
 
		4-2  Ft 4 3 .  D e u x   p e t i t e s   V u e s   s u r   u n e   m ê m e   p l a n c h e . 
 .  N °   I .  Vue  du  Château  de Meudon. 
 CEGMteau qui,  ainsi que le prétendent quelques-Ali 1 etirs, fut bâti sut les-dessins  
 <3e î^égq/gS^sbvéHe règne  de  Henri.II,  a appartenu, successivement à MMtServien  et  
 ■ de  Louvois,  et n’est  devenu Maison Royale  que sous Louis XIV qui  l’acheta  de ce  
 dernier  en  169 1,  et  en  fît  don  à M.  le  Dauphin  son  fils,  qui  l’a  considérable®* ru  
 embelli. La terrasse  qtài  sert d avant-cour air Château, où l’on arrive'par  unegrand ■  
 ■ et  sUperbe; avenue, a coûté des  sommes  immenses,  parce.qu il a  fallu, pour rendre  
 le  terrain égal  et  soutenir les  terres,  couper de hautes  pointes de rochers,  eotnbh 1.  
 des cireux 1 rès-prôfohds ;  et éleyerdes murs solides. Elle découvre plusieurs Villagi  ,  
 dont celui dcjMcudon  est  le  principal.  La Seine qui  s y partage  en deux bras  ajouti  
 à  la  beauté  de  cette Vue. A  (1 r < v c a \ ÿ ; i > ù { t 5 i 11 >■ ,  
 ■ qulqp' eféftrêtt,e  le  p remi e r - at e f t foeuVer t   T iam V   LalUt-adi  Hro'il. 
 Meudon  se  présenté:.nmjcslueusenienf  :  ses  deux  ailes  ornées  de'Pilastres  et  de  
 Æolonnes, ont une Galerie pâr bas, août®. lUfüiff. L{iücL«~er li.didi e d ’un balcon  de  fe 1  
 qui  règne  tout  autour.  Le  l’avillon  durnürlÿlarrondiparles■ extrémités., ajiance plus  
 que  le  reste  de  l’édifice  11  evF.dccme  d’un  second .c 1 d 1 c;  de Pilassfres  Kt  de trois  
 bas-reliefs  repré! Gril  ni  ïesrSMsons.éfl  1  L tëi  un par  un  I  1  ï i i   sur  lecJgÉ soi  t  
 ■ 'detoJig«iiesmoincbéfis,jiLBar une graude  calotte' or  cagou <  qui supporte une  terras  e.  
 L intérieur du Château est ôrirt.p.tesqj;i^;pai>;L£)uL-cle_doxiires _etMe  sculptures- On y  
 voit divers Tableaux d'Antoine  Coypel, de  Jouvc.net, de Vajider Meulen, de Martin  etc.  
 Ile  Château moderne  qu’a  fait  élever feue Monseigneur,  à  la place  de  l&«£|]xfeuse  
 grotte bâtie  parsle;Lor{ne,r c^ttffH^wd\li]teSb'g|te 'ÇoMli:uCrioliii.»KÏBvivtï3 ÈSiï haJStie  
 l^cabeMprerbLUiciil l.\éuUpe  t n.bi*ot)ZÜ,  Teg®^-cpbime^mi.âh^M^u.vrc  
 di’Anifline.de  Boulogne. Eniface  des  deux"Chàlemix,  est  un  grand  parterre  avec  un  
 l&lsin.  Plusieurs  grand  tapis.de  verdure  mènent  à  l’éiang  clç  ;(  Ivalais-,  qui  a  neuf  
 alpijns  d e tehléfei'e  Le  Parc  est  d une  grandeur  imnidnse.'i  et présente  en  plusieurs  
 end^M 'des  bassptsyides  réservoiis'el  .des étangs  parmi  lesquels  on  distingué  celui  
 die Belair, si||| pfès_de  la S u r  des  écurïfs.ÖEe' Parc tiré  là plupart  de  ses agrémt 1  1  
 beautés  simples  é'alk*|ÿ e t  les travaux  de  l’art y  sont  tellende nt 
 ménagés, qu’ils semblénf être son  ouvrage. 
 ;  “.a 3. Vue  dw Chdteau  de Madrid. 
