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charmans paysages qui les en\ ’ronni n trotlron run e multitude de' pérspëç-t i\'ei';oà: ne
p eu t pas plus agréables. On a tâché d:en donne r une idée dans les A ues sous l S n ? i g
d e la neuvième livraison, e t a 3 de la dixièm e, el dans; les.de ux qui font le sujet
ce t article .'; l’une p rise de la route, de Picardie . au bord dêjdlfeËiiri. dè Saint-Cloud
à l’Est, et à la distance de douze cents toises'du Château; fa u t e ^ c le la liau.teuf d u
'bois de Satori, au Su d70 nest à onze cents toises dti Ch â te au , d tas le haut de
l’aven ne qui enfilé la. tété du C anal, et la-porte S À n t >ine.
■ N° 37. Vue de Passy, y rlse dans l ’Ile des Cygm s, 1 s i-v is les Bons Homme. ,
L e Couvent desMioinies, vul-g i-i rente nt Tes -Bons - Hommes, fait' là sép n al ion entre
le Village de 'C'haillol t celui de Passy, qui réuni 1 1 tu ile 1 tes beau s;|!Sÿ^e,
loi sc[u’om côtoyé la Rivière du côté de la plaine de Grenelle. La disposition, d
maisons et des jiai dinspfeçës 1 11 1 riplddiéatît /procure aux personnes qui les'hâbile 1
les superbes Vues de là Ville ch Paris dlu Bassin jdfe la Seine depuis le Pont Royal
j usqu a Sèvres, des hauteurs-de Saint-Cloud , Be llevu e , Meudon et des campagnes
charma nies q u e lle s < >1 il t
-4 é hhgjhrTir'Pc, | nditfifh^i u K ro ^ ^ ^ enÆ u vL ^hhwi tu d '.io u iir J ty Sm t ,Vju£> I
r.ÿoiiistaage de lia Muette, du bois de Boulogne et d Àuteiifptent de.cet c ndroitlè séjjbùr
le plus gracieux dans la belle saison. Parmi tes superbes maisons qui le décoi en t, ou
dismiKiic le Château de M. de Boutainvilliers d 1 ns la plus heureuse |ti||ilijiqin, et lotit
l’intéi leur est orné de Sculptai < s et de J ableaux des grands M jîl i es: Sa ÇhapellSll
for nue ovale et décoree de pilastres I ôniqu es, son parc., ses jardins, ses bosquets et
se; leirasse s, méritent' également rUgardstlés'ctii-icux etdes ...:On
remarque aussi dans et Village la maison de M. Lerô-i1 dfe, 0 lïàliij^^l^ dont le bâtiment
•consiste en deux ailes terminées chaçmB^|aË'un Belvédere; orné de balustrades'de
piei , et porté sur des colonnes d’ordre To can. L 3 Sidlon orne de siul jmyés I
■parterre, l’orangerie, la galerie de tableaux,
vnd^^^^giÇ*1f'fîrtVm dînu lu n r? ^ n u 1 nnTÎTfïrr d?X y luî'c^it
•plrufmjT^Qn^wprd la pi’W iu n n ^ 'JC K ^ î^m m q p s u 'f tVdlcJifs'îppifVntt - ffins
„celte \ ugwtjnSjB MWwSmii >
ï ° . V ue du Château de C reil et de L'Ahbay E f "
i-°. V u ^ ^ êÊ n tr é e C'frÆ’ j-jjjjsj
■ Cette p i d t u\ rîn 0nti?&rdu
S*, e ’h 1 1 -jfl '11? t tj f l ' .ni ju ^ n B îh ^ 'V -
vers l’an y44 A iffiUtnC 1 .,
selaiit e®j&1 fs el ( u il liW ^ w d g j^ ir ufrçhua ^ i L n y
.tWejf ie^ 1 ù.clM .î .^ ^ ^ n I qüie&lnpp 1 a<Tn|jq r il inm u iffp îrt‘ '^w l^ ï^ lîjjn in i
dé < otlt^jËull^giah avOient t u ' l S ^ cltrpl^r J f e
