p im iiofà\\.iKL'- — r u }ÿu%.@'R^iS 81
LE PHAETORNIS D’EURYNOME
B>er> U’ ti O # j f c - f < ^ e w f à arqué?(J^iSviroii ' O^OOSâ
hntrt<K\.luv|£^i<K*l (i$5ubu ^ïVau n^^^iissi long
i vtr j Wutii'jvïovv ri *1 extrémitéiftitire.
IWéiî^t^ ^ ^ l~'1 JitV> (|||jte fbaüde? StrUreiMrô
1^'^Pgu ’ëfe pgreldngée' au
ria\ oscentj
I n ^ -Po.*
~ 1 aU8Sl
plus longues : les submêdiaires proportionnellement un peu plus allongées et montrant
une légère tendance à s’allonger en brins ; toutes d’un vert bronzé mi-cloré ou
en.partie d’un , ’ i
pliunes . i ’un brun verdâtre Épilées ou frangées de blanc sale ou cendré. Poitrine
grise- ou cFun’g'ri-s cendré. Ventre eL’un cendré grisâtre ou t11 ^ 7n Irjfi Iaufa > ^ ^ ^
* m m 1 ' *’un cendré fauve. Page inférieure de
la queue analogue à la supérieure. Pieds d’un brun pâle. Tarses médiocrement
emplumés.
S Bec un p< .lïcBïôwilong etm lins fort ; mâchoire jaune ou blanchâtre sur une