
 
		&   pittorefque.  Les  1: J'C  'ou  lits- de fBchef  qui  forme  t  ce  CùMeTaè: „îon't  v n  j>*" èn.fens  c intraire,  8c  
 f -  *11  I  s’être  rapf Êochés.par un effort quéle globe paroît.aivo  ïiibïïdence 
 des lits inférieurs que-Ies .eaux de la mer avoient formé. L e  rocher d’oîr fort la Caufane ou Cufane ,  fe -nomme  
 Ja  iToui?  e  ■ L i  fource  < e ce  ruilfeau gui |ÿfle;"à  Nolay,  eft dans  ehe  grotte pi  loti  e.,  fous  la  «   *  se’V   
 terminée, -par  tm  badin  d’éa.u tràs-d  re , qui  quelquef d s  débofde  çonfidcrabiemetit :  il  inonda  Holà)  en  
 Jar  1S1 '  11 idrt  aulïi du trou d'une roche voiline,  de l’eau à gr  jouiMbnsjîqui ne coule,que ■  ingt-quat-re  
 'A s p -   1  &   qu’oit  peut mettre au .rang,des^Bminer i itermittémes. Plu  U >in, à droite ;..on admire une Cajcc«fe 
 I  : plus de,  u,   te -™   cqsied  d élévati )  1,  d  n t la c   e a excavé iiriliaflin de 
 æ à  1 y .pied  d  v  ir  par cm iofité le!  ce n  '  llatioi s  li i, ülièresêc-lès-glaçons de  figuras 
 va  ‘& i fr-J 'iza :res  , [ui  -fe  ti n  ent  en  hiver  dans cette  cafcade. Toutes  c ;seamxfe p  te  I j   sanie  prairie  
 embeMiepar la  matu te  &  fermée  de  trois  ciâté : par. de hautes montagnes :  il ÿ a  une belle tufEcre à la fourcè'  
 K a [?^~  ttfane. On trouve tlans lesanontagnes  es enviroi  .‘ 7*1  • & ' ? •  pärfemt!e de gi iphÿites ciry t* lin  es 
 &  'devenues fpathiqnes : ce marbré.greffier .renfermé beaucoup d'accidents, &c. Ce font dés  lieux femblables 
 I I Ç  le Natur ilifte fe plaî  à  parço'ürir,  pour y  chercher 1 i rltruétion. Nous  aurons  bccaliori d’en  déc'rirè  un  
 grand nombre dans rililroire Naturelle du Royaume. 
 t -M °   ,tf-  Première  b fie o a   e  Vue s  de la  Coh  me  k   Cuffy ;  près  d Ivry -en  Bourgogne.  Dn  .admiré’' dans  
 ■ cette Province un  des  plus beaux fnonumens -de /l'antiquité,  unique  eu  b'rant:c,  &.peut-ê(fè  d'àns le monde  
 entier.  M.Béguillet  e  a  d  iné  1  développement,  dans  lèV Supplémèns  de  l’È i'.cfçlçjréclie  N  is  ren  
 rVOÿous:à fon article  les Amateurs de là belle  antiquité : il fuffit d'en  donner une courte nonce. 
