
 
		I   Gs  p i.iin‘1  i ,-nn  enté  n  d’un  large  foss  n  fs yétu  de  pi^ire'de  taille ,  et  flanqué  
 «,aux  quatre  angles..,  dautant  de  petites  plate-iormes,  qui  sa-vancottM^.ojmàsjamaiil 
 F■ ■ jpfoÿr.  i  q .M h ^   >ifi=(ili‘ fe.^iiiîLn^ qui  141  occubo eàttles 
 jwqiüàtFë  faces.,  terminés çîaçjmflp il  deux  p i'yiüt ns  ornés.  ;de  frontons  et  chargés  dé  
 J  figures  et  die; trophées  d’armés.  Léàtnéëyprinéiipale pisésenèq®   un -fôestibttle  avancé sur 
 II  L f l '   J./V  j’1  1  1  par  (|liâtifp  limites;  arcades  soutenues  p a r■  dés.  colonnes .cl:  des  
 E k - ^ ’  e;t  ornées  de  six  niches  ,  remplies  (ni  iplMij iifle  s© |i |k V i  e  Vestibule  < lèit 
 ■  couvert  p;a„üriij>i(  i J L t '  l,oitfiJir  une,  i onimi'n)('dtJ*on»'U  
 id ro iié   ét;tâ  gaiii lu  avèc une  g afêre   décoW* 1J1  irnét  ^ pu ie   balustrade  cle  pierre  ; 
 1‘-*11 ,K  ‘^oplVle  < omT le 
 «■ était  teriïiiné.-.par mie  lanterne.  L a  lace  q u i^ S i io it  sur des  jardin's  àgréabfesngtHnen 
 ■  tenus  avoit aussi,  dans  le  milieu  ,  un  corps,aya®,oeS||iBrmonté  d ’un  grand froritirn  en  
 J.dieriui-ce'nele  orné  de  trophées  e t  couronné  par: un; comble ||!iai|p|f’un  petit  pavillon  
 I   L  riïi-irioit  l’édifice.  Lié ■'< h  teau:>;.. négligé  dans  la suite.,  t st  insensiblen f 1 H H   
 ■ gradé ;  il  n’offre  plus  auj ourd’hui  qu’une  imâge  de  son  ancienne ,1: c nuU.  11 >us  avons 
 ■ciru  devoir fa et  g   ivcr  les, ruines  (l’un édifie  pii  1  servi  long-teu  aux  plaisirs  d’un  
 J  desmeilleurs  de  nos  Rois.  (Planches  X V II , X V IIf.  ) 
 E rWI NQKÿaiLLE  village  et. châte iu ,  chef- lieu  d’une  Te 1 re-'  située  entre  les  che-  
 |miBs:  de.  I   »ivres, et  de  Dammartin  ,  à  ..une  demi-lieue  S.  de  l’A b b H   d e  Chalis  , 
 ■  2.  S. E.  de Senlis et  i o.  de  l’aiis.  Cette terre  étoit possédée, dès le  dixième  siècle  ,  par 
 |lla  Ipàisoji  des  B^tlèiilers.de.Sentis ,  (pi  [>!»■ .( (but  en ■ .même *‘éin$  celle  d'é tOhantilly  ;  
 Japrès  avoir  a'p.p®t,én® sueeèssivéïKen't àÿiifesf jjtes..maisons, elle lut érige e  en  V icornté  
 j en .février  11  I  iveur  de  Donümqm  ç/i  /  ■ ■ .  . «.Yiy £\:n.i j 1' 
 ■ irai  de  1 1  iù;ç.e;:,  dorai;  1  ifamille  t st .éteinte  c lit  apj  »tient  aujoùrd’hiuiv lu  '  *  •  
 Wjn,Ltardn.'  !  -1 
 lit   L ’art  slèst  réuni  ici  à  la  nature  [joui  M iloumr  »..sé jou r  d<  }(îtjjîey,  où  la  variété  
 |dés:  9b|étS',  muikiipl'i^s  sans.  < oofusi  n i,  ne  p  11  ie( m%çnl|Ttil de sc .îe^ » ( ;msm.M.'-taut  lu 
 ■  i 1 o  T rit de  cherche  i  il  |  irra  satisfait  sa  curiosité.  De  s fe ii s t j  lies  \  rgëî  des! 
