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de Buffon, édition in-.i
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du i oux idu ,yVnl r<
câa aêtgrê dont t < I auteur fait mention t n parla ut de sou merle d’Abyssinie,
i t qui- lu nl' 11I1^A-S'^8ra^»'!«,i
son oiseau, ilprétend qu’il l’a ronde et carrée par le bout. J ’avouerai franchement
que j<: ne connois point cette forme de queue carrée et ronde en
même tems pai Je bout .< il sielle <est carré«i, ..(oEûtes les plumes sont d’égale
longueur: et. si elle est rond e , elles sont an conti dr< étagées eomme-
l’oiseau donl je parle a vérkâMëâieiit kl-queue faite.
«.* Du reste, le ramage de ma pie-grièche s : i îpporte iss< z à ce qu’il nous
dit de celui de son merle, car d ie < hante ce
qui imite issez bien le cou-cou, oju, si l’on ve i H:, une h o rlo ijp je bois : il est
vrai que la femelle, qui est toujours-prèj-$te sou ui.YjjSto^^mjK^^Uj^
ajknÆ^M^SSeN^iAlJt iin expi in i■ îjF^bloqip a ig S ^ ia g ^
propos que trè s-longtems j’ai cru que c’étoit le n i àle : seul qui clian toit ces
s j 11 abes bou-bou-cou-ï.
l Je Si l’oiseau qu’a décrit Montbeillarctesï le même queîe mien,il iau tdonc
que e elui e 11 li l’a observé a it rencontré] e uaâle'seul, et qu’iluïait pas connu
le gearé de sa nourriture, car il ne se nourrit pas de fruits ct.d’tcrbages,
comme nos merles, mais d’insëetes;, -et se jette * qS^gjjU'etfois sur les petits
oiseaux,: comme, le bac b ak iri. ce qu’ontM^mOlfeeEBéiAes colons du Cap,
qui nomment ci t oiseauswarte ar anlfyibéi (mordeua de canaris, no ir), ou
bonté canari byter ( mordeur de e .maris , taellë'ÉeS). L’incertitude où nous