É $ H I S T O I R E N A T U R E L L E
non-seulemi nt ï-çët ég rd, mai qu’ife | feignent l’un Bar^les
c ii« r i; v fIi V 1 •dl 1-IlaeI1*:^^S)^e
à son extrémité ; c’êsfcài=diaîe, que ton tes les pen n és qui la G( imposent sont
t ^ iJj s ( nti < IIV X qn<I dJ t 11« ff-t Etet-*
^nqfumr?àuiu 1' iiopèjjût, >im V’ü cuvera uni- ffi^icnG^as-JV z
sensible.
Au reste, c’est peut-être trop insister sur des erreurs qu’auroit détruit le
premier c vup-d’ceil sû r les figures parfaites que j u données de
pw'Lin " ''J* A c k*-1'' IK tlllP '
fort peu d e | |ÿ !s:è:|a elles-mêmes, S n’en est pas moins vrai quelles sont
dans le cas d’égarer et de conduire à I s conséquences fausses, et par 1
tromper ceux qui, sans beaucoup d’exam n embra ,en t,.a^u ^e ;men « ||:
T ili;^ P |^ t ÿ p i# < p |Æ y i ë É 6 r s ^ ^ S a r iL jLV111, V ‘M il
sux. tout en< oï i quand elles sont appuyées, pai une grande réputation de
savoir 11 ( toit donc nécessaire de;comifiattrë o< lles-çi d u n e manière qui
ne Laissât pas le moindi e doute car. clan s les sciences il n’estpoi nt de faut
indifféri nte,rvu que h s plus, petites erreurs conduise n t à de plus grandi s ;
■ oellr de col:ta vari ition considf rable, supposi e dans 1< s oiseaux qui l iniji !.en i
differentes.tempe ratures, est de la p Lus grande conséquence, en ce qu’elle
.mais < ondniroit infaillible nu nt à .conclure que soi i seulement _t< m lie s '
o is i rax du même genre doivent leur origine à w ç f ê g ë f ë g t même, espèci
mais qui généralement tousses" oiseaux sont sortis de la tnièpieisoutile ;
enfin; qu’un seul -couple a produit, ] r des variations successives, tout
ce que nous t ( > yo ns d’oiseaux sur le .globe entier. Car, enfin, si notr
pie-grièclie grise d’Europe a p ii; ;; n’importe p ar quelle influence, produire
la p i, grièchi d’Italie, la Pie:g ri :che bleue de cet article, la'.pie griècl
g! i se du Sénégal, la pie-grièche payée de Cayenne, etc y 1 <. etc. ; il n ’y a
pas déraison pour qu’elle n’ait pas également produit, elle-même ou ses
descendans, toutes les autres;pii - grièclâés qui existent; puisqu’il n ’y
a . certainement pas’ p b lsu h ^ iflfrd iic i JK& m j «
davantage entre elles, toutes comparativement les unes aux autres, qu’il
ne s’en trouve-entre toutes celles qui suivant Buffon en pi tn n n e n fc e t
dont nous avons donné 1 numération à l’article du fiscal, «I ription à
laquelle je renvoie le le cteur, poui ni j is répéter i i ce qi r pnzKOE?)a hl
*
i"s Gr, si foutes -les pie:grièches n ’étoie n t •que des v i i étés Jfi'irne seule, et
même espèi e on conçoit que la même consf carence pou 11 oit s appfqjii sr
aussi et avec tout autant de fondement, à tous lés autres genres, dont les
gpiféfen'tes | l p | | | | | | qui ne seroient plus ici que des variétés accMeutéfl e s,
DE L A C 1
IHïïlS. r11 lÿv n f|1 diilyBBaIf iV-Ani''^ ^1- • I ■',l*,<iaiBnr
trouvé qfiti vîtes [g' -grièches. Ainsi donc nous n dg g a B î f é r *4 B chaque
rvijfsfr11H»1 i m ‘ *
pTOn;U,n 'u in s 1 û.'di. ; l ,i1''fcll'ji!; ' 1 hjip* IV ^
H g Q i b l g g i n f n e l l . ( "» u g r . ù l J iH MJ( ■ 11^ i|. 1
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feàisÉB&ij,j,elef &qd|b^«(.Ln',£îi . ù f tï ih 'f < - /'} t ^®^nlæM>ranch4 î
duemeul i ijngf.itih^fifflfiK^ -aUi;.rfa'.'I liÆ
JÎVriiiijj Urt'J u MjM®j i, j èsla'étife» y i ^ Bllienj-
P^î^pgjtfiijAins1,!'( 'iijTLt 11 , A| tËJLv’ mb es-i i f f i ii.ly^r
|8mi !■ - i.
ËlQgTitu ’ Ij s ^ p iriin»ju*ifrfii.ar enfin U ind' i ' ’w'ioi-.V'ii’nÉ
pas plus d différence enl^êje grand Laâgie, l’aigle : commi i n, ïe'p e&t-ai'||J^
le pigargne et tous les autres .aigles, qu’il n ’y en a en^:e un chien deberger,
un ffjg| i 1 i caniche, un roc e :, etc. Ainsi d 7 ceci éiaiit
hieu posé, si nous comparons en sem ®gm aigle avec^w | vautour, je ne
vois p . ^ 1 B 1 V j d i i n ^
■MT K r on nt. I n ri 1 iBbAT» i
S i I ^ S o u tu r c , donilelpoips t s tn u , et l’épagneul qui, au contraire, Fa
couvert d’un long poil fourré, (mt tous deux.une iuèmc origine, pourquoi
l’aigle ; (la tète m? ilumée et le chauve vautour (i) n : di si ndro.ii
n m i ij-ij S^^MKtvmTpi iimgi uhi (®W rag ^M ÏSg ."' jaf 111111 h oV,
Hes^unes avec les. autres, et que les faisant rehtrei succi s lu ijæugMBBMB
ta. 11 g.
elles., et qui souvi ni sont même plus grandes entre un genre et un autre,
.qu'énitfie de*.êspèéés;;..du niêrae1 genre, poils les l'éduirons e ni imiJK S
beancoup. Qui ne convii mlra.pas. h'-ii*-l|tre miI.le^mwi^^M|
calao i hinocéros (3) , quoiqu’ils soient drl miime genre , que 1 e grand
EüSjltJn.-mi H t‘l-I<jffll^^^Bi!BSâffil'-J h
commune, quoiqu’il . soii nt n ( onn us pour appartenir à des genres diffus
rens. Enfin, nous v oyons que d’encore en encore, et en réduisant to.iijiOoi aT
^ M ctuCiIi i^S^EBj^v am lyi^TOIi.-C qn i f f l f i j - nÆl u Bt
^ ^ ^ ^ a u , . d ô n t sero cm desc; ddu ^ h é ^ g mit
aux qu.i. Il (jîiètffi? V
( i) Les méthodistes ont assigné, Comme caractères inVè^io^^Bneia lesÿY^u^M^y4^%hdiè^,dêJa
tête et d’ une partie du cou.
K^m|^||'ezi * 3-les planches'eîîl>ûtïïih;èè's''dè Buffon,
(3) Ib id , N». 934.
Tome IL \ . ' %