 V  L e  Village  de  Cuffy-la-Colonne ^fitué à trois lieues  de De  1 1 e 
 portée de  carabine,  eft fruité ;  il y  manque  la partie fupérieure de la colonne, le chapiteau &   l'entablement-  
 ggj  ~Lqt-t_-dud 
 u eft qu t  foubalTement quar  é ,à  j  ns coupés & i   e  ci ncaves, c  t l  pt pieds  c e liant  ur fur fi  ze  d  ein 01 v  
 ^ ^ ^ e q f f r e , f t c q n d ^ ^ ^ p r ( , ’r  a-ta  „ ft-'li.^P^ -Wf  tfcs 
 font des  elpeces-de niches, Jâns lefqueUes  on a fculpté de belles, figures, én demi-relief,'prifes dans, l’épaiffeur  
 de  la  pierre.  Elles repréfentept :de  Divinités  faciles  à  reconnoitre par  leurs attributs, dans l’ordrefuivant  
 'Minerve,   limon,  Jupiter,  un Augure-,  un  jeune Bacchus:,  une Nymphe mar  .  ,  u r Heroik  &   un  Captif,  
 les mains  lit es derrière le  dos &  couvert id’i n l^ ^ H S r ^ l^ r l 'n C S S jw 
 bas.  On  a  découvert  en  1724 la  partie  fupérieure  du chapiteau  chargé  d’un  relie  de feuilles  d’Acanthe,  qui 
 giffig^cfAuVener,  etoiriÿffibolKitlè'^a'liie le  reit'ë  , S * v Sal  te‘ 
 Divinités païennes, ,clè’^ -   ieux  diftinguer  du  bas  de  !a  colonne.  L ’ufage 
 1 ï^ c i0nLur^e^ m ^ 7^ a o | e   T  1 
 employoit à de nonvelles. ipnfîmQâëns les-matériaux tout préparés! ‘ 
 En quel tems &  à quelle occafion  cette colonne a-t-elle  été élevée ? Voilà ce quiie ve-c  les'Srvans de V ,* 
 fouilles  en  croix qu’on a faites fous ce monument. L'opinion du grand  Saumaife eft  la  plus  vrailSffllffWtfl 
 n n tK ) r fx é e ..d e< îa fTO e irM jM li^ ^ ^W W ^ ^ teM te aV é i;i« lfa tA B  la&raiÿjàat^ 
 , èinq^fi'eiresrd’Autwn, 
 DESCRIPTION  PARTICULIERE 
 D E ;  £  A F R ANC E . 
 D H ^ A'R   iT  E M   E \N p i   D U   R H O   N ;E. 
 G p  UtV'E.RWiE IVÉ\É‘ÏN" T  B E   B O U If. G O G ÏÏÈ:  
 T  R  m'é  C ^À^in E  Ri  ‘ 
 ’S!«11 k-, 'Ju'Texte ^éfc|to|âai^è|(4S5âÊsiÂoflg-teiùsI''Êîoa;a  étoH  dê^ 
 M s E fil^ î r î f   f  i ^ '   V o u s 
 1  j i i I î ju â u tm o i s a p o d Ê Â ^ 1'^ ' 
 ^dans '«  M i i   & v l à t s i f â n ' 
 stitlLmpe,  J& . IjOÜHV^iyeUionsv les  Rorl faits  ôt  let  TonlbeuiïX 
 .   t d c m k r ^ n c W e   l r ^ B r a n r R ^ Î ^ K -W  M ? ; / , ' 1 S:’ l 4 î l W f A j ^ ^ : <îj  ^ 
 -ce  l a 'h ! ^ 
 l o S l u r y  jSôllli I 
 Ç^A  T I  O N  D.M&  n  £  H  $  Ä  J, 
 i ,V M »  d e i ^ l  X ^ M 
 M S   tocft.rtfec.ulq. 4 u cUc.^oi-v ctd. b-,t!3, KtP  les 
 ^  •Dïe'üx.j  pteqÿbte,ils, 
 0 g  m R U«a i U B i î ^ K T n ^ 
 penfent  qn’eKe  tire  fon  nom  des mots  Celtiques Diw  I  ,  à  caule  de  fa  lituation auprès  de  deux  Rivières  
 &   de  plufieurs  Fontaines.  Le 
 |eéttë^viff^^â^(mj)le*car  • ƒ   Ç - 
 îl  parle . dans  fes.  Commentaires.  .  7 I Elle  eft  une. des  villes7  du .Royaume  les  mieux  bâties'  &   le  plus  agréablement  fituées  E Hé  èil affife  
 au  pied  du  .MoqteAfnqiie,,-versl le   confluent  des  rivières  d’Ouche  & 'd è   ’Suçoir,  fur  la  route  la  plus  
 P r ê t é e   du  Royaume,  qui;  va  de  Paris  à  Lyon  &   en M e ,   dans  une  plaine’qui  s’étend  du  côté  
 .du fflldi-à  plus  de cinq  ou  fix lieues,  &   qui  eft  arrofée.  par  la  Sône.  Cette  plaine  fertile,  à  commencer  
 dePl,ls  .D,;ion>  eft  terminée.-à  l’Occiilem  par  un  rideau  de  montagnes  qui  règne  jufqu’en  Provence,  & 
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