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elle l ’a b runâtre, et tout le dessous du corps est presqti’entièrement fauve,
à l'exception de la gorge et de k poitrine qui sont d’un blanc legerement
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depuis le Cap de Bonne-Espérance jusque dans la Caffrerie- l e long e a
côte de Fest et dans tous les endroits où j ’ai pénétré de ce côte; mais je ne
l ’ai jamais vu c hezles Grauds Namaquois, n i dans aucun autre canton de
ceu xquej’ai traversés dans m onsécond voyage. A u reste, on peuttresdnem
le reconnoitre, quoiqu’on ne le voie pas, fa p rè s son en toujours sum de
celui de sa-femelle, qui fie s.e M t jamais ^ ® â ï e s i k n i a i s e 1 •
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: i » d m 1< même -buisson, que Ä s t un seul et même c r i , qui eu
finissant s’octavie , ou que lu même oiseau fait la demande et la réponse
sur ces notes (i ).
C e t  i è c e niclie dans les brggSsailles du plus c l | | |a le accès .et p a w
le s épines; L a ponte est de cpae#‘ó © t ó q : i les petits sont couverts,
au«limes jours après leur naissance, d’un duvet roussâtre, mais sortent
n uds de l’oeuf, comm e le s on t gén éralem en t tous les • ois eaux qui doiven
séjourner dans le nid après qu’ils sont éclos; tandis que toutes les especes
dont le naturel est de quitter le berceau aussitôt qu elles sont bois de.la
coquille, naissent avec un duvet très-fourré pour le s ! reserver, l ÿ l s sont
en général tous les gallinacés, les canards, les faisans, les cailles,
perdrix, l ’autruche , le casoar , les pluviers , les outardes, les c aunes
pétières, etc., oiseaux dont tous les jeunes non-seulement cornent en
naissant, mais mangent seuls et sont eu état de distinguer ce qui est propre
à leur servir de. nourriture.