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T R O I $; I È M E D I V I S I O N
DÈS P IE-GR IE CHE S.
L .E B R U B R
, FIG.' 1 et ‘3 . f
f -1 s espè< < s --qui compose ni çetre tpe isiénn sectie
d Vli iqiu Sf 'i'jjppl >eb< tfiïh K f Jl S (|< rl'iîi TiI ril? nl s W x !
seconde pai la lourn dedjè jj|p|ÉG.qüi est plus a longé ét moins courbé que
ceux dfes pic griècliesde la pi iii’m , division. D m'autre cótó,;" e |^ s’en.
éloignent et s< rapprochent do colles dé la première par leurs allés plus
.un pli s et plus pointues ; ce qui leur pe nr et de s'élève F sac te somme 1
des plus grands libres | irmi les branches -desquels elles eben bent
très-soigneusementtous les insoetesqui leur servent uniquement de «Oiir-
r itu re , sans jamais.attaquer les Entres oiseaux Aussi ne lés'.troiive-t-on
J f t dansii s forêts < n elles parcour Ht .en petites.-troupes composées d«
tojitel 11 imille tous les îrbres d’un i iste < ante n sans se tenir en .< mibus-
cade à la même place, comme nous l ’ayons lait îema iq uer à l’égard des
piemièn s pu g r icd ie s dont uOu- ivons p a r l £ ; t d p ^ i ^ j ^ i p lus silè®
cieuses et n'e: s.ë font point emViubt ''éo n t in u^& en t , comme piotre pie-
grièï be grise d’Europi : , ou co|H§31(g; fisi al, la pipipiS CflpHUa je- et
le ço n beur, qui roulés ont un babül presque contiiiunl:.;’eK|âblnt non plus
comme celles de ïa secon de division , dont les mêles ainsi que nous l ’avons
dit . appellent sans cesse leurs femelles, qui T o u t
ce que nous i e lions d’obsni \ et T.J égard des caractères ply siques etmoraux
par lesquels la nâture a distingué les differences brandies de la grande