-voir. jQuelquesAins,en attribuent la'^GQ^^^^io^âu^^^^ülm^adtàutres1aùx^R,omainsfwXl5« ^pË tf&foütenus
de circuit. Ce qui en refte épargné par le laps de vingt fiècles, échappé aux ravages des Barbares qui
ont faccagé cinq fois Autun, eft encore fi folide, qu’à peine le pic peut-il en détacher une pierre,
,3N° 40. Divers ^ÆèfiUméns & Antiquités d’Aucun*
■ ‘Q u a t -r -e; J I 'S -ê à p ;Me m ê M £ p ^ K < e » "
• 1 L a première repréfente une ‘V’ ue de l^Eglife Cathédrale d’Autun, prife de côté. Dans cette Eglife font
les reliques de Vulgairement ap,pe]ié S. Ladre, & que M. ÏAbbé'ExpïMy dafkv^oir été Evêque
de Marfeille, & Martyr. La cOnfeudlion de TEglilè * a été comm encée beit I en
$8ç- na ët é ‘ achevée qu’en 1178. Elle eft d'une Architecture gothique, ayant fa. Voufte- -eit ogive. 0-4
en admire le Choeur par la nobieife & la magnificence 'de fes décorations ; & le^Qfee’h'er l4de pierre en
hardie qujÿ, foUide & propre 5 dû à la piété du Cardinal Rolin. Le dedans
de ce Clocher5 uniprèfque jufgu au ‘poli, a la forme d’un verre renverfé. .C'eft"un;problème parmi lës
!ÀrMûteltes ;J: t e É#:#fefipp^l||ë0i ^^aarauge^b^^ roM ^fiffeun ^ ^ l^ëreufe ,raeyéerd!^m^^^Bîsî
cens 'pieds Ôcl-^I^-Va que cinq à fix pouces d’épaiffeur. On./voit à droite 1 Eglife S. Jean ôt.le bea-u1
.Choeur de S-. Nazaire & de S. Celfe, qui étoit la première Cathédrale, mère du Diocèfe : mais ce'
fuperbe édifice eft refté imparfait.
prnée^dju^^ArcAite^ure^ ^ ^ ffiaul ^ ^m^^^^ ^ ^ ^ ^ ^ ^tCois^tuyauxT^&^falt^m^ fé r t l^ l^ ^ ^ r a e k
dans la iBlace’/
lieu où fe fàifoient les évolutions militaires & la cavalcade du Vierg pour les jeux de la S. Ladre, dont
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fous 'le nom de Lierre de Couhard, petit-Village près, d’Autun, où. elle a’ é té , cobftfuitê’ d'ans Fuaa ides
J? olyandres ou Cimetières publics, qui en a retenu le nom de Champ des Urnes \ on~ y ^^R^ueffet
trouvé.beaucoup de vafes,cinéraires, de lacrymatoires , de f médailles, &c. Cette PyçamMe,, dans le goût;
de celles d’Ëgypte, ou plu tôt du tombeau de Ceftius à Rome, eft dégradée, & Ton ignoré fon ancienne*
^ ^ ^ ïÇ ^ : ie r v i f^ f e | | . ;D?autxeI|c:om££l| r a ij ^
de C é f i r ^ c d e^ p>ç^ o ni^ ^ ^ (ru d j ^ ^ ^ ^
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DESCRIPTION; PARTICULIERE
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A MESURE <jue nous avançons dans la {C&Hiëce itnrnenfè, que nous ayons embraEee
uniquement par amour-pour les Arts, & .dans la’vue d'être'utiles à, nos.Conçitoy'ens,ÿ,nQ,us,!
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Naturelle & Économique de rfflGuÆjti Ü a 'H I rL d 4 1 ~ jjV.F^!
petits Pays qui y font enclavés; l’origine des V ill v,;
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- ms ‘ vous déjà ré ] :s . eux premières I ;s du , dt t êcre achev es
incel Pamment, pourront férvir de modèle à ceux qui aucon ’ 1 .< ou rage de fuiy.té^eè pl 'lï
féparés en autant de volumes qu’il y a de Provinc s , on aurait une Hiftoire complette de
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alors , qu’on connoîtroit la France tant c mor il q i ,u | li\ j i t W l ^ ü f t o i r e
NatnréÈg,& hconomique du Royaume, & la Géograpliie-Pliilofopli qi r? Ï piToV llu
(féfijex, ’
des différens pays^qui comfpfent-célê|;
■ î rwinrolnÆi i ^ Î^Tl nf*1 cloti'S j if a (jii t W p i. u iï i ra'pHb^nilâr II ,
1‘ 1 ' 1 iux “t1? 11 \\L^ ftoY^rel'r m ” fi ctSf"tr?* J t ‘f-** *îj,
annoncés par. le Profpeclus : nous allons y répondre c thé roriqneniént, & d une m miii^
jptisraHIAte»B ^ h ’v: ■ pMlnjkèànjft -i 5
pr,eniK.i pl m 1 'reSroi’i r^rh*n*pi < i i^çijbjH;
„gewent,. pHÏfqae nayànt reçu ucunes avances de MM. les Soiifcripteurs, ijiiï fo rt les m lu st
de prendre teMes Jpfeies de i’om-rage, où de. rélnfèr celles qu’ils jugeront à propos, il
nous. eft: loilîfelé\de:;dpnner plus ou moins ’ d’étendue à l’Hilïoire Civile & Naturelle des
pays qne nous déérîypnsj.lliivant l’abondance où la rareté des matériaux que nous avons
en portejfèuille , £u-/tqùcp{les Provinces du.
LivmmciW.
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