P RÉ F À GE
sa santé ne lui, a pas permis de. me consacrer to.ut le .temps qu’il, se-, .proposait de
passer avec moi.
J ’ai trouvé, auprès de M. Salvin, upc,large. eempensatioh « ee contretemps.
€e savant, oblig4.de s’éloigner de la ville, .pendant une.semaine, a;bien'Voulu
mettre, pendant son absence, sa.^odeètien.tout-,entière' à m^dispostoon^vee
une. bonté .dontjemesauraisassez reeonoaîtreïiniprix.
MM. Loddiges m^nHaissé visiter, -qvee un eûmabfe:empressement, lesmom-
breu^ Tro.chilidés rassemblés par.,feu leur;pèrefeîel|;dont.-BQur.cier avait publié
les espèces inédite^ parmi lesquels se trouvent des types merveilleuxsetewdqnes
•encore. : -1
J’ai .quitté l’Angleterre avec; le regret,Jo n’avoir pu faire lamonmissance
personnelle de M. Sçlater,- qui présidait alors-une réunion dé naturalistes en
Irlande.
Feu-'Delattre^dgnt des vpyages djrns -diverses .parties de l’Amériqnabnt
donné à son . nom une certaine-célébrité, feu Ghabrillac', .mort PonseÈvateur du
Muséum de.SaintdÈtienne et qui avait habité longtemps.lé Brésil^-MMv.Ssdlé
et Boucard, -çesbatUralistes voyageurs »dsteJligents, à qui J’.oïl çd^ftdêiUom-
breuses découvertes, m’ont fourni sur les oiseaux, ohjetsMemnes ^études, We
foule de détails dont j’ai .été heureux, de. .tirer parti. -
. Je né piis enfin eiiblier diverses,personnes auquëllës.je.dpis. des'communi-
eations, des renseignements/,ou des conseils utiles,,..surtôutfeu Jules.Terreaux
dont les connaissances en ornithologie n’avaient pas d’égales ; M^Saües^îè-gtus
habile des préparateurs;de Paris ; madame la.comtessede Barrai; MBëpS&ereh ;
notre savant ornithologiste Léon Olph-Galliard ; M. le Dr.L*rtet, notre.-bélé
conservateur, du Muséum drhistoire naturelles de Lyon, ; M. Alexis Jordan,,
notre célèbre botaniste ; M. Gkudius Rëy; MM. Malmazet, amateur distin-*
gué; le Dr Saint-Lager; Roussel, de .vitemaison Vecreaux; Réviloo| Jung,
attachés, l’un au Muséum .de Lyon, l’autre à celui de Paris.
PB.ÉB'AOâ;
Puissent toutes les personnnes dont je me plais à reconnaître lès services
recevoir rexpïèsaôn ^!fâ..ma reconnaissance ; ellfes' auront largement Contribué à
rèpÏÏrô mon oeuvre moins imparfaite.
M. ^peintres l%üplu,^baïPes à reproduire, avec une fidèle
perfection, les oeuvres, deîidtnature^ m/fiieb? ''^ S am e prêter son concours pour
illustrer , .côf Ibuvrage Gét artiste joint a l’art du clessinateui' le mérité yjgfapré-
. parateuf. attacher aux commissions scientifiques d’Islande
et du Groenland, en de la»Seandinayie, Laponie et Spitzb'erg, en
1838 et 1839, dgfgÇflfi ihï^pèüâ^telaquelle le navire hiverna clans le golfe
d’Alten-Fiürd, près<^%éap Nord. Le rïn d ^ ^ iè d e l’asiiohkaé chevalier de son
ordre deWasa. H^^^mms-îtravaillé a illustrer lësl-oeuvres de Mm | I)r Chenu.
apportés dans les|plfi5ohes de mon histoire naturelle
jles*ÇbJifirL suffiraienm E ^ ^M domjeiôfie la cl|çbrité, si sa.' réputation n’était
H établie depui^rJôngteînps.
Les planches de: cet artiste ont été tirées en majeure partie par les presses
de-M. d?éfiicrcicr,»31%rl®rêiSonLméM^^UIjhogl’adhes de la c ^tra lê ; ét les autres
piiijfeWfKjp M M?.4 ‘F l ugortl frefësMK L y m ’
Enfin, pour rendre ce travail plus djgnf/cle trouver place clans les belles
bibhellu qu'es, en a employe^ip^ipiei^Miriquë e x p re |||a r MM. Fillat frères
de Rives, etSHEiprods/oiÉserf a ét4 Gonflée a M; Pitrat aîné, qui' s’efforce
chaque jour,-par lè goût et les soins apportés aux oeuvres sorties disses ateliers,
’de^’re n a r© * ^ ^® ^ la* r^ it a f io n ' que* Juî^avaient faite les imprimeurs du