
 
		'dont ïa -qualité  'dn -fol &  fexfsfinön tournée  à l ’Orient &  'au Midi ,  font fi .favorables  a  la, reiill-uré  "do  
 5a vigne. 
 La première  Vue  que  i  3  à;  un  él'  t j ro| re  à.d'ôriner  une 
 idée  de  la  richeJIe  du  Payfnge  qui  concourt  a  fon -agrément extérieur.  ‘Oh-diftinguey.cn fuivarit  l’Eflamp'c  
 dé  jpiiiche â  droite,  lé  Château  commencé  pat  ordre  de  Louis  XI-,  fini -fous  Louis -XIÏ;  la"ton» 
 dont ÏVÇu&tVauban 
 ^difolt  :i ' Æ : t e - p 0ur  la conferver, la  Pnilippe- 
 Se-IJ  G,  acl  v.ée par Jean-fa  -Peur,  qui la 'fit  prödigieufemei  exhaiifler ;  la Sainte-Char  IL. , l \>>a t   
 * t \ S * Ik-U  t  ,  S  PJ il  l cr  rjrcffib j   Car  rentes,  S.  Pierre,  les  Bernardines,  les 
 •Carmes.,  l’Académie  8c  la  Porte  dés  Chartreux.  \  •' 
 rhie.dè Pilon  Creux.  ; 
 -Cette  Eftampe  fait  voir  une'partie  des  murs  de  la  ville  bien  sonfervés  - une  hèlle'plantâtion d’arbî®  
 au i  forme  de  fes  B > dev arts une  promenade  très-agréable,,  le  Baftion de Guife,  11 T  our  de  S.  N  colas  
 •Scies  Fontaines;  la   Cathédrale,  dont  le  Portail  du  deffin-derKôinvifie  ,  Elève  de  Manfard,  eft  orné  
 -de  bas-refiefs'de ' Boueharddri,  &  dé Statues de Dubois. Les Êglifes dès CordeGers, ^des1anciem'ïéfùi'tè& ''  
 sygHgggï Minimes,  placée  f   r  ÇTleu  ff t   1 1\  1 f  I » -  h S c i i r aW je ^ ^ S ’r tl^ h^ ^ y .^ ^N .'r  ld ' 
 îes  deflins .de  Hugues  Samti,  &   quelques-unes  des  autres,- indiquées dans ' l e v ^ 'p f K M g ï r l ' ' 
 a#*3S£  r P-  'P**  ^MB B Ê à ^ ^ M S S B B S K ^ S Ê Ê Ê Ê ^ ^ .^ r f ^ ^ 
 patl ’  'le  lAfclli r ibluniV d u /   la  H  ÆéraJ  u g ifu r . -N /« .  Son  Tl.-VYe'f i/n   ii-nm  
 •âémi-cercle-comme  tous  lés Théâtres  ancit ns  ,  &   rfavoïtqn’un  ét:  go  flîl extciWur 'a ëM âS p îK ^ lÉM S fe   
 to tn en  dm.»1  - f M x lP V w f r 1' .^d-ijÿfcjiihhi'igltäpl"L  ~'\i sfL ïÿ irg ., uiim^tCf'-ei rhcLs. -, i.ar  an  
 ./  u  lia   f  <-r_ f i s l lflai'Lftvani.,' 
 jr ipT ifrll*>  tliSTVt'â'i.  on  *  ’jl'à  Iliy^Tr ! f ^ „  h 
 moindre  völlige  de  cette  )  ude ;  mais  la-forme  de  l’autre  eft  très-marquée  avec  lés  retours  &   les  deux  
 rampes  qui  I’aeco  ipagnoieiit.  Ô n   voit ' encore  les  huit  caves  J  lu r   ow  lu lm t ;   i  ivuE .fiiiu .  C e  fo  t  
 de  petites j   u t   placé  -circulairement  qui  portoient  les  fît  eS'.  'es  'Spé  late 1  i'; rangt11'  eh'demi-cercle;  
 A   cinquante  toifes  de  ce  monument,  étoit  l’Asuphircâm;  de,  ligure  ovalc  commc  celui  clc-Nifinespour,  
 les  cojnbats -des  Gladiateurs  &   des  bêtes  féroces.  Cet- Amphitéâtre  eft  entièrement  détruit. 
 V   N °   3 0 .  JZuesÿ Â la. 
 ^ LVxj^Clufiiacim j   ville "du Mlconoij, dm^BâfeeinfeoefivbeâuCoup^pIu» prs '  'e  que eflle-’ t!  .'Àïadsn  
 •quoiqu’e M ^ f o i t   pas, 
 t‘o  S  Benoit,  Chef d  la  (  agrégation  de  fon  nom,  foui  1  mmédiate  ent  1  S.  Siège,  &   fondée 
 p !   S>i'o 
 de Cluny  d’Albane,  Conitefle  du Mâconois.  Elle  a  poffédé  en  Europe  plus  de  2000  Monaftères.  EUe  
 a   encore- en- Francë un grand7 nombre  de  Prieurés  à  la  nomination  de  f  \'1- u 1 '' 'l-  i- c ÿU 1 P a. 11 - 11 a c 
 Clünÿ  près  de:  ^ôô1 Religieux,  au  nombre'  defquê'ls  i l  reçut-  le'célèbre''Abailard. 
 L E g life ,  une  des  plus  grandes  du  Royaume,  a  600'pieds  dé  lSng  8c  120  d^IâYgé| C 1.' 
