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XVI.
LE LABRE À P E T IT E S ÉCA^ILLES.
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Les opercules -écailleux, saus ‘ taches.
Labrus opereulls squamatis immae.ulatjs.^-S. ..., _P_. x i i , V. fflm A.
C. i r a , I ,Di :. x v u . ...
L es écailles qui couvrent Iss opercules distinguent ce poisson des autres
de <:e genre, ¡et le manque g^taeli'est' que nous '.vüBôns 'de
cl-écrire.
Je ne puis déterminer le nombre dès rayons do la; membrane branchiale;
vu qué le peintre, qui l'a dessiné’pour moi dans- la Sllection de
Mr. 1 incise à Leipzig, n'y a pas fait attention. Il trouva douze, rayons
dans la nageoire pectorale, six dans la ventrale, treize dans èêllirtlo l’anus,
dix-huit dans celle de la queue, et trente dans la d'orsa’e.
La tête ëSt étroite et sans-écailles jusqu’aux opercules; les narines
sont solitaires, et près des yeux, dont la pruneljift noire est hori
dée d'un iris jaune; étroit, et d'un antre large, .couleur d'argent. L'ouverture
de la bouche est petite; lé's : mâchoires Bout de longueur égale,
-n’ayant qu’un rang de. dents pointues ét non-serrées. L ’ouverture des
ouïes est large; leur |jpembrane est cachée. La ligue latérale- est voisine
du dos; et l’anus est presqu’au centre du tronc. Les écailles sont tsrés-
petites; ‘la tête et le dos sont d’un jaune brun, et les côtés, sont argentins
de même que le ventre. La nageoire dorsale est presque généralement brune, et
elle n’a que le bout blanchâtre, couleur également propre aux autres nageoires.
Les nageoires pectorales sont plus en avant qiie lès. ventrales, et
. I les