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autrement, la gorge et le devant du cou sont d’un beau jaune de jonquille,
ainsi qu( toiitleresteduplumageÄ iÄ e u r d u C0pÿ|:jiisep aux recouvrent ens
du dessous de la queue. I < ri m n 1
par une riche teinte jaunâtre. Le bout des premières pennes de 1 aile est
d’uii brun noirâtre; du re ste , elles sont d’un verd olive dans leurs barbes
extérieuresI et d’un noir lavé in té i ieurement. La queue est étagé;efar|>< u
c’est-à-dire1que lor;iquelle est étalée; sou extrémité forme unépbr.tioli d<
cercle et n on u n fer de lance comme celle du fiscal ou celle de no'&ê' p i<1
même y e rd lç ^ le dessus d 11
corps; les aiitres sont en parti< noires et du reste- jaunes à leur pointe.;
mais le jaune occupe toujours plus d’espace à mesure que la plume se
räccourcit; jdeVsortë que c’est la der®lèrê:i e cEàqriq'C&té qui est la pfc s
^ ti^pmipnr de eerte c o ll l r . Le bec et.les ongles'sont u<
bruns. Les yeux ont une teinte d'un brun rougeâtre.
Le Bacbakiri mâle est à peu près de la longueur de notre merle, mais
il £ st cependant moins, gros ..de corps. E à feptelle est un peu plus petite,
e tre ssemble du r e s t é l i s o l ï ig ||t au *uàle, à iuh:'légere r(u'iircqirf:s,qu’:elfe
a de moins f c n ^ ^ d a n ^ ^ H t e f e . Ainsi Mo rubei Hard Vest- trompé à
.IV,,u ,j de lafeïnelle de.cet ois<:au, qu’il assure n’avoir pas les cordons ( t
la plaqn e noj i e du ma%,Quan t à la ig u rc ifc S S S des planches enluminées
de Buffon, à laquelle il îenvoie comme ressemblant' beaucoup à C( tte
■ feme] le, il l a u t convenir ^ u e lle ii© ® « é^fflien mal ^ |o è ||p , car eUe u a
pas le moindre rapport avec la de crq>tion~q.u il donne de cette prétendu
femelle, qüi■ au sujpjjÿs, estrMeÊ- élffifeëjienL- celle du B îeb. akin dans
son jeune âge. I ) ms Cf llement le mâle»tel la fejmelle nonI
p o in tle plastron noir et ses d'( ux soutiens, m ü il le n: manque égalerm lit
ce joli gris olivâtre de la tète : et le beau j aune du corps et des sourcils ; car
tout le dessus delà tête, le cou par derrière, le manteau, les recouvremens
des :ailes, enfin to n t le p lu in ag e |||j|é rieü r est d b » |j|e rt olive;, la gerge çsl
bl.un*bâtre; le dèvaut du cou, la poiliui;ê, les la n e s , le ventre et|ëk-c^ij
vertiiTes du dessous dé la queue sont ct’un jaune gris l i a n t sur 1 oËvâdi
Le jaune de la queue est.aii!ïsi plus terne. I nfin ,■ je renvoie lè;feeîej|®. à 11
planche z‘n-40. cotée N°. 67, où je donne les portraits du mûle et d’un jeune
Le mâle ejjfä.femelle Baçbakiii se séparent rarement ils niebeifl dans
les buissons touffus; ïa pon|f;jeSt .'de qu^üëjou'cin q oeufs qu’ils couÿent
. tôur'àkcur 1 ir-nue le^foetits soïïttsm S lm suitentjfillslon.ttii'mb p» re
et la.mère qtfi; en ont un soin p irticulierj- iL forment alors urne petite
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s’isolent que lorsqu’ils pe * \ .
prennent I ► tir b eau plum age.
d’ui 1 1* • !g£l
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