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L opercule -antérieur écailleux.
Labrus opercule anteriore squamato. .. B. v^ P, x j i , V. -J|ÿ À. -Ç-, C. xix,
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C e Labre étant le seul de ceux que nous eonnoissons, qui n’ait que l’opercule
antérieur écailleux, ce caractère suffit pour Je discerner des autres*’
La membrane branchiale a cinq rayons,- là nageoire pectorale en a
douze, la ventrale six, celle de l’anus dix, celle de la- queue dix-neuf, et
la dorsale vingt-cinq»-
La tête est courte, en pente et comprimée; la bouche'très-petite;
de petites dents pointues, presqu’imperCeptibles, garnissent les mâchoires,
qui sont d’égale longueur.. Là petitesse de la bouche m’a empêché d’examiner
la langue et le palais. Les narines solitaires approchent des yeux: ceux-ci
sont grands, ont la prunelle noire, l’iris d’or, et leur place est près du sommet.
L ’opercule postérieur est compose de deux lames égales. La surface interne
de l’opercule antérieur est munie d’une branchie simple. L ’ouverture
des ouïes est très*-grande, et une partie de la membrane est Couverte.
Le tronc est large et mince; les écailles sont - grandes, unies et fondes,
noires et avec des lignes blanches au ventre, mais les autres sont bordées
de brun et de noir. Elles avancent à l’anus et, au dos, forment un sillon
à ces deux endroits, et couvrent une partie de la nageoire de la queue.
La ligne latérale près du dos, se rompt vers le bout de la dorsale, reprend
au milieu du corps, et va se perdre dans la nageoire de la queue
qui forme un croissant.
Lès
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