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f ^ îÆ ^ f 4 ^ iDîE U x |'w îis * ^ |R 'U » ^ m|ÉME PliAN^HE,
' N r°.> V ue de ’daÊbnt der N eu Ê m -',
'S^BâiipeTcoi^dans c e l|^ ^ p ^ BM & e r fè r e te Pavill^ïw^pOTne fesjtre Islfe" agré able,
une partie du V illa ge dé Swrénne, d’ou l’on va au Calvaire ou Mnnt-Valerien , q u i,
(ifflMunî l‘o 1 tp r e s d e c e Village , est IcepÊjdànt d é 'la Paroisse de Rue1!', siluéèclè:
l’aulre côté die teMoiniagne. L e Calvaiire que l’on remarque à d roi le , est un1 lieu A
'®'e^lpdëré^ ^ Bm p ad e ;ffiïn sq ', ç^M ^imut^dans l^flpifEmâ Sâiusir
et aux Fêtés de la Croix, un edneours de monde prodigieux. Sur le sommet de la
Montagne appfelie en forme de 'terrassç',.-est-.uné':petite Eglise, desservie par une
Congrégation d e Prêtres;.établie en 16 3 3 par Lettres Patentes de Louis XIII. Trois-
grandes Croix ornent le devant de la terrasse; on voiL des deux côtés en descendant
d e l^ f io n l gne% plusieurstCllrapi Mes dans lesquelles 011 à représenté par d#si WUTei-
d^^miidèlur nat|^^S*'^SwrfIèr^^e%Gi^o)'çfsranc_Gs,.d ^ ^ ffl^ ^ K y^ d aH lS ,iftt%iéurs
■ m B&fcs- d^ ro |i^ F^^p ïroùÜ èrémeM ^ ^M .< Madamê! Ib-pRm wB k »- © O i s R S i *
; i lé à-la;:içdn Iruclion delces Cliapellfes.!' :Ce.lte Montagne est ahssi habitée:par des
fîermit s qui étaient eHpôssessibo'd «eeSiîaïrJt&ng I îhlilps; ayant les Prétres-.du C iK irett
côîjj
le plus difficile de larges-retenues, etxteslraa:rc1jjfes quipSlidu isent à trois ou quatRë,
terrasses,-/dont tes VTîeiTsui-p^ffilrerii par leur'éten|[«| et fer tVariéié. < tn dé v iv re
aussïfd'ains le lonrl de l’Ksiampe à gau che , une parito clë"Saint-Cloud , et I Abbaye.d'q;
efflMfe3Bo|%Craire, a^t«fffihau®.éht £h
|Si J » u n fïfy ih ’i Fiancée?
Blui^rt^®«lîhrreièreM'ê^S®Ee»eK:faceldi®®lla8te de S h ïèn d lftE e s t tjilîê s tvo is ’d o l
iélémiie dans cette Egliise ',. y attiraient les merc red i, jeudi et vendredi saints, ûnë:
foule d’Amateurs. tViqioiard’hui il n’esLpS|L question de ces chants ; m ne visite plus
celte I glise m f e O T t vient lès n êmeséjours laire une pr< 1 n lacle daits le Boisvdè
lÿû lo gn t < :t sur-Lout:dans l’ai « titra ’ n i ebèduii-'lildla Lo.ùgrC liamp au Châte tu de U
'M K tlfe où $ & l ' I j . o é î S f S S K ® profÀqnâdS esl^Shtonlph^i
du luxe '1(111 s’y 1 io T iC i^ ^ ^ ^ ^ ^ ^ ^ R w S t i| I f
z ° . Vite du V illa ge et de la Caserne de Courbevoye, prise au bas du Château de
â t . - lh ? .S b ^
C o u r b e v o y e , aTO^^^^ B <SiclferaTttje^i>,^^JM'Æt'éau^.d#ijîi!éllhih.fé'rfueuyqtift
tj^ g r se.c .lS7ilT (^ |f ÏW ?. ’ u’ n ï ' î ’., I ù t ’afoy ? po»tpiI
spisié; titre d^glisé.pa-roissiale de S. Pierre et S. Paul.: Sur le haut de la cô te , un
au -d e là d ë ^ ^ ^ fe é î® e , e® m f l ‘ ilro y fflidÆ 'ffiB Î^Æ l 1 t a q » F n n c o i 4 .> trirtila
en -i6 5 8 . Ço'L'èndr.(jiï|fst parliculiéremenl r m tfcjuable par la C aserd ; d