comprimées et obtus.es; dans la valve in valva d<extr,a çam dente bymenali vel
droite elles sont on très petites ,ou bien cum tubergtilp parvp s,e desmens
prasqu’ effacées. IJn palus linéaire sous
la nymphe, qui dans la yalve droite sp
termine en une dent hyménale ou en
petit tubercule.
Nymph® prominentes.
te. oblonga, extremif.ate antiça ait
sulato-rpstrata.
a«) carinis armatis.
TELLINA rostrata Lin.
Les nymphes assez saillantes.
a. oblongues, l’extrémité antérieure
à bec angulaire.
ccet) les carines armées.
TELLINE à bec.
Tellina Spengleri Chemn. 6. pâg. 98. Tab. 10. fig. 88- 90. En compara«!
la déscription de Linnæus dans Mus. Ludov. IJÏric. regin. pag. 48a No. 28, de sa
Tellina rostrata avec cette coquille’, je me suis persvadé qu’elle est une des qua.
tre variétés dont il y parle. Les figures citées par Linnæus pour sa Tellina m
strata., tant celle dans Rumph Mus. Tab. 45- L, que celle dans d’Argenville PL î 5
ou 22. fig. O. sont prises parles cpnchyliologistes pour la vraie coquille de Lis
næus. Mais je ne saurois être de cet avis , comme je ne trouve ni dans les dits»
figures, ni dans la coquille elle même des caractères conformes à la déscription de
Linnæus. En Jisant les deux dernières lignes dans le Muséum, où il dit ” Anui
planas* loevis> longitudinalis , utrinque a testa distinctus angulo denticulata
s. subsenrato” on verra bientôt qu’il n’y parle pas de la Tellina rostrata de Chem-
nitz 6. T ab .n fig . ï ° 5 , deSpenglerNaf. ïlist. Selsh- Sk. 3, H, 2, de Bosc tom.jfl^B
p. 83 &S- ; mais qu’il a eu en vue la Tellina Spengleri de çes auteurs; et que ces
caractères joints à tous les autres, ne font paître aucun soupçon qu’il ait voulu par
1er de la TeUvte de Chemnitz, Pour moi, je pense qu’on doit plutôt se régler sur
la description exacte d’une coquille, que sur les qu’on en cite.
ß. oblongüê, l'extrémité antérieure
arrondie.
TELLINÈ radiée.
ß. oblonga, extremitatè'antica rô-
tundata.
TELLINA radiata Lin.
Pl.UVI. fig. 3! Chérriri. fil pag. top. Tab. r i. fig. 102. Mr. Cbêlnriîfz We
larle que dé deux vatidt'és dé^cètte''coquille ; mois j’en possède plusieüm, savoir ;
I fond blanc ou jauiîâtié âvëb des fayes coulent de rosé plus ou moins foncées;
|véc ou sans bandés ét Striés cériceritri'ques blanches ; à! coülenï de citron sans ràfèèï
I avéc où saris bandes et stfiëS concentriques ; ët èrifiri une variété' toùte' blâricbé.
y. ovales.
TELLINÈ ridée Eosc.
Chemn. 6. pag. 8i- Tab. fi. fig. 6^
H. orbîculaires.
TELLINE rugeuse Bosc.
y. ovà'Iiar.
TËLLÏNÂ rugosa v. Born.
ƒ. orbicularia.
TELLINA rëmiës Lin.
ßß) les egrines lisses.
TELLINE Perne.
ßß) carinis lævibus.
TELLINA Perna. Spengl.
Spengl. Nat. Hist. Selsh. SE. 3-! P- a- p?g. 79- No. 8- Cbemn. fi, pag. n?
Tab. 11. fig- to4- Mr. Bosc tom' 3. pag- êi* prend aussi cette coquille peut-être
pour une variété de la Tellina rostrata. de Chemnitz et de Spengler, mais la ce
quille dont je parle ici en est très différente.
chemn. 6. pag. 121. Tab. 12. fig. i i 3. Mr. Chemnitz et Mr. Spéngfe L cl
iag. 114, et d’autres parlent'd’une Tellina r'emiës occideritàtis figurée dans'Cheittn1.
bh. 12. fig. 112. quoique mal'exécutée! Je ne sais comment il est' possible dé
■ rendre une coquille aùssi différente que celle-ci pour la vraie espèce d‘é Linnæus; lu pour une variété d’elle. Linnæus dit trèh expressément dans le Bdùs.LudlUlric:
|eg. pag. 480 No. 29, que sa coquille doit dvoir dès rides' solides et lïSS'éE; ’ mais
a coquille décrite par ces savants (la Telline Remiri occidentale) a sëuïëtnënt des
itries concentriques; et outre cela elle a une formé très différente, et d’aùtrès mar-
lues qui l'a rendent très distincte de la coquille de Linnæus. Sa forme est plutôt
«angulaire qu’ orbiculaire; elle est plus, comprimée vers le bord; Tés valvéS sont
hoins égales ; l’extrémité antérieure est plus pïisséè ; on volt aussi que les dentà
ïiffèrent de celles de l’autre; intérieurerùerit on n’ observe pas des callosités aussi
fortes et shilfarites? la teste5 ést plus minjee, conséquemment elie-m’est pas si pelante;
elle est plus luisante tant eu dehors qu’ërt dédans ; et enfin la couleur en est
pïffëtenté car tous' mes six individus ont aü moins' léS somméts jaunâtrés^et quel-
quesunes sont en dédans d’une couleur die citron. Peut-on encore douter qu’elle
loit une espé’ée dîffëïént/e?' Cependant Mr. V. Bofri lavdëérît ët dessine dè bonne foi
Itomme la' vraie'ëspé’ce dëLinriæus'daWs'lVius;' testoc. 'éæsar.-piagi136- Tab. 2 fig. 12 ;
ta figure en’ est trèSbien ejtëct'üéë et béaùçoup riïeilléute'qùë Celle de Chemnitz. Mr.
feosc a1 sùiviTëxemple desf savants déssusinéihiiiésj cothrtie aussi-Mr. Schroter dans