de la bande postooulairc p iile^et^ < ell ^h.iTla^ t« m, m al
de sa poitrine se parent dejplümes vert *> hhisini > mllreii'-o’.. 'eLffliii
! lj$' ©* Mrsutus a un habitat très-étendu fttb’ln
dionaloesdu Brésil jusque sur jl^ h ^ d ^ d e l’Anta/ un, darr- l^ ^CTymoy^le^ ^ f x de
Tabago et de La-Trinité, et 4u-jqyie dans, la J l iS ë ’l l(--\Æÿitiade ffiJÂpluâteur... f V,er-
reaux, Boprcier,,-Gould, Muséurç d.■ ’Paris.. iMi1xoitin rty. f a on. Bf'u.\aen,jeln., etc.). -
Ce O d bn -unant V uii df - plus, vils * t ,plus turlmlent-iyJl v >b .pfi
zig-zag et Ksé^gôse ra t'‘nu- rit çR®s 'Mile pari" n-?x nioir attaquer’l’i^mpfoi qui'le
truublp dan- se- juùissSnif'pÇ, f'n se diripèafit î»faua r j]t.
à quelques pas de Fhoiûmê,' qu nSSispuraît coinme-pa^niTnlnïwf'4tTPfEF?ctJ
Au Brésil,'suivant'feu Gbabrillac, %’Tteijlièhfie
malgré F'extrlSë chklwïo règne une'fraîcheur agréable-; ‘Sbrrt'Wf urnWl' qS'nfWft'jÇl
les douceurs, s’il ifÿntait exposeaux incéssantès pùùrsüifés dU^rnîrxLit]li'Çl,'pullylünt
dansées'H teiïx ombragés.'!
Ce Glaji'/is (suit le« sentiers. s'er.pentanf danvoos- l'orèt-Bffl-’iiiKt-o-bJcxSTiW lès
Oiobidep-., fa t h.cour jux particules dos- Mia/rAn ta s jg j^ u ^ (. n ■ n r. n I.m
particulièrement une <rarcew.cb*rnii n s ispNes, aux tleiu^'
génuëu|lp|se-projettent au milieu des hauMjMeffiâu ,sém dé-qiiéisïI eÆreinty‘ipjîï 1 mpS1
est prisonnière.
En quittant ces pai-ibb s retraites, il xieiitj'd^j.vonf „dans 1<* xoLifi jg'ÿflq^hihita-i
tionsj où le retiennent pendant quelqn.eg45stants.les arbrisseaux fl.'im- dnxritujÆiîubc <:
Il frequente an—i parfois lo bords* dfisrflpux es um di - jviers- travjuillj—_d ml les
vases épaisses* abondent en crustacés et dont Je- ea y ouvertes d^op gshjie-tde
Pontederias<aux fleura d’azur,t^ec desquelles se mat i » n t o j . l < >s; hl^naîa-r?( 1,m
odorantes des Grinoles-. Mais ordi na i reru ( at-^sjju>» Jou ;>.dajLa>^^ 1 nvu x ^a^elude
durée : pendant qû’il'y vole en bourdonnant,x^ppni5]<tLqiisd’ii!ij(J^aiia,. lynirantpçu
les larges feuilles jtalue^siirjes ondo-jile passait -d uiÿluuxatifjicli^^iijjarle saut®
d’un poisson suffisent pour reffEàÿ^Kpttlé faire-fuir en-jpaui -ant fe/tjm jawn ,, j
* É^E-nid' est ordinairement tapissé, en dedans ÿ^UM^®^gê._soye}ise jpiau,pihiffe|è.j
recouverte d’une bourra; roussMre; etrevêtu extérieuggn|g^de filaments déplantés
et de quelques lichens.
Diamètre externe, l’.pp~ Diamètre interné? Hauteur 0m j*055 <24M>f
i Ami?. and Mag. of Nat. l î i s t , t: XX, p. -372;
montre suivant les sexes, le Ql&uilis
hir wi!ies présente des modifications locales qui ont poi'Lé divers auteurs à constituer,
mais souvent aseê- hésilation, aux dépens dii type primitif, diverses espèces, dont il
Le G. r,lazëpi nÿp®.e Lesson, a les rectri?.es biiev ment liurdéesj de blanc à
, j r d u s s é ^ ' a E lai1 baseS' avant la
bande noire, subarrondies à Fe \ti émité; la bande sourcilière et .celle, de_là .eopunis—
* 1a* P: tï,
Glaucis mazeppa, G-ould, Monogr. part. XXIV (1861) (t. I, pl. xu), etc.
Patrie. La Nouvelle-Grenade, Cayenne, Tabag‘0 , La Trinité. (Ver r eaux,
BEKl^l^-^ c i,. de l’hirsutus^ par le dessus du corps
rex èt-u d’un plumage bronzé ; par ses rectrices marquées, av mtdepr ^
d’une bande d’un noir pr ** ^ • • r&ri3â,ees ^
K ^ l ^ «a'Udà»leSt,lAu»l S; f IJXoH’f.j. .jljirh
Glaucis aeneus, I, a A'il'0 n’cv:a (1867.). p’. 232. '
traaS/ff-x/^A isws^ÿjji
de M. Gould, sur ni.ljuSxt triùljir i^iiimuniqÙ£i,"par~Mutènr,-.
;â. 1 a~1 w seyqii ' ■ ^c h ez Ylvirsiitus, maie
f l S ^ ^ r ^ er/ii'i^c4tçi^^^ n ^ ^ g ^ ifJ Î^ ^ ^ ^ ^ g ^ n n ^ liiri|î'bés- extrémité.
G 6 ucis lanceolnlus, Goucb;. Monogr. part. XXI \ S
M u 1. ir ii
Le G. affinis,, de M. Lan rence, diffiëre de Yhiisulus par le dessous du corps
revêtu d’ulEffemâge plus.i^OMbr^^ moins roux que celui qui domine chez les
indix'i dus prévenant dé; Gayenue, de La i ri lil gfw ; les r.et trices externes à otib-^
bu' dmir--1 S'i n y rib-ragHl ù-bubi1 lî^ftp.iïfîl+^JÏ
La bai de pâïe pqslociilaire et celle', de M^ominissure sont.sôuveni peu marquées
et les rémiges sont souvent bordées de blanc fauve ou roussâtrë,- a la poilMeiS
Glaucis affinis, Laxvk,en.cE; Ann. of Dyc.. ofNat. îli.sl.ol’ New-York, t. A I (1S58), p. 201. —
Goui.d, Monogr. part. XXIAr (1861), t. I, pl. 7.