ; de s. nappes d’emi sortent
.sous les pieds'de ces figïiii'és ÿ -toinbéni dans, ui) bassirè, | t forment un petit canal qui
(V/j Planche de Chantilly , N°. III.