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Lài.^feëM^©'■'&#•■&% vMG^sàT'HStel-de-Ville, & ' âfe • ïà-
^îl^’^ ^ r âÉ i^ s l'^ ^ ^ Ë 'ÿ p ^ ville dangi^^Muèmei
.L3w ^ î 1™^ÉI»Jo9lMiW@ljl^îWà^gluclîé^rHôtel^dé^TOP ?V„&:» datisWM^^^|vers'* le Üa tour&èn
, eft’ 'élevé
43®s |és J; ïloÈifue 3 Ionique,. Corinne®; & 1 :^<^p^';dtel|uêiè! réiNft
Dôme oâogone. On a vu ci-devant que cette Eglife avoit été érigée deux fois en Cathédrale; mais
■ IftEaiÉ^feÉ-.^aÉË'^ ^ ^ ^ p ' la'>Bre£&^te'fa^mmer^y3Evêbhé?p^i>ûne Bullélit^âM! i||-, ;ii$j|, JanvieriK36%
L a Teconde Vue repréfente un côté des dehors de B'ourg-eii-BreJfe, avec la même Eglife Collégiale
•dans l’éloignement.
N° 4 6 . . Vue de la Porte S>aint* Laurent H (S’ du Perlais de Montrevel a Mâcon.
. • L ;£ VWe^ßÄe. fé |g l||^ de la Porte Saint- Laurent à Mâcon. Nous avons
•déjà parlé de cette ville dans la première Livraifon N° 2 , & dans la huitième, N° 32 , où l’on voit
[aieitËimeme Porte du Pont foûs'Jpn autre';àfne^,?Confére^ ^ ü ^ l ^ ^ ^ T ô r z ië m ^ ^ ^ ^ ^ ^ ^ ^ ',.35: &
'll^MIr to it ce fer ö ett#vÄi;jfavie les ^notices fu i lés: ;3ee0;infà|i#!# t -
La fécondé-Vue reprélènte-la-belle façade .du\Palais He ^ M.*-^le Comité de Montrevel à ■ Mâcqn.
N° 47. P'ues de deux U fines ; aux environs de Dijon.
D-eattc Vues J : dont ïa - paenaière ofee celle-d’u-n Foubn'ßi-r /a rivière d Ouôhe ^prbs la Char-
fa ; |^ ^ and icdieiÂ:, ;i<ië: Parish C e Jobl©® appelé la ;âuifêÉi&
à _un ^liomm^--ià'pétiéùx"J^ ^ ^ ^ ^ ^ d ë s^ ^ sWi^^P ^ ^ ^ ^ ^ i^ ^ ^ jM lë s i<i'mpromptüs fou-vent -fortheu-
reux. .;:Lg§ nîât;è|ôi|tèsf :que fön; allait r^fi^Éc^^mt^'éroient (|ue pe|lësM^é^^^'^Éft#iw?
On «a delîiné cet endroit à caufe 'de fa fituation pittorefque, & du Roc pendant qui -couvre en partie la
grande route de Paris, ÔC qui , la petite ä
Bade; t4qfloÜ8,,^öc.les•.bâtinjens^^P^^^^^^M^n\ême c ro ^ c^ l^ ^ ^ ^ ^ ^K|^^fcul^^äverffe -dönt.
la"route fur des rocs taillés à pic, n’en permet l’approche que très-difficilement? Les Contes débités
fur cette caveme^bÜ?^lt^ lk|^ ,dQUtegfl^Hq |m^y.^^^^^^^w^ des, J?ées.
.• , La fécondé-Vue qui fert de pendant à ,celle£ci(, eft cel-lg d’une Z//^/2e où 11 y a un martinet : elle eft
fur la même rivière d’Ouche3 fur la route de Paris, entre Plombières & Dijon. - \'
K° 48. Vue -de la P iß^ir iä e la1 T our Saint-Nicolas de Dijon,
D e ux Vues moyennes, repréfentant la Porte ôc la T o u rS . Nicolas de Dijon, àv-ée un;e f.àmô
tlè la ville. Nous avons ' déjà parlé de cette Capitale de la Bourgogne dans pl-ufieurs des Livraifons
précédentes ( Voyez la première Livraifon., N° 7 ; 3 3 ÔÇ 34).'
