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5 ^ 11 î “ h“ rendre publiquement, malgré les sottes préventions de ceux q u i,
aSwHMjMaiaMtt^vaaJMi appréciai dSsrSOTMP'rj^'^Sÿw^mTti'1
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efi êtivem'gnt découvert un pr< s< rvatii avec lequel il < 1 artoit les iip£cKl
rongeurs des animaux qu’il pié p;u4^aB^MilMSf'<1 ' aux q u i, d’après leurs
é t iVjuettes, ont ; i té p^k,qdi é I p ar B ecoeur, dan s l’ann ée 1742. C es ois eaux
liiientdpnii^s âp sayt n I cri sial] jg ra pB Rc mé de Lisle, qui les a gardés
f xposi s sur la ci ir mii.ii: di: sa bibliothèque à la pçil!i ss:t: rP/'l^liftijMffl?.
ari's qu’ils jn ’(>n 1 été donnés p ar 1 ai, et qu’ils sont aussi exposés à Fair ™p
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de leur vie, a d u m ly
qu’il n’en existe pas, e tq u il ne peut pas même y en avoir. Enfi a , Becoeur
est moi te a emportait soil sei net, et cela par une suite de l'injustice criante ;
qui fut exersgpjài. son égard lorsquo , venant à Paris solliciter d’être employé
1 f ' wrechercher,
il vit la place, qui n’avoit été créée que pour lui et qu’il solli-
citoit, passer à ua^'iiM* puitjÿjhu
comme le sont généraleme H lou^ll^S^^iiflnjcs'ôlî^fnn^iyj^jyfiBi^ifyffl'nri
paisiblement dans sa province, où il
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Nous regrettons également de nous avoir vu enlever par l’étranger
la belle collection d’oiseaux de Mauduit, et celle de minéraux qu’avoit
■ayqns de précieux. L ’iiu 111û rençe de uq!s: .gpitwernaus , à cet égard, ne
ï^||G0jçle guéi;e ave c;te»i!|||ÿa.ds mots et ces b e le à ^li- ises contre, le
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