Tepréfentcntj '& le plaîfir que nous Sommes Intimement 'perîùadës ’qwe^amour & le reîpéâ^de’' ëhaqjie
«François.pour fon Souverain, lui font éprouver par-tout où il peut rencontrer, des marques de fa fplendeur
*•& de.fa.majefti^^
Çette fécondé Vue de Trianon, fa|tleHp§ndant 'd'ejc.elle que nous avôns donnée de cet élégant- Château
. «dànsla-L'ivrai'fdn précédente, à laquelle .nous- rènyoÿônlÿfe^liaf Defeript-iôn fcïftoriquê'de'. ce lieu, & le
jprécis dés objets curléux ôc.irirëreffans quld’émpqÜi^en|.
N° 22, Quatrième te-de Vwfavües<) prife de la-Grille qui fipare la Cour du Château
'Cette Eftampe rappelle le moment où les Gardes-Françoifes &_.les Gardes-Suiffes font fous les armes
«dans 'la Ciaur des Miniftres, en attendant le R©i> Ce fpe&acle Militaire a lieu toutes l'esTois qü&Sa Majefté-
-'doit fortii ; indépendamment ' de celui qu’on nomme la Parade, où fe font tous les Dimanches matin
LEüàmpe offre à droite:& a gauche l‘ësvPavalions, des'Minifl?res; dansüé^f0ndt& au .Levant, la grande
'Avenue de Paris entre-les Grandes '& Petites-Ecuries- 3» Roi ; fur les côtés, à droite, l'Avenue de Sceaux ;.
r4t gâtéhe^eH^^ISïqi^-Gloiid^ Jj : ■
N 23. Cinquième Vue. de la Ville SC ' du Chàtëau ‘de Verfailles, prife de l^fiiuteâ^^
BB
1 ' ^ Point de Vue de cette E(lampe eh: à 1 Affeifes-du Château, dans le haut de l’Avenue qui joint le
Canal & la Porte ^.-Antoine. Ainfi- le Speétàteur ne peV découvrir la Ville & le Château -que dans un grand
•éloignement mais il 'a fdns-les-ycu^cpjitrafte agréable & frappant agrdfte^
:• folitaire & tranquille, 'avec la pomperâajehue'ïTfe d’uaiieu impôgnt-
iecondé de Tait peut produibàde plus riche & de plus magnifique, llü
,|BSï —rc' -^ ^ i t ajjljàns1 dis c%t'Lr-’'iJ?duijisi d L eltt ir&eH ta^uS^ffieÆiLÿ. r..que,^ur 11 jenchju t
de l%e®I^ - 7? J , i f JL.,, ' 1 I
une ftominhjfii Vionne, 8c“^[u^v^fê%t!^ d ^ f eM « ^ p ï là Savoir|fMe®
Le Et r Gclt\x(,b?rs alW le l ^ jp^cr4^g&f a r , l ' T & A
ce ix Prc\ ôtes R n ^ ffip ii VAATninr
’'L ^ ^ iÿ ïj fa ï t remarôjliêr %p(®|
iilgjjKjiSKff ■ j e j y - ' 1 l n11 )Yu'f''*r|Ai r C 'Hslc n, loiVd^^f^f^i?*riT^i'L| fc-, HJ çn*r>^£^
. L e xpofiijg^gA ’ttS^ V amphits&tre, eyTraimetoj^ t eM H I ^ ^ ^ ^ j ^ ^ É K B H W K
j .ô è J ^ ^ Ë 'a i 't î ', &. fiîgtlLTl‘J ê ll5 sffl'f^ / r\^ ^ lV .^ \ s^G.^ g ç ^ L,ercJ7"sctr u ■ 'r^îl'cjilÿrL l i t e a u !
■ qui en a donné plufieurs Vues,
* 2 S * CJiateaude Montmorenci-Luxemhourg a 'Ènghuien, ci-devant Montmorency 9
prife du Village de'Deuil* -?
" $ t tW t en ctoi e An 'u jo T ^ ^ E Ç ’ c V J f e ^ ' c n V ' .
Mils le'pluss’ût" eil te/^RQlsRûbsrt'Versla lin 'u 1 ici r j Lt ] 'quint 1 q prc(^_
ce Prince fild^n d’une Fortereffe appèllée Montmorenc y, à un .Sti^ui?mq.^V B o u c h a r d - l e - B a j , i
d ^ # | | n ^ o S p S £ /
de rfcmj erecrj i ^ -pô u-'r y r^P .7 ; « flul ij£ k fièg e ^ ^ â t S ^ o n m o r e n é L l ^
■ ddtrni&ent, Oflaffl-
&' que ce nêîùt qu'en Ï4 Ï 1 qp’Tl fut rétabli & drig^ en Ville. En iSSs Louis pSt de"s Lettres-
Patentes, le nom de Montmorenci en celui d’Enghuicn, mais ce changement n’ajpoint influd fur l’habitude
Où l’on étoit auparavant, & que l ’on a toujours confervée, de donner le nom' de-Montmoreqcl à cette petite
Ville , fituée fur une colline> d’où l’oeil parcourt une vallée des plus agréables 8c fertile en fruits, fur-tout
^^è^éellentes Geriîes".’, >v, |
11 ' •' “ M™1™0"Æ! - 'u«e Eg fê Collég J e ■& ParoilTialfe 'fdùs l’mWcatidn de Séint Màrtinj
fo“dée en 1130 par les Seigneurs de cette T ille -, pour, des Chanoines I l A d n t deffenri. mfqn'en ,tfi8
■qu ëUe fut donnée à M. de BeruUe pour la Congrégation de l’Oratoire, par Henri, Duc de Montmorenci.
