
 
		1  bdâuco^p‘^^éWiOtioÉfe'5, qdNOÎle  d£&  Ducs,  de’ ,Bkupg,©'gâ,'ë',/ -<$c devint  iîn'e  des  plus 
 Cette  Ville veft 'tan  des^©’©u»véiTiêmêns' Particuliers  du Gouvernement  ©^aéral Militaire  de  Bourgogne*  
 ■ Elle  a  u'n  Bailliage ^particulier  -avec  une'  'Chancellerie  reffortiflant  au  -Préfidial  de  Semur  &   au  
 Parlement  de  Dijdn.~Elle  eft "la  huitième  dés  V'i'l’es  q.ui  députent  pour affilier aux Etats  de  la Province 3  
 ■ &  qui  nomment  les  Élus  du Tiers-Etat.  Ses Armes  font  d’azur  à  une tou® d'argent maçonnée  de  gueia’le ,  
 w e è  ;;@éÉfé-^ v ife   :  E s 7o  n o b is   D omine  Tur ris  fo r t itu d iw is .  Elle1 a  donné naiffance  à plufieurs  
 :  Cfens  de  l i c i t e  ,  parmiUefqu^.ôn^Bfâ^ ^Mà^ eM 'n a rélË ^ ùiiro r^m ^ ^m ^ ^ ^ ^ ^ t^ g 
 P ^ ^a ^ ^ >^ntr àukës"uû^^fai^-fuW^|teMïm^^^f^^on^fàiMl?MUG^||,MeJ  cas. 
 ■  Cette  première  Vueprifé  derrière  la, Coline,  repréfente  une  partie  de la Ville &   le  Pont  qui bonduiû  
 •  au  Ceufin-la-Roche.  La rivière du  Confia  qui ferpente dans  la valide,  offre entre ces deux petites montagnes  
 le  Pa,ÿfa'êe  fe  ffius~  riant. _L__ 
 N°  26.  Seconde  Vue  d’Avallon 3 prife  fur  la pente  du  chemin  qui  conduit  a  Saulieu. 
 C ette  Eiamip:ê..:fàit  voir  Ifs:  ornent  cette  ¥iËe.* ^ | ^ i e ' ';la  Colégiale,' fous 
 , 1e  titre  d e jL   Lazare,, dont  le  Chapitre  fut  en'S'j-d'  par  Qirard  Comte  de  Ne vers ,  Ôt :~les»  deux 
 ParoilTes  de  S.  Pierre '&   S.  jfpl lm .  L ’ancienne Fortification.indiquée  au  bas  d e l ’E ftampe,,  rappelle-  le  
 liège  que  le Roi  Robert  en perfonne  fit en  ïoo6 'du  Château d’Avallon.  Il éprouva  une  fi forte  réfiltance", 
 : qu^tée rite; f u t m o i s -   qu’il  parvint  a  s’en  emparer,  &   s;ê^0Ê^  le 
 chemin  de  celles  qu’il  fit  peu  de  tems  après  dans  toute  la  Bourgogne. 
 que.  amis  avons ‘dikâ^ë^ ^ É i^ ^^ ^ ^ ^ ^ifilm^^wraHQn „ fous' lesgK^^m  
 i o ,  &   1 1 .,  tant pojïrles  détails  hiftoriques  que pour l ’explication fommaire de fes principaux Edifices.  Nous 
 répétir^ :en  faifè'i$r;"Ê^n®l$ÉÈé  |ls  p#nci|)âfes  Ailles;  
 du  Royaume  fous  leurs  différens  afpeêts,, lorfqu’ilsjfe^trouveront  variés  par  des  fites aulli  ktérelfans que  
 ceuXwde_la V ille  dlA-ujcerre^A, npii^rinus hntme.r.Qtxg_daias  cette-feuillevà-quelques  obfervations fur l'intérieur  
 de  l’Eglife. Cathédrale  que-  l'on  diftingue  ’dans  l’Eftampe  fur-toutes  les  autres..  . 
 Cente  Eglife  eft  très  valle  &  d’une  belle  conftruêfiom  .Il  règne  dans  fon  enfemble  une  fimplicité  
 majefiuëufe.—Elle  eft  peu- éclairée ;  'ctétoit  un  ancien  ufage  très-propre  à  fàvorifer  le  recueillement.  L e   
 .  rétable- dumiaître-Autel-eft  orné d’une  Statue de marbre  qiuhrepréfente S. Etienne  priant pour fes bourreaux.  
 Cette  figure vue' de .rent'Ifed^lEglifev  produit; un  très-grandyefFèt ; ;mais  -elle  en  féroit  beaucoup  plus  
 ènc-ore,  fi"le'"vitrage  du  rond-point'qui" fe , trouve par  derrière  étoit  caché  fous  tin  rideau d’une  couleur  
 fombre.  0m®t  dans  le  Choeur, dé"  cette  Eglife  l’Epitaphe  du  célèbre Evêque  Jacques  A miot. 
