
power of the heart, the principal organ of the
circulation.
These experiments appear on the other hand,
to disprove the opinion of Legallois,1 repeated
by M. Flourens,2 that the power of each part
depends upon that portion of the spinal marrow
which is adjacent to it, and from which it receives
its nerves. The spinal marrow at the extreme
part of the tail of the eel, in which the circulation
first disappeared, could not be destroyed from the
smallness of the canal. Yet it was in this very
part that the circulation was first observed to cease.
To this question I shall recur presently. 4
4. On the Effects of removing that part of the
Medulla on which Respiration depends.
Legallois observes at the conclusion of his
Memoir, “ Je n’ai parlé dans ce memoir que de
l’action de la moëlle épinière sur le coeur ; ce n’est
pas que la moëlle alongée nen exerce une aussi,
mais moins considérable, et donc je m’occuperai
dans une autre circonstance.”3
M. Flourens has recently put forth a totally
1 See page 109. a See pages 115 and 130. * OEuvres, p. 151.
different view of this subject. In a paper just
published in the Memoirs of the Institute, he forms
the foliowing conclusion : “ C’est surtout parce-
qu’elle influe, et par les points par lesquels elle
influe sur la respiration, que la moëlle épinière
influe sur la circulation.” 1
M. Flourens observes, “ J’ai fait voir, par des
expériences précédentes, qu’on peut détruire la
moëlle épinière tout entière chez les poissons, sans
détruire la respiration ; attendu que ce n’est plus
de la moëlle épinière, comme dans les autres
classes, mais de la moëlle alongée elle-même, et de
la moëlle alongée seule, que, chez les animaux, les
nerfs du mécanisme respiratoire ou des opercules
tirent leur origine.
“ On peut également détruire la moëlle épinière,
chez les poissons, sans détruire la circulation.
“ J ai détruit successivement, sur plusieurs carpes
et plusieurs barbeaux, la moëlle épinière tout
entière, sans toucher a la moëlle alongée ; chez
tous ces poissons, la respiration et la circulation
ont long-temps, survécu à cette destruction : les
mouvemens du tronc et de ses appendices ont seuls
1 Mémoires de l’Institut; Tome x.
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