g i n g H 1 S T O I R E N A T U R E L L E
pari ait, mais qu’il :ne regardoit pas
ri'êsna MuBs^c^esj8is^’9 5 ^ T to ^ ÿ F 'te ^ d ^ ] i^ p P j ^ tirJ
l ^ m è u n e variété de cette espè.çe k ipie-grièç h e 'd ë la L jui;fl.ÿ^?<)i'ÀMj£j^
ßg I irée sous- le N°. 3 É 7 de s planches coloriées de son ouvrage, en assurant
q 111 i cet od!s.éàu■ ressemble presqu’en tout à la femelle de MÉcorcheur. O r, si
Buffon avoitpris la peine de consulter cette figure àlaquelle il n 9^L
il est * > ] lain qu’il auroit vu (ou il n’auroit pas voulu voir) que cette piegrièche
de la Louisiane n e 11 ess< mblpkabsolum< n t en tien a u î 1 lAle n ià la
Ju n i l& d e l’É i orcheur. Le It cJeur pourra sejéiàmvainpe,de tout ce que je
viens de dire, en comparant lui-même les portraits de ces deux oise auaç
avec celui de çettéiprétendne; variété., qui n ’est même assurer™ ni f i s dù
gt rjiitdi s pie grièélies. Nous voyons encore, à fa rtû le de lÉcorcheur,
dans Buffon, u n autre rappr olnu f ritq1‘ ÿht ussi bien fondé : c’est la
fSoné.
et q u ’i l prétend encore une variété de 1 Écorcheur ou d e la piegrièche
rousse. Cette pie-gr nu lie du Séné g,al se tr <;UJi'-»V*îi'4 5 ï,nl au C ap ;
je donne la description et les figures du mâle et d< la fern« lie
M » r, i a, I a V1■;1 ul*! ait' dlaïUi;
l‘ Qu an% à l ’Eccmelieuir des Philippines que Bu fo iî assure encore n être,
qu’ une varié té de notre Éc
,h3i.’n ni
ment se 14(3.SJ 1>K 11 * 11^ ^ ^ ^Q |JSj^{|^li.^JfV^l*'r‘(? l''-r1V-'yi| s i ni nu ü N unJ^
^l'îS^nQujî^ïWin11‘11 i‘nfVlo^. ^ ^ p ^ » lus» m V
H ^ n S ^ j ^ ^ p r e S i J j à ' lo ia iiW il^ »
rieures et leurs caractères , appartiennent absolument à cette première
S i n s i S S ^ ^ o i s e i i v ^
M B