 Nous  avons  déjà  obfervé  qu Auxerre avoit  été  la  Patrie  d’un  grand nombre  de  Savans.  Nous  devons1  
 encore  diftinguer  parmi-  eux  Jean  L ebeuf ,  un  des  plus  habiles Hifioriens &   des  meilleurs  Critiques  de 
 Le Beaul^oiS',  étoit connu fôUKcef^^^^fôfii^db^.Rois  Çarlovingiens;  Càpitate ■ 
 dont  il  s’agit  i c i ,  n étoit  alors qu’une Bourgade ,  &  ne fut  érigée eh Gommunàiqu’en  1203 par E udes  III  
 Roi  de  Bourgogne.' Quelques  Auteurs  ont  auffi  prétendu  q-ue  l'a;'.r%|l^æg1  Beanneyétoif^d  même  qüè,  
 Bibra&e  dont p a r l e . -ma i s ,  indépendammentdexexqdd'ènqus "avons déjvdiiyfens le Texte proviifionne^  
 dé  la  cinquième  Livraifon  fur  le  peu  de  fondement  de  cette conjedure,  il  èft  certain  que  Bibrade iétoi&i  
 #nê:  -^ille.  te Beaune  ait  tenu  un  rang difiingûé^dans  des  teihîj é lo ig n é 
 L p ü is .X l  y  avoit.fait  bâtip^un^Çhâtéa^aEÏENRi  IV  -Ba  faitJfémôfiî^eh^né'psivs 
 II  té  M P 
 agréable  &  fertile,  a  déterminé  plufieurs  Ducs  de  Bourgogne  à  là  choifir pour  le  lieu de  leur  réfidencev 
 ll|g  :un : A y d ^ ^ ^ ^ Æ c p t |e ^ Ë ü è  ^emf^ne - Ç j h   
 On .diftingue  dans!  É l w  ^ 
 pas  de  Beaune ;  l’Eglife  Collégiale  de 
 Hôpital  fondé  en  1 ^4 3  par  N icol a s  R ollin 3  Chancelier  dé  Philippe 
 d<27z^  yâ:  vie,  // ƒ??  ûva7ZÆ‘;^ i '7norr z/?z PZqpzVû/ powr  /«  Quoi  qu’il en foit,  les avantages  
 -qiue  1 humanité  retire  de  cet  établifiement ^  en  font  un  Monument  qui  ne  peut  qu’honorer  la  mémoire 
 ayons 
 l»  iÇomenade,  ôc 
 - ^es* deffihs & fojp t l l i l ÿ l ^ ^ d e  M. Joiîyeps, iVrhh^é^ldes JE|ats t de Bq^rgognê. ^  I 
 de‘ fes  Compagnons  allèrent  fe  préfenter  à  Etienne, g co n ^M Ë '^ ^ tp fe em ie^ y f^ ^ l^   
 ^ ^M ^ ^ ^M 'p r e n c fre  Bhâbi^MWfûivre la’Règll,  l ^ o ^ b r ë ^ l ? E ^ g l |^ ', 
 | à ^ M j^ O T ^ il® lf f l^ é tM ^ d è ^ d h r è le à ;M a ^ o n s^ d è l||M ftiàW ôW d^M ^ ît 
 qu Etienne  jetta  j |M B S ^ ^ à % ë ï t é . t e f c ® ® a r |A |M 
 /favôrifé  par  les'Cbmtes  de  Chalon,  Savaric" ôc  Guillaume,  il   parvint à  donner  j 
 a  ceux  de'  fes  Religieux  qulldétacha  de  fawMa ifon/&   mit  à'ieut  tête  S.  Bernard.  On  trouve  dans  lé  
 CKattre  de|fondÿion^ & ^^^JnéSi;'différentei  donâüons|feites ' à  cette  pa^ 
 qifô^ p!o ^ p ^ o ^ ^ n o m ^ s , ( de 
 y   répond aü®Sop q?ar,® 
 l^lüfieür^ iMaüfdlées des ‘Princes * qui ' oiït ^onfeoufiilaf^éraHuf^  de, ce Wdiiaftèriî, ^  V 
 Vite de ^MJg^ ^ kC ‘4î^é'drcde> dljiàtuni&  cl'$'lâ 0 itn^çifè[\ faU&j^îrwiS1  , 
 ■  ;  Deux  Eflampes  fe r 4a  mêrhBv^fëâllpi^ È y 
 "  ' r  e  ^   'B 'ÿ  vi' 
 ViÉé  cM.utühs’deux  ËglHes^ ^Càtnédr'afeé' 
 Ydfe  Saint  Lazare  Evêque > &   Martyr.  La  g r em i^ '^ ^ ^ ^ ^ i : .^ ^ é V  dé;; iæbâîir;:'l®: 
 ^^^mfi^u’ê^  aptè%> (^ ’éflg^i^dmüite»,< efl? r e n é ^ 'T tM |^ ^ ^ ^ c à ^ ^ d ^  î^^rfecl^aè'  a'' 
 l^lgairëméflt,  Ëadf#ÿ \ ranyd^fufet‘/de’  jj:a^ 
 Robert I  ,> Duc dé Bourgogne. L ’Architeêture  en efi: ' 
 'de  pierre'  accompagnée ^ d’ornemens j   &  c’efl:  le  plus  beau  de  la  Province.  Quoique  l’Evêque  66 lÿ  
 ' Chapitre  fe  .foient  retirés  dans  lEglifé  de S.' Lazare,  où fils  continuent de  célébrer  l’Office Divin,  celle,,  
 de'S.  Nazaire  eft  regardéconlmeja, véritable  Eglife  Cathédrale',  puifque  c’eft  dans  cette  dernière  qu©  
 Eteg®|^Ûes  font  in trô r ii^ -',V