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traiter avec douceur les Flamands révoltés, contre le Comte Louis ^ur/W'alf^ÔUl.
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Valois envoya m î 3 4 .3 , vers le Pape , poun as i I * à l’acte de cession du Dauphine.
Le s disputes qui s’élevèrent en i 3 a;9 sur la jnris<S$tioe ecclésiastique , îendiient
sur-tout le n,om de Cugnieres célèbre à jamais ; il s’éleva avec lorce < onlrt les Ihus
de pi tte j ji;,is.d'i< Lit'Ji et soutint vivement l'autorité Royale , a laquelle il 1 oûloil la 1 1
n iè in t rÆ | fo S ia fu nùni^j«ô8^t ataouu ‘lutLurr (s, figues 1 n ^ ;
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tains; m iîÿàu lieu de .s ç^& n e r à son su je t, et de le traiter avec, ïu modération qui
pouvoit annoncer son nrig aiVuilile . il s’emporta contre les Prélats , censuia leuis actions
, et se répandit en invectives < outre une inlîni.té depiat'u !fc'
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adroitement de ses écarts , ^ÿsiKiil^i propo: ^ s - j .
\ ■ ix qui étaient concluans et les combattirent avec succès. Les Ecclésiastiques furent
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les JÎ!$?s j 'î i ’.i vott^l on ru
et d’avoir contribué à l’établissement ou au renouvellement de l’appel comme d abus ;
■ \ i ..r p.i 1 -1 jFr i f l S l f f i ff de 1 animosité que le clergé conserva contre lui et dont il
Cumiere se retirait àu château de Saintints toutes.les lois que, libre des affaires
, I i l lîVu L aWep^-Vi ‘ iKnCt‘-«i‘J''- d ftru vu 1
rut en i 3 S 6 , et fui inhumé dans l ’église paroissiale du lieu. I l laissa un (ils appelé
Jea n , qui mourut sans postérité, et deux Hiles , Perronelle et Marguerite ; la première
fut Religieuse et ensuite Abbesse de Mornienval ; la dernière épousa d abord Guillaume
le }'i mleiller, Se igneur de Courteuil et de Bt lien , d( afl gèlle n elïj|ji|§|'iÉ d e n fa n s , e M
ensuite / ierrt de Senn ist dont elle eut une fille J t irâaweét^vee C u ill mroe ïe-
Bouteill r , Conseiller-Chambellan du Roi Sénéchal de l’Angpumo# et du. L b
On a porté des jugements.- divers sur Pierre de Çug/uëres, et ils ont'.:êté.y0ii^'g^e
tous' dirigés par la prévention et l’intérêt personnel. Les Ecclésiastiques 1 ont représenté
sous les traits les plus ni@:|# ils l’ont dépeint connue un homme entrepre»ant, entit 1
dans ses sentimens et capable de sacrifier les intérêts de la Religion et de lÉ ta t a
ses systèmes et à son ressentira! ht, comme un novateur .dangereux, q u i, pour exhaler
sa haine cou Ire le ( le rg é , dont il n’avoit jamais reçu amena mal eniw-prjr d anéantir
sa J u r i ^ M Le s partis ns de l’autorité Royale et de la Magistrature en .ont p lie
comme d’un homme d’état d. fe rme , profond et désintéressé ; ils 1 ont:, comparé au
Romain Vider,iisi jui in titua 1 appel au p e § | | | ; ils l’ont d peint comme le plus sôr
appui des libertés. d< l’Eglise d:e France eonl e les entreprises de la Cour dt Rome et
comme le principal auteur de la loirme des appels comme dabus. Ctigaièrei m'ëiriita
quelques-uns des reproch ;s qu’on lui a f lits , J agit asée .plus de zèle que de p iu-
dence ; il laissa éclater, éhiepartialité, qui diminue toujours le ^ riite , de soétesiir une
bonne cause; il passa indiscrètement des abus die la chose aux abus d e s ÿ
WsL1 ii3l'( iti 11 [’ d^j fèi i 1 U] lUMqu cm] l'e J onjo 1 n - ' pÇ] U u^
céux,!|tpi 1^0m 'itlw*l«r1 hfii«^r ( i f i i 'URj pi^ 'q ^1 ou»'
du bien et dest vwes „excellentes ; il fut bon. citoyen ^hommé dè bien'-j Magistrat ûiCOF-
tpdtiHI. n ' « J ? l|!(lua et
11 " î‘
A ills ( Pierre d')\ ;Eivéq«ë dfi Catribt ,1 11 Cr rdinal,/étoit né à Compïègne en. 1 3 S b ,
d’un père , qui quoique bete^feier., veilla soigneusement à s04V'.ë|ü:çaLion, Envoyé à
Il n«’j 55p-'|,*t fi 'fSc*'. ‘ flt'iM.ml l p t 1 lys s ?
1 1 étoit déjà alors Proeureui de la Nation de France dans | ^ ^ ^ h é des f f i g E S
H’ h Se ï itiV .d c i^ ii4' i\ l ÿ M l l ï # ^ ' ^ -, p ltÔ ' i^lSp tpl< ^ j|i
Logique et de Métaphysique , dans les ,uc ls il fit paroître beaucoup de pénétration
e iv l^ ftfille i^ il ex t n t Jitlî d lU'Ma jl
le M îiiiViduft^ nu k c^îiJomi ilr^fvi"iré ) cÿ|Mii<)i _ 'a Fri { f ' i '''éjM.
'abur t if W S , " " 1V f ^ \ y 7i.ü 'ri*u i'",
l’Î^ V M 1 jun^^clr
fut pourvu d’un Canonicat de Noyon ; mais il
])( ur ) i ’îpln la place de G 1 itd \J îtr.e uiumisi a Collège dans le juc 1 il avoit été
BoiSur-i ^ ï i l / w l^rrjh rWm^hwgfiei l^çlÿrÿiîq^'! p m 111 ^ r cgrbî.^M| U34-' y.iî'"
| f . TO yLu hJI ^ -*d
défi nse;â|l;-lS fa cu lté de Théologie qui avoit coridamp« l’opinion jd‘u,'tiJpBrei?V'®
Jean de Monteson, sur la Conception de la Sainte-Vierge , il se rendit à Avignon, et
-u if lg a l’ ' o^js,vl
tribua sur-tout à faire reconnoître en France Benoît X I I I pour Pape légitime, et il
profita de sou crédit auprès du Pape Boniface IX pour , faire établir 1111 Théologal
dans toutes, les Eglises Cathédrales de la Franeè.ld.n Sermon qu’il prononça à Gènes
\H I liîpfiri | s ^ ! Ç p lllt p A i " ' 3^ Z ^ 1 ‘ ^ d j ’n ^ rÆ ç
^ r H S I hijHrr " U ^ f i n^ s l ï ï i^ 11 W 1 1 n> V WlgM* H |
dans le Coocile de Pise en 1 4 ‘ 9 , et présida à la Xroisième s< ssion d
Constance; il fut un de ceux qui prirent le plus de part aux affaires de cette grande
I l lut faiit uccessivemend Evêque du Puy en Vêla)' en 1 3 9 S , Evêque .d’ïe& f f i f
qvinllàhirw Legation.le 9 tJc’iVlnhit 4 _ j , liji'ACoipy-ffe. fiftJs|ÎOLK 1 1 jgW
hray et enterré derrière le grand Autel de 1 Eglise Cathédrale de cette Ville au mois
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