
 
		tarons 18 Fendrojt oS commencent les EcluTes'du fc an a& O Ÿ ^ j^   ; & 
 . .nous  nous ■ S^ttô'Squterie^n^ ^ ^ ^ ^ a s   mauvais g r i   Je p t é f e r   de  t e ls ^ û K ^ M y u ë s   de  V i l e i  g   
 lorfqu’eUéà 'û^ofent  ~\ 
 •'•  IsP:  j$ .  Vue'de  la  Fontaine- de  Fauclufè  SG- des 
 '‘ ‘ Quôique  îe  dre rëpMfeSnfcé  fous  ce  Numéro  n appartienne  pas  pofitivement  .Vangue~: 
 dôc^,  Ù y'Siflnagfe  iujet 1 ^ f o m a n | f o g i e | .4 ® ^  fe  ; jd ië   &jla 
 feàniere ;   avec  les  autres  Vues  qui  co'mpofent  cette  livraifon,  nous  ont /engagés  a ie   placer'  ici.  Nous  
 n ô ü s^ Ë ^ ^ d é ja   excufés  de  ceV petits]i^^à ,  en Æ o S® / ïim e  Table? r a f e ^   
 dira  ïes  mOyènVd'e  remettre^à’léur'place naturelle tous’  ces  matériaux  dilperfés.  ( 
 •' "La  Fontaine ddVauclufe  prend ^ipo^céidans un^ antre  très-vafte ,  au  pied  d’un  rocher  d’une  grande  
 hauteur,  çÏÏupé’ ’„à ploinÊ ^.omme" un mur,  où  la  main  de  1 homme m’a  point, été‘employée. Cet  antre pa-  
 roit  avok cent  pieds^de  large  fer  environ  autant'de,pr^èndêur.  Ë le   en  fort  avec  une  telle  abondance  
 que  dès  fa  fource  elle  porte  lé^)m.'de' JÛvierë ,  &   un peu  plus bas  eft  déjà navigable  pour de petits  ba^  
 feâùx.  Ë ü e ’fourmt \  fans s\épuifery uné  g^ nài q^aritité  d&âd claire  &   nette, qui-mg^nit,^oint  les  ro'i-  
 CÎïërs  entré''Ief|UeÉs "éllè1 p a ie ,  &.  n’y  produit  ni'rouille  ni moufle;  Ori  ne  voit  point  d’agitation, à  l’origine  
 de  cette  fource ;  mais  bientôt après  l ’eau  trouvant  fé  précipite  avec j^ree, 
 entré  des  rochers,  écume  &   bouil'lonne.avec bruit,,  jufquà  ce  qu’étantprivée  à um  
 elle  coule  tranquillement',' s’accroîr par divers  niiffeaux,  &   va fe  perdre dans  le Rhône , environ  à  deux  
 lieues  d’A vignon. fous «le gom.  de Rivieie  de  Sprgue  qu’elle  portoit  déjà  à  la  fortie  de  1 .antre  dont,  
 ^iôus 'à'vp'ns, parle/^  . 
 J^auclufe  efbun-^petit -village, dans  le  Comtat  Venailïin ;  devenu .c^ebre l les  Amours  de .  
 ^étxârque,  éç, de,, la .belle  Laure, qui y  avoient  çhacun  leur  maifon  aflez  près  l’une  dé.,  ;mf js: fer, 
 pgrée,  par  encoi^rd^s^le' ^ernie^^^^^es ^epigp  -làaiâèes.qu ei$ a|Ç: 
 p^Uoit. ,les' Châteaux,  des  deux  uimans.  Leur pplirion  alluma’les . feux  de Fé'trâiqué  àvla  preniièEé vue  de?  
 la  belle L^ure.^^  fa; palïïqn nous^a  valu des  chef-d’oeuvres.  On  admire  le  q o ^ ^ ^ ^ s 'î^ ^ s^ ^ l^ d p u ^   
 cçiir  répandus  dans  Its'çanfones  charmantes,  au  nojnbrq  d’environ  quatre  cent,  que  ce  Poete  aimable  ,,  
 infpiré  pap,l’ampii^& par  fon  génie  avoit  compofées ,j)op elle. Pour fe  faire une  idée  de  la  fontaine  de,  
 Vauclufe ,   des  lieux  charmans  qui  l’environnent,  &   de  la palGon  de  Pétrarque  pour  la %êl|e Lame  ,  il.  
 faut  lire  fa ^quatorzième'  eanfone  r>che0e ,  jÿesehë x e  do Ici  acque ,  l’imitation libre  &  gracieufe  que Vol--  
 taire  a  feit&.de 1g. première.  ftrophe-de^cettp  p i è g e àc  la.defcription  pioéfi^u#  de_ 
 Madame Deshoulieres,   où  Ton  retrouve  cette  vivacité  de ientimens,,  ç m è ^ 
 ■ jsptüemaïyeté  &  .ees-jgraêës, qui' caraltéçifent  les  comportions. de  fon  modèlè»