 . B eaune,  Belna  ;  droit  confacrée  à  Minerve,  fuivant  une  ancienne  Iiifcription  portant'.c'ei Smots'I  i  
 Mmernoe  Cam. -Quelques  Auoeurs|foné;'dérive'r  le mot -Belna,  de>celuï deBel/ona  Déeflb de la Guerre, '  
 .dont  ils,  .penfent  que  cette  ville  prit  le  nom  fous  AuréGen;  ou H B |   Bdmus  ,  foui,lequel  
 lApollon  8c  le  Soleil  étoient.honorés  dans  les  Gaulés  'd ’autres  onf prétendu'  que  Beaune .étoit -la  
 Biirack  de  Céfar;  mais  il nélipas  poffible  de fe-refufer à-Gévidence dés, preuves qui  forcent à reconnoitre  
 dans  Autim  la :lfdrif|Bdj^Bibrafle,  1. ■ 
 ^  ;Si !S   jà E  B-  E  P   h  A  N  i   it}'*,; 
 4 l $ Ê , 
 | ÿ >   ntc  '  lont miqérd^KiWeff encore îÿlàf^mîlSdiîéâpaB 
 v ’   lÿ w S S t e i ,é - *   J 
 ^ p o f t n t e t p a ù & s ^ m ^ P :^  é 
 >  ,  ?   i  i r n ^ ß   ¥   P   B  C  H  ç. 
 R - f ' ^   7 ’  ' " î O j j l' '&$*?’"■ '^ f 1'1  ‘‘i? ^ *   u  
 H ü !   n S 
 K g ' i  ^ 
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 Livraifon,  N»  iy ) .  De  fauffes  Prophéteffes  connues  fous  le  nom  de  W m  *   Ao/cy,  y  donnèrent 
 ç ,  L n   f  ,u  ' r'Vilcri  Pé-n  c't,  .ulidS  n ^ i ' i   \ f c M   W Ê 
 .  >  i   ux contenant  des offemens.de grandeur prodigieufe,  j  e l’on  Gt être des premiers Bour  ui  uns 
 K 1 i ; l l  Y 1 ' T w n * W f i 1»'  M   .  1  Î  f p  » H 1  -,  w a 
 j . y   ;   i .   '   H 
 J  ’r   l^ne ’   ^ue  '  0\ l^ f^ ivre  en  Partie &  très-imparfaitement dans la première j  une ancienne  Fabrique i  
 Ç  k   Chateaudi   foRochepot.  Cè Château, anciennement appelléla Roche-Nolay,  fôt Bâti par Alexandre  de  ^ ' 
 Bourgogne,  Prince  de  la Morée  dans  le  treizième  flècle.  René  P o t ,  dont tt a pris l„  „om, y fit  ajouter 
 aHa  1*  I) la ,y   . 
 L '-  f i f c ’S Q ï j t t   ‘//rtr*‘ 'çùrYcf  'n i f î j g r   ' j î b r g j  f a , 
 1  n hM   F T ^ d r ^ / y k -   h   m  f -  “f i   "" 
 î   L ’Histoire  de  ces  quatre  Princes  qui  va  paraître  dan  la  prochaine’Livraifon  du  T e x te ;"formatie  
 ,™e,  deS  EP°9ues-les  plus  intéteffantes  de notre  Hi loire,  nous avons  cru 6ire  , lâiGr à  nos  Soufcripteufs  
 de  leur  en  donner  les  Portraits.'- 
 •  L?  PZ m,‘er  e*   cdu!  dc  P/'iïppe-le-Hanii,  auquel  le Roi  fon  père  donna; le  Bûché  de ■ Bourgogne  :  ’  
 I l le  déclarant  a  ce ptre premier  Pair  &   France  en' 131%. Il joignit au Duché'les Comtés de Bourgogne ■ 
 ;d Artois,  de  Flandres,  de  Rhétel  8c de N,  ers,par ion  mariage  avec Margucr  3de  Flandresi  l i   fb  da  |  
 'les- Chartreux  de  Dijon, où  il  fut enterré en  1404. 
 fe & c tm d   eft  fon  fils  lean,  furnommé  Sans-Peur,  qui  augmenta  fes  Etats  du  refte  des  Pays-Bas,  de  
 jP ’ Ho™nde,  Zélande,  &c.  par fon  mariage  avec Marguerite  de  Bavière.  I l Ait  en  1415  affaffiné  fur  le  3   
 Po‘|   d®  Monterea  pa  les  Pareil  1  t  Dauf  fin,  epuis  R  i  fous  le-nom  C  11  1  s  VU  Air  ip   #  
 par  le  fer  un Prince'  intriguant ,  ambitieux,,,vindicatif  jufqua  la  cruauté,  bon, 6c  facile  avec  fes  amis  
 affable  ®  libéral  envers  fesfujets,  aimant  8c  protégeant  lés-Lettrés. 
 J s   S  Portrait  eft  celui  de  Fkilippe-le-Bon,  fils  di  lean-fans-Pèur.  I l  inl  a  l’Ordre  de  la  :  
 S S S   ,  r ’   S   lourut  à  Bruges  en  14.67  d^utiè  efq.uinanciô  à 'l’âge  de foixànte-onze ails.  Sa douceur*  
 a  clémence,  la  gaaetd  de  fon  caraftère  fon'amour  pour  fes  Sujets,  lui  acquirent  le  fumoni  de  Ëom