grosseur des, lèvres, la brièveté et le reculement du menton ; en
partie du Mongole par l’énorme grosseur des pommettes,
l’aplatisement de la base du nez et delà partie du front et des
arcades surcilières qui l’avoisinent, les fentes étroites des
yeux.” §
" Ses cheveux étoient noirs et laineux, comme ceux des
Nègres ; la fente de ses yeux horizontale et non oblique comme
dams des Mongoles, ses arcades surcilières “rectilignes, fort
écartées l’une de l’autre, et fort aplaties vers le nez, très
saillantes, au contraire, vers la tempe, et au-dessus de la.pommette.
Ses - yeux étoient noirs et assez vifs : ses lèvres tin
peu noirâtres, monstrueusement renflées^ son teint étoit fort
basané.
. " “Son oreille avoit du rapport avec celle de plusieurs singes,
par sa petitesse, la foiblesse de son tragus, et parce que son
bord externe étoit presque éffacé à la partie postérieure.
" On a pu, quand elle s’est dépouillée; vérifier quela protu-
dberance de ses fesses n’etoit nullement musculeuse, mais que
ce devoit être une masse de consistanoe élastique et tremblante,
placée immédiatement' sous la peau. Elle vibroit en
quelque sorte à tous les mouvemens.
" Les seins qu’elle avoit contume de relever et de serrer
par la moyen de son vêtement, abandonnés à %eux mêmes,
montrèrent leurs grosses masses pendantes terminées par
une aréole noirâtre, large de plusde quatre pouces.” : " La
copieur générale de sa peau étoit d’un brun-jaunâtre. Elle
n’avoit d’autres poils que quelques floccons, très courts
d’un laine semblable à celle de sa tête clair-semês sur son
pubis.”
" A cette première inspection l’on ne s’aperçut point de la
particularité la plus remarquable de son organization. Elle
tint son tablier soigneusement caché—ce n’est qu’après sa
mort qu’on a su qu’elle le possédoit.”
" Elle mourut le 29 Décembre, 1815.’* " Les premières
recherches (au Jardin du Roi) durent avoir pour objet cet
appendice extraordinaire dont la nature a fait, disoit-on, un
attribut Spécial de sa race.
" On le retrouva aussitôt.” " Le tablier n’est point un organe
particulier; c’est un développement des nymphes.” I shall
not insert the details of the minute anatomical description by
which this conclusion is fully established, a conclusion which
completely refutes the opinion held by M. Péron, who supposed
the females of the Bushman race to be endowed with
a peculiar organ not found in other races, and such as would
afford some reason for imagining a spécifie diversity between
them and other human races. M* Cuvier seems indeed to have
regarded the Bushman tribe* as such a race : he erroneously
supposed them to be of a different stock from the Hottentots,
and seems to have .looked upon them as approximating very
nearly! td the Simimv He- was therefore, led, without any
prepossession of mind, to the inference which he adopted respecting
the supposed anatomical peculiarity, and which some
further remarks contribute to confirm and illustrate.
He says : " On -sait que le développement des! nymphes
varie beaucoup en Europe ; qu’il devient en général plus
considérable dans les pays chauds ; que des Négresses, des
Abyssines en sont incommodées au point d’être obligées de
se détruire ces parties par le fer ou par le ;feu. On fait même
d’avance cette ,opération à “toutes les jeunes filles d’Abyssinie.”
" Le collège de la Propagande« envoya un chirurgien
sur les lieux pour vérifier le fait, et sur;son rapport le rétablissement
de l’ancienne coutume fut autorisé- par la Pape.”
" 11 n’y auroit, donc, de particulier dans les Bosehismans
que la constance de ce développement et son excès^V. The
former of these-supposed facts seems to be altogether a mistake,
since the Hottentots are often destitute of the peculiarity.
M. Cuvier says further, " Le voile des Boschismannes n’est
pas une de ces particularités d’organisation qui pourraient
établir un rapport entre les femmes et lès singes, car ceux-ci,
loin d’avoir les nymphes prolongées, : les- ont en général à
peine apparentes.”
" Il n’est pas de même de ces énormes masses de graisse
que les Boschismannes portent sur les fesses.” " Elles offrent
une ressèmblande frappante avec celles qui surviennent aux
fénielles des Mandrilles, des Papions,:etc., et qui prennent
à certaines époques de leur vie un accroissement vraiment
monstrueux;” He might have found a similar analogy to the