
 
		de  cuivre  d oeé  d’or?, moulu  de;ux beaux vases  ch  gr mil  .rougi  , et  un. troisième  « oe h   
 cassolette  ovale  ,  de gt mit v e r t ,  orné  de  cuivre  doré  d’or  moulu. 
 L e s   cheminées  et  le s t a | |  id e   ces tfo;is 4 ëraië'Pés: pii ce s  soniti-décoTées-pf r»mi?ffihd  
 nombre 'de  L   se s . ùim 
 1' ^ ? - I f 1  l’ouvrage  du  feu  Duc  de  
 Bourbon. 
 \jr&h/j£qj p'ïr^ ^ ff&'oÊl^rinêfA'a t 
 L a   chambre à couetÆe/-es t remarquable par l'élégante siniplicibLdé,  son. ameublement;  
 on.  y   voit  quatre dessins à gouache, rie  Pnigmm, une v ifif tlo p  et  u s  .gouache  
 ,  â ë iË S ^ ^ ia / r lune vue  de  la  Bourse  d’Amsterdam, à  gouache  , par üan Dntc/ic ,  
 et un  petit,  portrait  i  l’huile,  de JNFinon  de  l’E nc los, par tfarbier d’après M gàoe ÿ . 
 L e   cabinet des -bains' présente  un  ensemble.  très-agréable, par là  beanté de'sa  dëeothyste  
 >  séparésp'ar des pl îtes  bandes de  stnc  veine de  noir  et de  b Urne ; : l t   plaloncl est  
 de  stôjâyianVJ^gi 
 L e   petit  cabinet,  uquel  on monte  par  uiÿ petit  escaliei  mérite  une  attentiçnfî*fr  
 1^11*'-(-r 1 '■ i  iiiy   
 breuse  de  tableaux  de  différentes  epûfenrs  ,  représentant  diversesta^ets ,,.■ et faits, avec 
 des  matières  plus  ou moins  précieuses  ; il  y  en  a  en  bois  sculpté de  la même couleur, 
 en  ivoire,  en.  argetît  cizelé,  en éeaiHe travaillée au t è uc, cm  porcelaine, en  stalactites;  
 quelques-uns  sont  cles. gravures  sur  pierre  et.  s ûr  g k oe ;   il y   en  a  u ®   grand  nombre  
 faits  avec  des  ç o e j < s  .S n S ïïS ® 
 <Ie  coule ur^ p a f t é e s ,  de s  pierres: .précieuses;,  tous  ceux-ci  font l'illusioni  1 1  plus, parfaite  
 [ >ar l’art  avec  lequel  on  a si t  rappoitcrjcs coule :urs. Us sont tous de la j lïusjgrân'de  
 beauté.,  du  fini  le plus  parfait,  et forment  une  collection  digne des Princes  qui l’ont 
 Galerie  des  Conquêtes'. 
 Cette  galerie est au  loôul  de  l’appartement  que-  nous  venons  de  décrire  , te t  pié  
 sente un  egsètiible  imposa u t  et  majestueux.  E lle   est pëirçéetid'e  cinq  grandes " croisées.  
 et .ornée  dé douze'grandsjpbleaux,  de  5 9  petits,  placés,  àu^dessoué  pw  autour  des  
 Pfemiers ,  et  de quatre autres  enpeSsus  de  portes ;  ils  représentent une partie des conquêtes  
 dé  i ^ ^ . X r i 7' ,   fanS Î l s c ju e l^ ïe   grand l l^ .d é   s’esi signalé  de  la  manière  k   
 ' P^u?  '®SfiÙ§uée ; !1 a^ 5?ÿÿip.P n ci pal e  d'é cliae|ii(ic.'iiri.pagiK:  Occupe; '■ le  mi lieu  de  cita-  
 que  grand  tableau • '  è|.  les  évëneme 1*s  accessoires  sont ■ efepéinits  'dans  lés •  petits  
 tableaux  t nfiglput-lie qui sont au-des|dls:où a.u;tG ut  La plupart de ces table  iux sont de  
 le & lî^ - g ^ ïk s  vander-Meuleu.  .,. y 
 L e   premier  1 ableau  à  gauche  contient  le  siège  k'Arras  e u '  1640.   , '.par, les 'Maré-  
 chaux de la  Mëilleraye et.-de  1  h itillffi  ,  celui  cl Ai.rfc  en  1 6 4 ^ :4   ce!ûi  de  Perpignan  
 en  16 4 a   par  lê  Maréchal  de  la Meille 1 âf e ; le  Pringg d e   CSnltë  ,  al rrs  Duc  cf£n-  
 ghien  ,  y   fit  ses premières /armes  et  y   sert it  en  qualité  de  volontaire. 