La TÔür ' S. Nicolas qu’on reprèfente dans-les .deux Vûe's 'dècc'e' N ° 4 8 / efl ainfi appel'lée du nom de
la Paroiffe qui en eft peu diftante. Elle fe nommoit^ auparavant la Tour î d ë j^ J^ ^ ^ ^ ^ ^ jn t e^ ^ e t tp
Tour dominoit'lâ v ille , ce qui rendoit cette ancienne fortification trèsr-red’outablë d’ans le tems des guerres
ssivileSï Lors dë' L révoltes-dû l/à/î'ïz/re/M Dijonnois. en 1630, à l’occaflonde l’Edit -des Elections l’Arrêt
du Cônfeil' du '28 Avril ïôfb^ qui- abolit/fê, crime de fédition, ordonna que la Tour S: Nicolas feroit
abattue jufqu’à la hauteur néceflaire feülement'pOu^^^raanaep'^^!^mcmsHs ,
Dijon j cette ville- étonnante par le nombre des grands hommes en tout genre quelle a produits ( pour
férvif des eXpTefliâhsMu iameu^M®|ron ) , eft également recommandâMe'par la1"'bèauté de fôn afîîette
au piéd^d’une côte' célèbre pëiar fes bons vins ; par la pureté de l’air qu’on y refpire j & la falubrité de fes
eaux; par les agrémoâs 'de la focrété choifie qu’on y trouvei % >ji#.fesKno^ établHréfm'èns',propres
à y . faire ’fleurir le goût des Sciences • & des beaux Arts. On trouvera dans la dernière Livraifon du
lexte de loeÉpwrgogn'e / les détails intéreflans ' de fhiftoire de cette ville. Â,
DESCRIPTION PARTICULIERE
D % L A F R ANC E .
D É P A R T E 'M E N T D U f t H Ô N È .
m m s à y e >r : im r n m m m w m m iK ß k o u 1 1 g o M m
y fâ it y ï j
qu'on achève YimpreJJion du. T<xte qui préfentera dans un
avec leur Defcripnon. On peut recourir à l’Avis qui accompagne la dernière Livraifon
dEftampes, fur l’ordre que nous fuivrons invariablement dans la fuite de cette entreprife
l e 'U L i j .miioncist pàP (M |
P 1 ^ l^.TnTU^ l’rffiy p °n^' ’ * "i 1
P&W . S| i l F .,,ÿ .':Û rifrr‘•■'t V fdesProvin cesqu icom -
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des Pro^içës dû. Rhône, tandis que lés aum-ës.PïovInces nauront que ia partie Géografl
{ctî^ u 1 H \eu j, f c iL ^Ü n^döMiUi* 1 sr \ jt.il , Â ^ rn u i n4 ^TAirtn ms*-pis!
;de' ; | ! i éV! lopper’ pous répéter; p u t f^ iA f t ' ib i ^ o - Î O T i ^ j f o t w n t ^
lé dm 10Ä: de notre . ouvrage. &. lac.conipËfFé i ent des .tèngigemens T è l^ T O ^ Ç u
Ri^u«t\Ji)ns; tdi^ér^cBISiaÿi t / E p u L I ic j^ S
La France Tw de-tout! ' rems diviïe^j, comme les. Gaules, en quaàe'parties:qui fomioienÊ
■ .autantde .RojRiimes diftinfts. Il y avoit au nord,. l ^ y ? ^ e £ul| [ejRIjin:, & ta \ ' g | * J
B J Ä ™ & la l ou'e ; au 11 1 J f , \ [a C o * fur
la Garonne. Ces quaue. Rpyaiimes forcés J ^ ' 1
manr., les Bo^£gh>.ni & les' furent réunis'4u.eiqué ferns fous la Maifori de Charlemagne^
mais'ifeientôc l'Aufirafie : revint
p f c fe y H H H
totalement ifô |^ , & prefque. étrangère. a,.Gfefle'' Sevla Monarchie Frâncoi'fe';,|'Comme on la
peut voir pai- nos:, P P f 'ie^Hiftoires g ën é x a k , q n l ne:.fdK.:Pô.ur ainfi dire .Vque celles
SEIZIEME
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