XIV.
L E P E R R O q I Î ^ E 'T R O I S É.
- L A 11 S r. r, A T u s.
C C. X . C i- I ème P X A N C II £. F
- 'm Peu d’écailles près d$s yeux et à l'opercule;-
Labrus squamis nonnullis ad oculum operculumque. JB. iv 9 P. x v i, V. y j >
» a HHHH n xvii. |
L e petit nombre des écailles près-, dés yeux. Ra|l'opercuIe flttfeonnoìtre
ce poisson. ,
Il a quatre rayons dans la membrane branchiale, seize-dans la nageoire
pectorale, six dans la ventrale, douze dans celle de l’anus, seize dans celle
de. la queue, et vingt-huit dans la dorsale.
La tête ië|t comprimée et en- pente , la bouche petite; les mâchoires
d’égale longueur, ¡¡sont- munies d’un rang de dents, petites et aiguës. '.'JSéc
corps est allongé et couvert de très-petites écailles molles. Je ne remarque
à la tête près des yeux et vers le haut de l’opercule qu’une petite
place écailleuse. Cette marque n'étant propre à aucun autre Labre, elle
a pu me servir de caractère.
Les yeux munis d'une membrane clignotante., ont la prunelle noire
dans un iris argenté; devant ceüx-ci on découvre les doubles narines, et
dessous, quatre à six pores apparemment pituitaires. Les opercules et la
poitrine sont marqués de petites taches brunes; mais le reste du corps
en a de plus grandes. Celles-ci ayant un air de boiserie, m’ont fourni
la dénomination. Le dos est violet, les côtés sont argentés ; la nageoires ventrale
est noire, celles de la poitrine et de la queue sont bleues, à celles du
dos- et de l’anus cette couleur est marquée de jaune et de brunâtre. L ’ouverture
des ouïes est grande, e t . la membrane étroite repose sur quatre
râyous