 1 -é  second  représente  la c élèbre  b il n ie   de  Rocroi,  g ignée le  19   Mai  16 4  3  par  
 l g ) u c   id’E nghien,  âgé  à  péi^lrdc  s s   âtis  où  il  y   eut  ib / o 00  Espagnols  ^   
 le   cÿamp  de  bata  lie,,  et  entre  autres  lerQQmte  de Fuentesi  un  de  leurs  généraux  ,  
 So oo  .prisonniers  et  où  l’armée  Françoise  slempara  d un  grand  nomibre.de  drapeaux  
 et  detendards et  de tout le canon  et le  bagage  des  ennemis.  On  voit  au-dessous  et  
 autour,  1 ordre  de  bataille  ,  le  s  cartes  des  gouvernemeris  die  Si-rct et de  Tbioiiville  , 
 B   n’cletSMTOh 
 C S 7 ) 
 j ! ;ôlévatinn  i3j|l(^ ^ eg.bsf,dfe y  c ^ j ^ g y i l  le s . p ip e S ^ ir   épjuçmïe  IÇinnë ielans  le  cours  
 ■MWS8IÆ» aMmMSnWff 
 L e   troisième  contie  ''i' '   1  iiÿliu ^ f’ile-l  {,£  ,  i 1'?!  rS^âoul 
 ffîwJM- •  ' éé  cette  armée 
 R u fu ii  jpartli «Duf ■.efal  I n -,  Æas i ois Féj. i1 <*[ 111  L!éïï‘viîÉin’®rft, 
 l j c ^ p.ls]EpmiKayi e '^lc^lS t ^ l CTrS ic ngin  c G B g g 
 campagne  B icle n  ,  Neustadt,  Bach rrach, Creulzenach, Spire , Worms,  Philisbourg  j  
 B^FËT111 l'câiiy S ^ a k fI  1 ^ . la».N1  r’CTne^mf  lîàrtlpiu Vf ,ri 
 n Sfie le e s  p -'ME ^ ^në  i,jnvSM^®a|yi<"Lc 
 cartouc lies qui l’environnent, l’ordre de cette batail le  ,  la vue  d e la t  ille deNorldingue,  
 les cartes des  gouverne mens  dïncke^pmu 1 et de Rotlienbourg,  1 e lovation  et les siège >  
 EVitS^ j ‘nff|eR^^Weâili^i!n^SHW 
 BgtiLe'^^mîT[jiyiwWE j t  nt<* & a * ftm je ’n  y iijy1''i r S l ! ? l-itsain  lie  jSjj 
 des villes  de  Dunkerque ét de  1 uni  s  lam  n i e année , par le mémifïl111  ce, commandant  
 en chef. ] 1 est éntouré de  dix. eartouclies  ,qui  contienne 111  1.1  carte ; de  Durfkin 
 nlvTL,  eSm-  sy 
 \ r e m i r . l / î i . n L   fc ni ^ i^ ^ l iE u ^n fe v <i fjpjf:.  et  
 la   levée  d u  siégé  de  Constantin ,  secouru  le  i 3  du  même Ldafflfeiis  ptrdU'ial’ iiniksjmt»  
 ESTij'elc.. 
 I  e|  iir tro iy ln l K"ifî ^,<11<ill» L  *_  gn|i(*>|  ù  L   ^rméA  
 jg ^ igl e .^ je S ^m V  e n i r?Tf> "^4  ii^S Je 11 a BB ^ Iw Hig W  p'i^ru.p r 
 [èjc^ J i a LimeiisffWjB.eiU lu e w ^ w ^ L ^m ^uL.eLmBllin ^ l^ iS '- ii ge p è J w a Q M   
 ;Li iSVl rtesrmJi-^gmSisl 
 iï*  ^ nw ’lwfmwr l   le  i 2 juin  1 6 7 2  ,#'e ® n i   elV-Mnivijsi'i'jjsM^fE il le' ; 
 d’Emmerrçb  e td eR é e z , et le siège de W e s e l, formé par le  grand (  ondé, qui Æïwnnnj  
 pai  aalT’SL^djjg'ijFle jy lle .  j|, 
 là :  tibisiçiiie:  présente  la conquête de:  la  Franclie-Gomté  e I  la  prise  de  Bes me on ,  
 Sfti:- I l t m i  1 ft  I  uirm  -ous°  
 les  ordres  de  ce  Monaropie :  les  six  carlouçhcs.  qui  l’entoure ni  , t <111111  
 f f l r t ' i i j   Piovjîut ,Vlcs  châteaux elo  loux e r cl't.  S j i i u t j e g 8 H H t e | S H H S ™ r o i ® jH p   
 de Dole  et  d ^ ^ U 9H| 
 elt^i^ntjorelÆali 1 rilçlll' sffli.VÆe^flutUcjî^ ^ nei\rrm jra n   L t %â(jci 
 dans  cette 
 ^ ^ P t e .  ' 
 ^ ^ ^ ^ ^ U U j ^ c i ^ K f î l o c î i s   de?[amsffmv^'tTSTOFétletTrFK'-Isrei 1 -jj<ttit^wCTfap'Ænic~'djK  
 ffitayontou en  le s c e1tm?uW <wim*  tl'dVf' L ^ l^ o im y ^ p lO T '  
 ^EfcBi swetTntfffetiresemtejyffit<it[ÆSJ e  T.eiti jsjgugnj e J  i jafiEmirL, s b iî^ . p«iiyJoiRiirtce 
 Fd'a|jn  lu tH U  e  1 ntpWe.s.  e I  1« - \ dits  
 5}ont  e iSpCne e  s’(.‘rrlP', aJ[y^m'MMr / S^ rai^'igm ||On‘.\.\oif 81 in^juff^^'e' ïftiiffiüeS-■  
 ^mçyation e KsK iiru^^S^y^6  I rÿîba^mi C 
 peuie-.  rrll1~: 
 celui  'ri-fflar'i 
 j ^ ^ i r i f  e ,  en  ai'Bîms  JcV.  fui .dega ^ v e ^ em ^ C T a  rqe-mfe anhécmaTÜj& 
 imtc  de  lLmpe reuiSral