E E 1 i ,e ten ' £ ? 'a “ E “ «e Èglâÿ aveiit. été rebâtie par Guillaume de Montntorenciy Glianibellan
d' Roi Charles VH, Le 11 XII & Franco >.I, ainfi [ue l’indique une^ltfiföHptióft èn Vers'quo'1 ljt
au bas de fon Portrait placé .lans le fanduaire. Cette Eglife eft fort belle, & pourrait aller- de paie
.avec plufieurs Cathédrales du Royaume, (aeft1 le lieéi de la fépulturèdés Princes & Princeffes de la Maifod
de Bourbon-C and ,: à-âquelle aj p r eàt adjourdirili le Duché d’Enghuien, ci- Je» mt Montmorenci.
L’Eglifë Pâroilïiaie dont nous venons.de parler, *^*1 Maufoléesremarquables, entr’aùtreà
celui d Anne le Connétable, & Magdeleine dé S’avoir Tende, fa femm , fculpté en marbre & en bronze ,'
Par Barthélemy Prieur, & généralement regardé comme un monument précieux. Nous en donnerons
uae def< ‘‘J “on détaillée lorfque nous j arlerons dans «ptrè texte dé cette p'étïté;Ville. Tout autour de
la clôture du choeur en dehors,. au-defh s;.idu P 3 trail de Guillaume de Moi eme en i, 8c de 1 p rcipaje
porte d’entrée de.cette même Eglife, eft .écrie le mot Grec .aplanos , qui veut dire fans tache>
fie qui fait entendre que les Montm orenci ont .toujours vécu fan reproche.' Sur- un des: vitraux, on'réinàrquë
la figure Frai bis de D ittem , E n! » \u e , avec fa deirii .familière ,' Vielui f i : cornes.
Montmorenci renferme, indépendamment de l’Eglife Para (Gale, une autre Eglife de Religieux Trinitaircs i
.connus fi us le nom d Mathuri , & un Hôpital. Parmi les Hom nes illufires ùxquè. ç tte Ville a dont t
■ 'ijtUlai i L . , t ' î l U y f C r Ji-.aiule L ' L o im . d e i J i r a i g n é ÿ^îftofiogp tÆ d e ! :Er-a'nce.
Cette ,première Vue de Mdncmbrencî préfente le côté oppote ' à la Valij ej Öc-fititvoir un fite voifin
où Ion remarque le Château de Luxembourg orné d’une riche arohiteélüre en pilaftres Corinthiens, & bâti
par OoçnÇ..*iprès les Deifin^Mlaidoui^Æj, iiÿ :ÿ k è Parc & les- 1 id s de ce-Ch^S&onflfuits fur
les Déifiais de le.Nojhe; le Clocher de la Paroiire.r'ôtrqLreiques Maîfons du joli Village de Deuil.
'& que l'on peut regarder cor îme une des plus agréables des enviroiis de Paris „ .par .les Bois, fes Eaux &
fon Jardin. Elle efl récommanc ale encore .pair! e'i : qn . r fait un autre I omme ■ lîeyfggaàmeV
Ce Bourg de l’Iile-de-France, avec Baronnie & Châtellenie; eft fitué fur là rivière SOife, vers les
\ hn-, fumomrné de l’Ifie 4
Seigneur de Villier , Village à une li 1 le 'i’Iflc-Adam Cette l ’erre q ri appartenoit rutrefois à la
Maifon de Montmorenci, connu le fait voir encore aujourd'hui le tel t a ilams,. écrï e j os ca a es
fur la porte de la M 1 fo 1 du Fief, que. l;on voit dans l’Efiampe fur lé fécond plan à droite, a paEê
dans celle de Bourbon-Condé, & enfuite dans la branche de Bourbon-Conti. C’eft au Prince actuel de
ce Nom, qii’cù due la répaiairoiranlëttatb^ir^ ^ .afdônniJéér»-.'forme.-àvÀÇ JU ^ n f a B
-la Vue. Les Écuries qu E a fait bâtir en entier 'fur: ÿjùicièfi terrein dedllMtel Bergen 1. & reinhelliflcmcnt
promenade d^pl'ü^ • agr^âblés i renferméé'
’-dans H É , ainfi que ;le Château, fourniffent fenfô'réT'des preuves du "bon goût) fie de la^magmfeènGe dé
La feule Eglife Paroiffiale qu’il y ait à rifie-Adam, fut bâtie par les ordres du Connétable, de MontmOrenciv
Cet e Eglife éil deffervie par une Communauté dé Prêtres.établie par Aim a*d’l è Bourbon, Prince de Corns;
Le Prêtres font tiré dés Millionnaire dé Lyon, -defquels jlsi'dépëndénü. On voit dans cette Ëglïie lé
tombeau du fed Prince, que lui a fait ériger le Pril cè Ion fils, & qui mérite une defeription particulière '
^^Sptfs'rëferySfiï'^^ÿotrejtèx telhifto ri^K: / ’ V
N ° 2 7 . Premiere V u e de l ’A q t lue ,d‘A r cu eil, prifé' dans l'enèloi ',clii vieux Çhateaui
• Arcueil , Arcole n , Village allez co îfidérable , rès Par s , eft con m par les délicieufes eaux deRongis :
,8c a pris ,fon nom des Arcades d’un ancien Aqueduc, bâd par lés Romains, dont il relie encore des