5 o H 'I S T O hK>Et ST A T JütB. E L
d u climat. C’est ainsi que, d’après les indications les plus va gués et [les
"•æfc'^ÿ.£|^^@^^t:jtd:©s’d.escrtpîk)rL's»îlss,iplus imparfaites, ;ils o n t s p u ^ î t
conclu hardiment que telle ou telle .espèce, .étoit. communé'saKpfitsiènrs
parties du monde, sans s'embarrasser si l’oiseau dont ils partaient étoit
seulement du genre de celui auquel ils léitraras^ortoient. .
Si, en quelque sorte,Buffon est excusable d’avoir regardé çettepie-grièelaë
du Gap comme une variété de celle d’Europe, attendu qu’en efï'et ces deux
ois eaux ont plusieurs traits de ri >e mblance qui ont pu l’induire en erreur,
•ne connoissant poinl 1< s babitudi s naturelles de celui d Afrique,. < 11 e les
ayant sûrement jamais confrontés l'un avec l ’autre, jëi^éî^^ppô^fedbnTàef
ql&WÎôttcoredoiméJiQmj^simplevariétdd'efeMecgâè'ètegJiaaddiElmcipe;
lapie-griècbe bleue de Madagascar (1), la pie-griècbi de Cayenne (. ) la
pié-grièehe de la Louisiane (3) , la pie-griè e be grise du Sénégal (4) , e t le
dial-bbd ou cadran des Indes orientales, décrit par Albin.
. LeFiscaloula pie-grièche d ’Afrique ala queue si différera ment construite
de | < Ut de|HBj£36fe^ggëieite grisi d’I lu , , qu’il n’est pas douteux que
* ' 'i<Jui* oist nus. «oui d is p 11 s diffi i v îljj^ êlJf'lW
de la queue du de uble plus large que celle d’Afrique; elle a eu oütj il i
queue si peu étagée, que la plus < ourte plume de clia™* côté n ’a pas plus
d’un demi-pouce de moins quecell du milieu : caractf e que je désigne
p a r queue arrondie, parce qu’en- l’étalant son i xtre mité forme u n demi-
çercle parfait; tandis qui celle du Fisc lia pj cisément J L'foiraff&n^î'à
<b lan< i 'jp it< i^qjui- b^fl)hisdMt^V'tiibitiM JÎ
au moins près du double plus ilongée s que laq 1ns courte de ( li iquo ce l
e t les-autres plumes s’alongeant successivement b rment pi e ise inenl 1 a
«pn-ne>de‘ riotie p l'V ^ ’luStjg^S^ dk i il u t ‘PJ5-CV ] < |'f jsl^ iLfcirjul-"
quées de blanc, et la pie grièche grise en a quinze; ce blanc occupe aussi
plus de longueur sur chacune de ses plumes, ' j
li.i p u ,0iitib< IjIi u7!!nrdU11-t^ jse ^ àÆ ri^ k u n e - j,u i(r& o a i^ ^ 7 n ife :’
^nbunmek^p/qne ' n‘Jffÿ.t.dyguqÿbi ^gme } < inV t r«i i
caraetAmpbLlâjdestmgue^ ahsolninenhfiwl'- n> AuMjei è?» t
*i m t elei I jse al; d’ ulli ur ■> JP ^ 'q Jp d jt L'afr aSÏ!t
tro p n nu sc< tiou di spn g r^cb esd Abmin^.iba^i'i-ica.W à p o'af^ffi^iiH^u^.
âpre s les deux premières Au reste, la preuve la plus convaincante que ces
. ( î ) Y oyez les planches " enluminées de Buffon , N °. 2S98 , £ g . 1.
M M 11H
(3 ) I l y a ipi erreur dans le renvoi de Buffon à ses planches enluminées,, N °, 4y6, qui représente
le tinamon , espèce de perdrix d’Amérique? au lieu de celte p ie-grièche, figure à 'laquelle il renvoie
encore à l ’article du grand tinamon ou magoua de Cayenne.
' h m
variétés de celle d’Europe, c’est que je les ai trouvées dans les mêmes
AintorÀ d d|p 0tr||j|p! u Mojj 11 I j j
d, i f <vj# ** K c f « f * » ;
llotre P'ie’-g11 ch î gr se d’Europe; c M i même esj ce ne peut avoir produit
l’curn.iiil , iriüjéjGïd jert 5ji Ui l é ^ V ^ f ^ p
k b mri'j.i4talatMcni <jCffOTlaCk|oifi,iiffîta!|i .tli-jÇ a'mbVj,;. in/jiinV-yr-,
a 1 article de la pie-grièchrçfefeta son portrait et cpmpârëzJ'!
F S" ^ J -p ^ y :n Ab* lJ'L Hj,p-lï-i i /îrtcifa Jr-i^rn t
troisième division; elle a aW u m em les caractères et .les formes de la
pie-grièche bleue, et elle est moitié moins forte que la pie-grièche grise
Quant tu di d b k d d Albin , l’ornitholi gistè le moins .exercé i j
iià'erb bien loin de trouver qu’il n’étoit qu’une variété de notri
KSjïï' 1 1 f r< F ^ ^ pM ^ f '^ S ^ d a f tS îti^ c f lb iu e ts i
E É s S d e m e n t ^ ^ M & ^ r ÿ l ^ â f t a k ^ ^ a â â ^ f c a p p û r t ^ M Ï Ï !
■K ^ è feh e sx p e
Pour ce qui e stde lapie-griècbe du Se négal,icelle du N ”. 2g7, (]^ .... cies
TO>if b. -t1; 1 ? 1$rïrkf^li^yUfdn/'le I e l o ^ i î i a r h ^ P ^ ^ ; , ' si
■ g f “ -1 tU m -o p , t.iwJibu d J jiJm u
|^Fwtrè?fîh^Mhf-*4 p)jf f i îwob<,’tb|ife«| Tiiust me.,il J A I jft
' " if e t’vX > 'jr J q u d le jè
ne prononcerai pas, puisque je ne la commis pas, et que je n ’en ai pas
■ B B B Jl B * lV |>H
K H e’
vihHÎnm sàppj,s e ]ti t 1 g—
plus éloignés, tels que cens de l’Afrique, de l’Amérique et des Indes.
Mais cettepie-giièche prétendue d’ItaHe ( t ) , dont la poitrine
| 9 |H h d ’Europe;e'Bforîieèlbît eSoteraire, tjfee ^p^è^disti'ndtfé’/
peilériiebr eiomdd’k p ^ É é ^ v o i r W'Bgttresv a& f t# e à |3 î
renvoie son lecteur, rL s ^ s e ri^ c o n v am c u .lu ilA ^m ç eS L liv S ^ ^M |