>2*. ^ertàwn^d’ÂÜXe'ffe;^épÊTïckfit fës ffpH précteu-fès en avoîent fait depuis longr-teràs1 Kun^ Dorîiaind- d’un
d^Agauine, qui le donna en fief jsn'p^-, à'Àlb^iic, Comte dë^Bêiiig^giiie,1 de Mâcon. Les Seigneurs, de
Malins raggrandkerit'j.n^enlM^e©tr, & dirent bâtir plajfien-rsi forts fur les-hauteurs voifines.-Elle devint- en.
Ijpéu /de JaC
^R.pyal, d’üne;]^aîtrire/'dîEâux.'& Forêts j ^d^ejJÆairie ƒ ayant,toute? Jufticë^&;le titre de Vicomté | | | |p
‘^Fo7^^Jpif-:Afidre'j; à: gauche de l’Eitarnpe, êt; l’autre'' par-le? Chatel.-Helinà droite.'. !. •.
1;- ‘ISP ƒ. - Sècorfdef Pue de. Salins, prije^du. cô'ti oppofé^'--
^fel^^^PMPE^r|refrt’e'j'ci4>etffr^^e Ial^jl]^^Té^ort ^ 7OT à'gau'clîb Ôt le F <Èià !
.Ibraraet-'d1 un ^rocher efcafpé vers le pied duquel1 ©n>voit la Yille. ôc la gfahde-Sèürii; < ^ |
Il y a deux Sali nés dans la Ville, de Salinsï La grande eîfc urne efpèce de petite Place'foite ou font 'logés1
jtduâ ^^Ij^ ^ w j^t'^fc^^r^siMjl^ P M^^gûteslÜës deux • ëgâléi^rfl^cürieufës^ pa||leurs^. fôurces Kleur
cpnftruâion intérieure!, & le méchanifme,dont on fe fert.p6u%^l^^^^^^mSmtM®c,estîqu^fal4ês*dé
leurs fouterreins : nous en donnerons la Defcription détaillée dans celle, de la Province,
^-m0M§§M e ifrun^lagè ^.ttne? Ileiie, d 'e -^ ^ ^ ^ ^ ^^ ^ ^ ^ gB e fân çSm lï éft^ïMar5®l& pW fêT ^ ^ ^ B
«Êùr -le/bord' du-Doux/L'ent^d^en- êJft petite^
|g'^^^pÈgli^^^^^^^we^nm^PialnmïeWeydans •
jdes^-app^c ^ aig^lufq ^u/^ E eiit. rl 1 ria£ à' fix- pieds^j^qu’onv*
i p p g ?
'^ p le s merveilles que'la' Nature offreà/leurimagimation qui_, fouvent exaltée, leur repréfénïeîèutes fortes
'-ffu eTdés- ^Çolonades^ 'd e slP^mq lr^ ^ d^ ^^ ^ ld e l^mlniec^^Tir
Il;eft uinptiffiM'e'' de donrfe^nîie.dé^^^^^^altpl^^^M^^^^c^^^: Y on ne doit pas s arrêter à celles)
cjui exiftént,^ fur-tout-ÎQrfqu’elles font “anciennes , parce-qu il s’y fait une transformation perpétuelle,& que
jen 1 filtrant^» travers les rochers | changent & varient les figurés; ïo'Ena^ës; par eçs^uors., ; ' £;
"Bourgogne j ,quî!*fakpartie du Volunae .e^tena%t l a Defcription' de ce'cte Province j'^p^^oltrpâfdîè'd
..îh'c^^iuîJ^ti^^
v II ne faut pas confondre‘lèV &aioes£SFO0 ffies' dont nous venons de parler, avec celles de Chencie ^xès)
^uifigey^*qui font ' moms^vaHes“ & ’moins variées. Y"