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ses platw lie s < nkiWijMeJs il est £ g oré, N". ayu , sous 1(^ noua de mer] : à
collier du Cap de Boniie-I Ispérauce. ■> »,
Cet oiseau e slÆ^vf^iiTTint! idioij^alf 1 kik
et se trouve géne ral( m< nt.par to u t dans] in le rieur des terres d( la Colonie
bollandoise. Je lu i li conservé le n< 11 J Bat bal iri ] a i lequel il est désigné
et connu au Cap; ©U lui donne aussi dans difi&ens cantons ceux d e ,
jenlje-bîbi, ët fie coiul-couït, tous, deux form comme le premiei par
onomatopée. On lui applique encore asse z o®|aii.iik nu nt Ieu.om de geefe
canari byti r. qui signifie morde urde can,ai i , jaune; par ce que au Cap on
liorriJu'f'y.f/Âor»' p i . sq ijt.tfm sp lT ^ iiii l i l y
r^tjn^çnjid'jirVdHt luarisb vb& d.ijx'<piJ@h..foiit U guerre. On lui d o n n e :
je ne l< i 'g,J jj-V
pe ul i tré parce qu’il e st en .effet très-commun dans toutes les dunes et sur
les bords ele »
d’eau.
Le Bac bnk ! ri e s ttiè s - mMl iplié dans toiatês les terres ; on le trouve
répandu le Ion s. d e iisloie'd'e l’est par tout jusque chez les C ® fo ? j|ç f a t
aussi ren co n tra| 1 > ut ! n t dans l’i Ht' J iqur des te rre s, et dans beaucoup
d t h li ûts àiij ïiggtè'âe l’ouest. On en voit en abondance dans leSwart-Land |
sur-tout ; il est c nfin très-commun jusque dans les jardins de la ville du Cap.
'fV'll'epii gri i he, ainsi que toutes les autres espèces' de Cé ’genré1, est
tres ÊaMlardêj son ramage q u’on rendra asse zbien parcesmoitsbac-ba-k in ,
est très-facile à imiter, < n le ] rononçaûl c omn c je lé pote ic \ r ^m a is
c»ri < onlii fc ra bien JpLs: naturelle m ent sou chant, si on peut.]parv;< inir14 :.
1 isprimei pai un sillli meut. J ’observerai de p’1 is'que 1 e **1 ffixprelni t :s
sjdlabes doivent être coupéc s d une manière très-distincte., .cbabräfejpa^
un c oup de langue, et prononcées d’un tou grave et sonore, pende ut qwë
les deux dernière s, bien plus aigues, se lient ensemble. Je remârqu t ai.
encore que fort soui ênt la première dés" deux/dernière s syllabe iTmjOT/ui i,
f a , comme il arrive aussi iHUUULueJfti H
tous ces cas la derniès e e st plus basse, et n e di11 i re de celle qui
que d’un semi ton. Aussitôt que le mâle eutoiMie ce e haut d’àjjpjpel, qui
n’appartient qji’à lui s e u l, la femelle, qui n’est jamais tie s -loin de lui,
répond aussitôt, sur un ton moinS-éle^é*; çou-ït, cou-ït (2).' Si on s FxflrW’
j& B » ll ?W ^ K U l l l .
à bien rendre ces différens cris, rien n'est plus facile que de faire venir à
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a ï # ken dans le cm y '
Au reste ces pie-griècbes son t peu farouebes, et se laissent f a c i l e I | MBS:;, 1 H 1
de chenilles, d araignées et de toutes sortes d’insectes,: mais comme elles
n;e voient pas fort k e n , par rapport li a petitesse'de leurs ailes, elles në '
se jettent ’S M ® ® * dont. I.
J at pourtant ■
enfermees dans une volière, elles mettent tout à mort; du moins c’est ce
1 autre absens ses nègres prire n, un Bacbakiri mâle qu’ils lâ ch é« n t dans l& l B b 1 NH 1HI croyant nous apprendre une » v f f i f f iH B L ï grand plaisir nous
lirent, ,e reconnus atsément l’oiseau dont ils parloient, et me doutant
aussztot du ravage .‘.ft. .'t. W k
m Ê m Ê K Ê B Ê l^m 11 mÊÊ B B fll i H grand dégât, e ttro n t unes! ont dans l’effroi. Déj d t
les autres epouyant is à l’aspect de leu, enne m i, ëtoient rékgiVs datI
tons les coms et tous les trous où ils » o ie n t pu se fourrer, et où nous les
vîmes entasses les uns sur les antres. Ayant mis à mor t l’oiseau destructeur
nous rétablîmes le calme dans la volière , en recommandant toutefois I
W de bien se garder d’y lâcher par la suite des oiseaux avant que
B É ' «tssmns. vus. Au reste, cette’espèce, ainsi que celle que ’ai
i.j£w s .h
torn autour!" ^eUM ^rl^ es aPr®s ^es treillages de laiton qui la garnissoient
Le Bacbakiri est,sans contredit, un des plus beaux oiseaux du genre des
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M &'l) ; deux cordonsnoirs,dont chacundesboutsprend
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