,1 des fo b < s considerables, soutenues par une artillerie formidable. Mais la retraite
qu’il fournit plus i'e'urs fois.aux . rebelles , la i sislance quil op.posa aux armes de
bre 1S 9 4 • et dura <pjarainte-la.uit. jours, qBoique les habitans de \ 1 ngt Line; • 'Oisses.y
K M M H | 1 »Vf 1 rira.H.FBit fill ^Wrn.i'laic. 1 1 4,1 andc^(|iiV^iTi^e,3,p|jhU(.lK (lout on
se servit pour en faire sautey les I'orti'lientioHS Oo delruisit tout, jus<ju: nix souter 1 ajptjV
on ne rcspecla que la la c ad e .yers' le cOuchant et un long murvers le midi: cesrestes.,
qui subsistent encore,suffisent pour faire connoitre la beaute de ledifice (Planch esII,
On w i t a la facade','vers It <. oufli mi la principale U'1 4b l " f
a1? n^iix -toui<! <> uii ulif H H | ^ R \ituii 1 1 s 9 H H | tli;s
-niches. qniii eontiennent1 d es. stati les mutilee'S,; le tableau rep resen le 11
coude appuy e sur le bras de son siege , et la main posee sur un globe ; une fem me
vetue d;une m tniere p s S H i e < , se prosterne .a ses jpieds; d^SV g< nies soptiennc hi lo
bas de sa robe , tandis qu’un troisieme, qui paroit descendre du Ciel , eouronne le
permet point de lire.
L a v i le df & F e i^ M it p ^ it e souyeut la vie time des fureurs des guerres civiles ;
s; e]le d el dans que tqoe ffl^yTFjSTj ( nt i*ac li if a on Souvei in , ell 1
ose aussi quelquefois Iui resister. Assiegee par le Comte de Saint-Pol , du parti des
P% d tgU )^ « i|§ en 1 4 1 1 i l jp h l p e a ^ ll^ ^ s^ dm ^ ^ u u i fe jd le . ,i.ul t e n T i^ q t e s -k ,
pour le Due d’O rleans, son Seigneur. E lle soutint un nouveau siege en 14 2 6 conlre
les troupes du Roi ; defendue par des troupes Angloises et Bourguignonnes, elle tint
assez long-terns pout qjiie le Marechy de^illiers-ille-Adani put venii a son secours
et it If' er fo&i^ge:';" irlais treris;sms/£ 1 re in 14 19 , elle se rei dit a C I rle V J I , qui
en avoit forme l’attaque, accoitipaghb.de la Rucelle dlOrfeans. E lle tenoit, en r -588,
r Henri III et auroit soutenu t * I , • p v » * , ' -*„j
du Commandant, qui rendit la .place aux ligueurs sans laire aucune resistance ;mais. en
1 S g 3 ; elle osa soutenir les efForts des armees de Henri IV , commandecs par le Marechal
de Biron ,et ensuite par le Due de Biron son fils; defendue par Saint-Chamand, elle
0;p,p osa la resistance la plus vigoi ireuse et rendit inuti | > # t s d i | | c 4de :
elle ne cedaqu’au moment ou son Souverain, rendu devant la plaee , en forma le siege
en personne; ellene r e s i s i^ lu s |t.s?e Tetirl/l a < e Prince le .S jau\ ier 15 9 4 . -T c chateau
futalors d t S S S mus on laissa subsister les' fortifications d e la v ille ,e t elleslui suffirent
pouf n0UVl t o siege en . 1 6 S 2 ., et eest le plus memoriibh n a ^ p .h r a y ^ f
TOrsllhiliit'in- . ^ofeWteerfsar d'?s^V|gn,ejn&ns^pjgto;ia'S;.; Vl ■' "■
E lle tenoit alors pour Louis X IV , contre les Princes ligues;, ses habitans dc fendant
la cause de leur Souverain , chercherent a faire oublier qu’ils avoient pu autrefois s’e-
carter de leurdevoir. Ils se joignirent a la garnison , composee d un seul regiment,
partagen s fortrfications, aetablir
des palissades. On y vit quarante bourgeois, soutenus seulement de huit soldats , re-
poms er un rh.rchc^bCLi^^^id^td k de' 1 »nir :e f miemic a 1 all. que du i nhouig
S jS ffl j j g Vit ^d,n,‘
Michel!, se mettren -1 i tete de six bourgeois , les. animer par. son ( xemple , defendrb
lentree du Mon ,|\Vif assailh pai \ ^m-* ?|eur dlsipjater long-tems I- terrain ,
leur tuer beaucoup de nioisdej .et senrepfeey ensuiteien bwiorclre jusqua daporte du
faubourg ; on y v i t r | ® nte I f y i g m ^ E l endre ! e, ■d u hiubourg , succombant:
sous l l w i f h se ret aircher den iere une ,vjhah Le-re■ , y'■ s.outpnii 1 efFor.t dc lafjwie