 ■ jroqfp ré  et  des  pl  lïïi s  des  èd fiées i d’un ,gt 111 <  vai îe ^ cL  s- c îbanes  simples , % s   tem-  
 ■ pies  consacrés  aux  vertus  et  au  sentiment  des  moulins  ,  des  maisons  destinées -à  la  
 Iv ie   champêtre  ,  de?  ruines,, dés; to p b e au x ,  lieux  ou'vi rts  gai  rians,  agréables 
 i«inpla c  és  pat  des  solitudes mornes,  tristes  ,  quelque fois  majeslueuses:,:se  succèdent  
 POfei  une.rapidité  quijsiisse  a .peine  le  teins  de  les consid  rei  i  iôisii  La  qu  mile  et  
 f i a  vàr.i.e#des  eaux  distribuées  a v e c » ,  n  iulent  ces  obp ts  edèoreéplus Rutoresques  ;  
 :|iei ,- des .fontain es  offrent une -.onde pure-et cristalline ,. qui  invite le passant à désaltérer;  
 ijlà, <l(:s r-Hiss^|i^i|rp.eiitant  sur  l’herbe  verte  eb'molle  entretiennent  sa  fraîcheur  et  
 1  raniment les vûiv.ès  éo.wlieü'rs; des  fleurs .dont elle  est  parsemée ;  .ici , des torrens sé -,|tfi=  
 f  eipitent  sur-.des  .ro.clters  sélèvent,: en  des  .feonçe  ux  d’une  écun t  ,Jd un hiss  pile  et  
 ipa.EpisseBt ;  p a r i àtirtn u r m 111  e iq t  »leu r. r a p 1 d p e  ;<d< i tW fli truiu  10 -jieu x  q u i^ ^ t  < xé. 
 ^iult  I > , dfes-làcs;iminctis(^|||'.i nienfii^^u'ildt e<3^iyidu<  i tiiariquillt fl  
 |su r  1  quelle  Foeib se vpiômenc avec. pfei|'iir.  (Planche1  XX I.) 
 I   Au  j^ijÊeti  du  part  /   est  plac  le  cliâte  ni  c  i  Henri  f\   ve'nôit  :s.e  délasser  de  ses  
 nivaux, dans  lés«^ipa§iïtLe  GabriéHe. 3’Éstrëesi ;  i 1 est entouré  d’eau ,  environné■ de bois  
 ^ ^ ^ tu e   entre  d g l^ p 'A iS ^ ^ ',  insii'|a&re ibhs  |  u» b lu  f  -ques.ipan' 
 ■ leurs variétés  \  diojlé  de  aux  ] I )U n'i'dcs  (  i#us  Üd “s  tr  up  a u \  j. ji 1  ' 
 i et des  labriques loi  ien(  1 ensemblf  d’un  tt I f'  '   1  1  1  à  gauche,  de s  ca^fwdi s  
 ïd en t   la  chèù'e. ést d w i^ é ÿ i r  d'ës  1  Î C  &  ^  de  différentes .formes  , 
 ■ artîstemi'nl^onttastces ét  dessinécs.sur  un  bond  de  ‘bois:,  et  coupées  par  des  objets  
 ■ variés  Arch ite ctu re ,  dd'nnent|lidéeld’un’e>ca[Hpdgtie^d.]itTK’3^ ^ 
 L a   partie 'des  jardins qui/est.au  «id ,  présente'(lés cascades, une  vasü  • pièce  d’eau  
 I  irrégulière eüs parsemée  de  p'eliti s  i s ^   des  groupes.d’arbrçs  placés  au hasard  dans de