.'Î4 - ' ' S c i è n e barbue . I
Le Coraciaus Salriani dans iÙdrovand m) et- son Glaucus Bdlonii >îj
ne sont encore que la Scicné biu-biie; c’est ce que les dessins prouvent
aussi JoJjBl
Willuglibÿ nous a laissé un dessin du'-Copra des Italiens p),'lequel est"
notre poisson, comme cela est manifeste par' Salvian g), mais les carâcté-'
tes y sont omis.'
Artédi prend mal-à-propos l’Umbm :mariria de EeEon ÿt'-d’Aldrovand
pour notre poissonr): car ç’çst l’Ombre ¡proprement dite, comme le dessin?
le prouve incontestablement s).-
Haselquistjse trompe en prenant -l'Ombre,' qiiï-1 décrit, pour celle de'
Linné r); le poisson qu’il détailloit, étant muni d'un barbillon er des:
raies sus-mentionnées.
Je réponds négativement à'la question de Tinné-,?>sï iOmbre dont
Gronov fait, la description dans son Alusou-m u)*,.-est’notre poisson-tc}, vu
qu'il ne lui- a ¡trouvé ni barbillon ni raies ’ uifmsgre n ’a -t-il compté '-à-la'
nageoire -de l’anus de ce poisson. qu’un aiguillon et six rayons -moux,’
pendant que le nôtre a deux.-aiguillons et septjrayons moux,'
. Bonnaterre aussi-a confondu la Sciene bar\ùe d’avec 4 ’ Ombre >y% t-yn!*
qu’il cité pqurl'C^&S qui est notre poisson,'«Soezena Umbraj et'ÿBm le
Corp qui est la na Umbm, la Sçiaena ¿ S i d -^iimV^Ti'on n’a
qu’à consulter IVoadelet zj pour trouver mon assertion fondée.
- Klein a décrit notre poisson comme deux espèces particulières; en le -
plaçant une fpis parmi les A f c g ê |S et unglutre |p i ‘ panai i l-W->, i
£)~Reis.
«,?), II. p. 39. n. 92. _•
» ') S. N . p.,;4?8i. n . 5 . }
y f : Ençyci. Ichdi. p . 115. i. et ïQt. n . 9.
i' tî is ) Hist. de Poiss. p. izgi et ic i.
a aï) Gestreus. Miss. Pisé. V. p . 24., n; 5.
et A ld ro v , de Piscib. ' ÜÏ0) Perça. — _ _ _ _ _ g J g
J L
m ) D e Piscib. p. 72.
I —. — 84-
o ) Ibid,- p. 72. et 84-
~p ) Ichth. tab. p. 21.
q ) Aquat. p. 116. b.
O S y n . P- 6 5 . —
•r) -BelIon. Aquat. p . 119.
V.; y/êlf ’