DESCRIPTION PARTICULIERE
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Le defir de prouver qui 4 ■ WaJffi^x »v > •3 m ^ V' h 1 ns affûté dans L^ ^
le Prbfpedtiis de notre Oiryrage que; nous avions de l’av mee ; & celui de mettre dans (
les Livraifons d’Eftampes une variété qui deviendra plus intéreflànte, lorlque nous, ï ^ J S*
ppiKrooe les;enMémM^deMonumgns:& ~ d ^ â^ .iré a^ d o n c lu gravurendèinancfe-plus de & pïlZaPwvLcê
teri s .; lorfque 1J , pi mier v o ltig e , % am éc \ mis a i je u r , mi î fis * lopinion du Public! & S * 3t j îU * ‘
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s’il en eft befoin, fur fon exécution, & de développer les relTources que nous font efpércr
la bienveillance de MM. les Intendans des diyerfes Gîénéralités & les promelTes des Corps
Académiques du Royaume.
l^ s f e ^ ^ p i ^ R l i à f e ÿ S y : % J& ÈË k k J
p^tioulière dans l’un ou dansT’auog dès deux Defartemens' du R/idnc;ou du Rhin. M
là- proie des Bourguignons , qui l’envahirent fur. la domination de %
l'Empereur Conrad le. Sialique, après l'extinction du, troifième Royaume de Bourgogne;,
lâdimînifcadpn én; fut confiée ?• d'es Comtes qui ufurpèfe,iiÊl’lë ,i,pouvoir fouverain. Elle paiïïi
Pal ™àriaëé:,'dans la Maifon des derniers Ducs dé Bourgpgne de la race des Valois ;
& la. Prince (Te Marie leur unique béiitièrè,, k porta dans la Maifon dAHOriclie,. fur laquelle
Louisj X IV ©jp^^ ^V^^quêtÊ/êiî' 1674.