bordent les lisières des forêts vierges, dans lesquelles" ïlkn/aime pas à s’engager ;
. puis il revient avec'un plaisir nouveau c'aresser les poftottes -de ses arbres privilégiés,
dont les bourgeons violets voilent à demi, sous leurs épaisses écaillés, -dés fleilrâM-
midesd’un suc emmiellé. Mais sa visite aux blutons épanouis a.surtout pour Eut'd’y
saisir les petits insectes qui-viêïï-néïit^ÿ. butiner.
Gfit oiseau se pose souvent, choisit un pgstp’y é j^ Jl®|j,p.el'til. se plaîf^iïàtors à, re—
tenir. Ln autre Colibu ose-t-il s’approcher des lieux de s'rn'domaju^VMWeip<nibsin/ri
avec colère et le force à déguerpir.
■Son cbant est monotonne et'dèôn’t&del. ’G» l ’entendfiâ^etdûknt lèiJMihalîdés
heures de la.journèe,ioùrtout caqui- a-çjsoix dans çeîSëOBtrêes éprouti le bpvjin$de
jrepos. SiJ^parfois alors, dans' ces moments*<d%ie.4chaleur 'é t6 iltfarit(>5 ^ f f iS t^ ji?.:
agitées par la brise marine, les longues feuilles des bananiers, divisées en lfrmeros*
par les vents des oc^e^produisent un
lointaines, lé Cirrochlore'est le seul être~anâmë^dfe&les,àccentsjpiaintifesê.n Ê ^ ^ j t
au frtmis^f ment de ce-, feuillus pour troubler le si'lrmo imposant qm rt »ru wÜirtfô
ombrages.
4. APHANTOCHROA GULARIS, jfipui,^ J?ii
p* Roslrum validvM, subarcuatum. Mandibula nigra. Maxilla basi cännea,
apice nigra. Capite viridi nilidö. Córpöre süppa et tectricibus alarum et oaüdae
viridibus. Cauda subemarginata, rectricibiis latiusculis ; me'diis viridibus
mridi-purpureis. Corpore sublus viridi : collo aniiee lamina squamosa rub'ro-
amelhyslino. Subcaudalibiis- albis.
Aphanioehroaf cjv.la.ris, Gôma>,ï&oe. oi Zool. part XXVIÎI, pi 310. — Id
part. XXI (1861), t. II, pl. | i | | |
Gatal. — Aphantoekroa gularis, Gould, Introd. p. 55, 63.
Loue. — Bec, 0",024 (111 ) - Ailes, 0“ ,27à 0-.028 (12 à 13.1.). - Uérf«cea_externe.s,
°"1,033? (13?). — Corps, O",050 (24 1.). — Lont/:. totale pÇf^pliO (49 1.).
L’APHANTOCHROÉ A GORGERETTE
p* Bec légèreifiient courbe', de?¥;%âi%fviron 'à '
noire. Mâchoire couleur de chair à la base,'nmre à Pextrémité! m û d’un vert bril-
lant. Dessus du cou, dós, tectrices alaires’ët ÈÊMaîes d’un veSluisant.ÂlËf^d’uh
bran; pourpre. Queue faiblement entaillée, à rcclrices assez.larges, graduellement
un peu plus longues des médiaires aux externes ou subexternes : les médiaires vertes :
]<îs autres d nnA ( i jf^ 'n du corps vert paré sur le devant du cou d’une
-nBmsbt j ^hj^plu'inc» S"'qua QimffiïMed d’on"K>%e;,lilas ; orné sûr le
&WiM],du tnitr!a (©ÿ(3mt.'.'Sov^(JB e n a r s - b l a n c h e s
P atihOE I a < \ a P1 >
* IN ■nBuffnBff’, d’ïpto M. 1 mffl^l^fduscnptiûn de cet oiseau, que nous
îi'avons^pusiv'ren natur' .;>JÏ4q ni, IcmwMovüip 'constituer au'moîos' un sous-genre
.iSbïcapfify-gtë)ju'. ■ |
'" f i U p i m È i ^ i l B R A M H E
Ä f f i \ A i l f l ÿ î
f^&XBA,(ïïsÂ|^joulêz '<Û'‘ceux
Bei non terminé en lame die pc ignard, ait n. cylindrique, non re niibé.a-1’extrém
ité Gmmairoinenb UiWnnpro^' .longa queila
mo iti é du corps: généralementfort ou assez fc >rt ; droit ou presque droit, chez les
uns, faible ment ou sensibletuflf arqué chez les autres ;■ graduellement rétréci au
moins sur s \ moitié basilaire, légèrement renâé et siftcomprimé près de l’extri mité,
t 1 p or t ujjj poi-n U U'in/Jih eut noire..
ntt maxillaire ordinair t me nt plus large s ers leniveau de la p irtie antérieure des
aussi longueuif
nt prolongées que'-' les rectrices médiaires ou externes ; à baguettes non ou à
peine dilatées, non déprimées. Queue soit tronquée à l’extrémité, soit légèrement
arq tée ou fâîblt mént entaillée; à rectrices larges ou assez laiges. Dessous du corps
non revêtii de plumes filamenteuses, souvent paré sur quelques parties de plumes
H I p mplum^s., s
Ilél.taifljgg^dr j. rnnd<5 j 0 "dinairement
d u é ^ T iffimâV u linMntuBP^ f e i ^ iK parui e glaét i^étméemixte sur quelques
'paJtliPs du,^^S)t^ans ornemên&feató/ubors, ^ur •sî^^plumes set détachant