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dans sa description une dorsale divisée e). Je né conçois pas pourquoi il
le compte au nombie de ses Tetragonoptres, tandis qu’il est d'une ligure
fibïongue.
Jè trouve dans Seba d) un poisson, qui paroit iêtiji le nôtre. Mais
la nageoire de la queue n’étant ni ronde, ni les opercules dentelés* .je 'ne
sais, s’il faut attnbueï cela à la précipitation du dessinateur, on si c’est
un poisson tout différent.
<0 S«Ma table citée. «6.’ %; igl'W'
L e J o u r d i 93
III,
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Deux bandes blanches an corps.
Anthicts corpore Rifasciato, B. v i , P. x iv , V. y j, AttLztj, C. xiv,
rcxrv.
Sciaena lîneis obliquis lacteis in utroque la- Ikan Jordain, Jordain-Visch.’ Valentyn. Am.
tere. Gronov. Mus. Ichth. I. p. 38. boin. Tom. III. p. 349. n. 6; -;fig. 6.
n. 91. Coracinus fasciis'latis, obliquis, Jourdin. Renard Hist, de Poiss. Tom. I. tab.
transversâlibUs, aequalibus, albidis, ’ : £ '7. fig. 4.9.
utrinque : cauda subrotunda. Zooph. Baars; met mellcwitte banden aan weders-
p. 66. n. 2 2 7 . .• . ziiden. Boddart.NatuiLïïist. p. 13. n. 49.
L es deux bandes blanches caractérisent ce poisson.
Dans la membrane branchiale il y a six rayons, la nageoire pectorale
en a quatorze, la ventrale six, celle de l’anUS seize, celle de la queue quatorze,
et la dorsale vingt-quatre.
La tête est comprimée, en pente, grosse et toute écailleuse. L ’ouver-
verture de la bouche est petite; les mâchoires de longueur égale sont armées
d’un grand nombre de dents en forme de lime. Le palais et la langue
sont lisses; la gueule est rude; les narines sont solitaires; les yeux garnis
d’une membrane clignotantè, ont une prunelle noire et un iris blanc. Les
opercules sont dentelées, le côté interne de l’antérieur a une branchie
simple, et la bande blanche qui prend à la nuque, traverse les deux opercules.
La membrane branchiale se cache dans l’ouverture des ouïes. Le
tronc est large sur le devant, étroit sur le derrière, et couvert d’écailles
dures et dentelées. La ligne latérale, voisine du dos, prend la direction
Part. IX, A a
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