,d*attendre> au -moin-s que les deux volumes
ÿ b n t " ^Æ u e fe p ^ |^ ;^ i© g a E |^ ^ É ? ;
auxquelles on travaille 9 ainfî que les Eftampes, ,en foieiiE .rap^eo-rdées avec le texte, pour
Après la Bourgogne & \zDay.pJùne', nous donnerons Paris & les Maifons Royalès , partie
c ia natur^gL^ie idesjQ^ ^ ^ S ^ ^ ^ ^ S etfferm^ 7à
' Nos Livraisons d’Eftampes ont alternativement porté fiir la Bourgogne , la ,'|Ffanç}ie^
^ o o y ^ H W L Efance J&. le Dauphîtifé, 'peU^qu^q^Sdlons e'xpliquéryprqvifoîfbment,
eft la cinquième de ,1a Bourgogne.
A T I O D E S P
N° • 33. D eux E -fk ; a m P i : s . ^ p ..t»® m â;M e
Premihe 'Vue dè la Place Royale de Dijon & de dancien Palais des Ducs 9 connu maintenant.
fius le~UO?n de ~Logis-du-RûL
^^ ^ ^ clBia^parlé ^ ^ j^ m M a B B W a B a n B Jfrr M-G 17. La
fe : ■ •géni^ :.&iaÉï^aa;fv,... eftigipgEte ej»
-arcades couronnéed’une baluftrade,. êç ornée dune Statue Eqiiejlre de bronze, repréfentant Louis XI¥'
^ ^ S ^ ^ l l ^ oïntine,fans étriers. Cette Statue élevée de vingt-cinq pieds, compris -le piédeftal,’ n’a
■ ^|J;é ^ è n 17*2J , quoiqu’il y eût plus de «ente ans qu’elle .enfété conduite de Paris à Auxerre.,
pour être tranfportée à Dijon. Elle pèse en, tout cinquante-quatre milliers, & a coûté io8'Ot)© livres.
■ Sous le pied du cheval jhors du montioir, font gravé.s ces mots : Le Hongre me fecit. Les Infcriptions
compofées par M. de Boze, font trop longues "pour être rapportées ici.
L ’Eftampe fait voir à droite, à-peu-près le quart de la Place. Æ)nr -viok^dans le fond vers le milieu,
1 l ’Eglife de & _MzcM,--dont le beau Portail' gothique eft caché par les bâtimens 'eniaitl ^kapelk
du.' ^©1 . j " f i l i f f l ’tn, .riÿa
1433 par le Pape Eugène III à Philippe-le-Bon Duc'de^B'durgôgne^ qui y tint le troifième Chapitre de
l’Ordre dé la Toifôn^O'îr'En-face^âe-la[Statue équeftre eft ràncien Palais des ©vies,, où'l'o,gen& au.j.oûÉd^làiîî
les Bois & *ïeîi%véèi<pac
Jean-fans-peur, qui la ik prodigieü.fementvexhauITer Jors defes démêlés avec les Orléanois & les Armagnacs a
pour découvrir le plat pays, & fe garantir des furprifes. Il y ua à la clef de la voûte le rabot que ;ce Prince
avoit pris pour armoiries, depuis que le Duc d’CHéans ~qu’il fit affalïiner, avoit pris un bâton noueux
çour les fiennes. A gauche de l’Eftampe on diftîngue un
Tofcan, & qui fait partie de l’ancien Palais des Etats d P ^ ^ ^ ^ ^ ^ B ftl|T ü / le s ;^ 8M |® ^ ^ ^ ^® iÉ lïv
C e Palais a étét conftrnit depuis ^u-d-khr^ès j -rue Notre-Dame à D'if on, pour augmenter le logement
ides Elus de la P r in c e '., ©n voit dans le lointain la ToW-duXdgis du R o i, dont oh a parlé dans l’Eftampe
qjii'précédé : à l’oppolite, le PréfldiaL—
I \JDeux I
:'.v de^Djjpn^ \
L a première Planche d0ï§ la vue du Palais où le Parlement ; créé par -Louis. XMqfelieàa^réÙniôitià
Tend la Juftice. C’eft un grand édifice antique, dont feutrée 'eft un Porche foutenu fur quatre colonnes'*1
& élevé fur un Perron de^p^u'fièurs degrés. Charles IX y fit conflruire la grande Salle,, .’achevée fous
jH en r ilI I , dont on voit la Statue en dehors, La Salle des Audiences ipùi|i],ïques j eft l’ouvrage du bo,n
A - A ^ L .^ l f s M e t e W f c | r y i t o f e . f % a A fa ,»-
L a fécondé Pkm: ,e reprdfcntc I e sérient du Bailliage-Préfidial, auquel eft réunie la Chancellerie aux
Contrats du Duché de Bourgogne, Jutifdiaion particuJièré à cette Pfoyiu e. C é®anciennement
THotel1 Aubripti, q,ue le célèbre Hugue : Aubriot;, j B » .de Dijon , & eirfùite Prévôt des Marchands de Pari ,
avoir fait bâtir dans la me du Change,aujourd’hui rue Notre-Va a. Le
un lieu privilégié où fe tenoient les Changeurs de monnoie. ^ H
, N° . Vue de la y Ule de Mâcon.
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«dont on p r ie ra ;parmi les Hommes illuftres de Mâcon;
A l’égard du quatrième que l’on a été forcé de joindre aux trois précédons pour complefter la Planche;
Rois Henri III & H, v u ' , f * '1 3 ? ' î n i ! rn
ijgeijtoiqc, ^ b t ip ^ a ^ ^ f fla ff ll^ lM ^ iSujd^ru^l.'dfi^.ftir^l tans dit dsÿPaiftràjfcâeé^li]
jiiâiïhl^li^l^^a^é^ûtgu/^^c^mlka^^n jés^îctA^tçp^&drtià: laiiHujîE; r
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N° 38. Vues de ia -viLL d’Arnay-le-Duc.
|- ’ A rnay-le“D u c , ^/-/zfrz//7z, ^/-/ze/wOT-jD^cw, ville du Diocèfe d’Autun, à cinq lieues de cette ville;'H
dans une fituktion agréable & W e fu r jà rivière d’Arrqux, eft le chef-lieu dnne B a r « ^ & d’un
particulier du Pays d’Auxois en- Bourgogne. > '
de S. Pierre Ordre de S. Benoit, fondé en ,io8'S par Girard Seigneur de cetce'Ville.'Il y ’avotc aucrefois
,^nay--lè-Dùe il ne v refte qu’une groffe tour qui - fert ^é’Èsètel'-de-Ville. La
Paroilfe eft da'ns l’enceinte de cet aiïe'ien Château.
.N° 3p. Deux Vues d'Autun & de fis environs.
L a première eft prife fur le chemin de Montjeu. L o n diftingue dans réloignenaent la Tour des I
Urfuimes, la Cathédrale, le Séminaire. &c. Nous avons fulhfamment parlé d’Autun dans les N° $ , 6 3
112 ^ mm^es L i v r a i f o n s ; c i n q u i è m e , auxquels nous renvoyons nos Letteürs, »^