 C e  Château  eritoaré-d'i in  fossé,  au mi lletûd’u negi aridi  esplanade5 àtix  a noies d  
 telle na voit de petits pavillons  qjuairrés ,-est s itu é ,àH  ête dit.bois'de Boido^ne,  
 qui  lui  sert  de  Parc.  On  dit  que  I  1  inçois  I  le  fit  bâtir  sur  le  modèle Me  cëhü  de'  
 M ulnd.eri.-J  spagne.  Sa forme, est  un quatre  long ;  il  eoiisisle  en  un  grand  corps  de  
 bà liment de  trois  étage s : ce corps  de bâtiment-est  flanqué  de  d eux grands pavillons  
 qui forme ni des avant-corps : aux angles de^ëf pavillons, sont d autres petits pavillons  
 quaiÿesi,  et  au milieu'dès deuxgrands,  deux tours  rondes couvertes enVlômeàvec  
 un petit  campanile.  Il  y   a dans -ce  Château  une GhapéMé Royale  sous  l’invocation 
 j-^^nïbius, fdhdjè  fejffilietr RUl Ë"ôdisXV qurya reuni, poilrla defer, le Prieuré  
 de la  Cè lle,  qui  vaut  environ'2000 .liv. 
 "N0  44  et  4& M | ' e # f it e s .® b e ? ' s u r 1#||é  même  t è 'm m m   • 
 WBByFIfuS,i p y tr1  ‘/ » f t a j f j n l i   de- Lèaneeitm JÆ 
 J t T .m . o t M . n  rvr^pe.tiKwM^dej,i?Birfeidai\^i%iBleatMMlMi l ^ M » ar^mgne: prés  de  
 § B S u  re  drf  lui  procure  les  Vues  les 
 plus1 ric&ës-|'èül'.es:  pïti» variées  :  elle  est' à  cinq  lie très  de  distance  de  Beauvais,  et  à  
 même dislanéedie  Sentis.. C’est ta Capital  dù-Çonitié de Clermont, dont il a été  donné  
 une  cotirtè.description  aun° 3a  de  la  dix-huitième  livraison.  ’ '’.q 
 p   z   T‘ i  4   - 1 ;  a a   -  S u r   l - 'e  ’ e  *1'  ; 
 t.wg^eii  ai)l 
 -  u U en ut  1 )c f< 1  k'I-  5"  c   \ i iv ^ a tc i! [   'H 
 fl^Enamp  ,  <W  Gafhuelsj'qrfq 
 SSm nîl 1 qmq ' i ik îK f  * t^3topi,îtîi n ' i ' j e c  u’i  ’n1 emn 
 S.  Louis,  etc.  Ce 11’esf que  sous Màtihieu  iéè. V e n d ô m e „ en  r^m w f f l^ l^ j® | f lw è v e a 
 l  [  i n i   iqffr?  I  ^   1 '  r  au^ 
 o  1  uÿ^^lilT^v 
 assez co'iïsi'dërable ,  ni  an détail  de  tous  les  oljjiets,remart|uables  que  renterme  cette  
 célèbre -Abbaye':  No.us  indiquero|mfsey:émén..t  les.-quatre  plus  beaux monumens  qui  
 font  lo i  WeiSe||: de  cette B a s^ j^ e   î f   1  ,  «  nu nie  l’on  saif,  à  la  sépullur'è'de' nos; 
 erfi m  Tfl 
 u td c ÿ   Hit  h  n*. t  le^  [  ■ 'r 
 m’q t n jia fn,ë  '•t  i  ■*  de 
 le Roi et 
 W | S h a >xxft<rllA ffàrtn'^tifffè^d'eux  i 
 marbre'” 1 
 gotlMqut  terminé  en pyramide.  a°. Le Tombe  u de Louis XJ1, 
 ?PT  i ntt y  -mi» ^  t!? ?l’ ‘t ^ 
 Au milieu  du  Tonabcmi  on voit  les Figures  nues  | ^ > u' mies du Roi  et  de  la Reine  
 couchés  à  côté  l’un  de  fâiiirel  «T.  Le  Tombeau  des^gfqfséau  dessus:^©'celui  <fô  
 S r o l ^ w - ^ f i f lM i u m b   m i   '^ ' t t t  r levées 
 ■ ■ ^ ■ 1  n t f i iT » k e  d e  p  I n B f l H f l D H 
 A n n  m;  e f iM t lp ^ T O ^ d ’f'  d>t 
 CTi^il  expirant